Equilibre psychologique dans Lyme et Métaux lourds

[Lebowski]

Vos témoignages sont super, car ils montrent votre volonté d'avancer malgré les obstacles, votre détermination, votre joie de vivre... et ils sont vraiment encourageants et très parlants.

Je pense aussi que la vie professionnelle peut être déterminante, pour ma part, il m'a fallu me rendre compte que j'étais têtue comme une mule et j'ai perdu (?) des années à le comprendre.
Je m'étais engagée dans une voie qui rationnellement me semblait cohérente, et plus je m'y sentais engagée, moins je pouvais renoncer : j'y avais investi des années d'études (en travaillant pour les payer intégralement, donc beaucoup de sacrifices), j'ai accepté de travailler beaucoup avec un salaire indécent et pendant longtemps en espérant toujours que ça irait mieux, bientôt, ... Trop longtemps, puisque plus le temps passait, plus les sacrifices consentis se présentaient comme un obstacle au changement : "Après tout ce que j'ai fait, je ne peux plus renoncer !"... et je continuais à m'entêter. J'étais dans une branche (l'environnement, pour faire court) où j'étais persuadée de pouvoir apporter quelque chose : pour moi c'était impératif, au vu de l'état de la planète c'était urgentissime, et je refusais de comprendre que les circonstances n'étaient pas favorables à ce que MOI, je m'exprime là-dedans. Je ne voulais pas l'accepter.
C'est d'abord la vie et tous ses aléas, puis ensuite le corps qui a lâché, qui ont décidé pour moi. De gré ou de force il a fallu que j'arrête tout !
Depuis plus de six ans, c'est la révolution (lente) : mode de vie, valeurs, projets, vie affective, sociale... tout est chamboulé. J'ai bien failli ne pas m'en sortir. Car pour m'en sortir, il fallait ACCEPTER tous ces bouleversements, ARRÊTER de vouloir contrôler, LÂCHER PRISE, FAIRE CONFIANCE, ÉCOUTER certains 'signes' que la vie vous envoie, apprendre à les décrypter, accepter de les voir... reconnaître que je m'étais sûrement trompée de voie malgré tous mes sacrifices, tous mes efforts et tout le temps passé, et encaisser ça.
Et là, pas de choix possible : il fallait s'investir beaucoup pour essayer de comprendre, chercher et trouver (impérativement) des solutions pour se remettre à fonctionner physiquement... avant de pouvoir ré-envisager de vivre normalement. Impossible de revenir en arrière (et là aussi, j'ai longtemps cru que je pourrais ! têtue, je vous dis... ;-)
Et finalement, renoncer aux rêves, aux illusions, être un peu plus humble, se laisser un peu faire par la vie et cesser de vouloir contrôler les choses.
Quelle leçon difficile, je trouve !
Mais bon, je suis vivante... Un rêve m'avait prévenue que je risquais de mourir prématurément ; finalement j'ai gagné un paquet d'années, et elles sont devant moi !
"Utiliser le présent comme un tremplin vers l’avenir serait une excellente idée... S’il y avait effectivement un avenir vers lequel se projeter ! Car il n’y a rien devant, en réalité. L’avez-vous remarqué ?
La vie est une série de moments présents... Dès que l’on touche à ce qu’on appelle l’avenir, il devient «maintenant».
Oui, utiliser le présent comme un tremplin vers l’avenir serait une excellente idée... Si on ne le réduisait pas du même coup à l’ombre de ce qu’il est. Car le moment présent n’est pas qu’un simple outil... Il est un joyau, il est notre vie !" (M.-P. Charon)

Bon courage à tous.

Merci pour ce témoignage, je m'y retrouve beaucoup!

J'ai fait de longues études financées entièrement par moi-même, en bossant en parallèle, en faisant des sacrifices. Je ne veux pas quitter cette voie, car c'est celle qui me convient le plus, pas parce que je me suis autant donnée pour y arriver, mais vraiment parce que je pense que c'est ce que je veux faire.

Mon problème vient plutôt du fait que la nature de mon travail ne me permet pas de me guérir à ma façon comme je le souhaite. En effet, avec ce travail je suis en déplacement la semaine sur des chantiers, on est souvent logé à l'hotel, donc on mange au resto midi et soir, ce qui rend quasiment impossible le régime SGSCSS!
Actuellement je suis au chômage, donc chez moi, et c'est pourquoi je me lance dans ce régime et je commence à prendre soins de mon corps. Mais si on me propose un autre contrat sur un autre chantier, je crois que je vais devoir refuser, car je veux m'occuper de moi. Ce qui veut dire que je ne peux pas pratiquer mon travail que j'aime tant (en tout cas pas pour l'instant). J'ai une autre activité en parallèle, qui me permet de travailler chez moi en autoentrepreneur...Pour l'instant ça va car j'ai des clients et du boulot, mais c'est sporadique et précaire, donc je ne suis pas sûre de pouvoir par exemple vivre de mon activité d'autoentrepreneur pendant 1 an au moins, le temps de reprendre un peu le dessus de ma maladie.

On verra bien...

[Lebowski]

Je pense également que l'équilibre psychologique est primordial dans notre guérison!

Moi je remarque que les émotions jouent un grand rôle dans ma maladie. Lorsqu'on m'a diagnostiqué mes soucis de santé l'année dernière, j'ai éprouvé un besoin urgent de résoudre certains conflits internes, de mieux me comprendre, car je ressentais un lien avec le stress/mes émotions et mes symptomes.
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais ça a été un déclic, et j'ai cherché à me guérir physiquement et dans ma tête car j'estime que tout s'entremêle.

Ne souhaitant pas aller voir un psy (trop long, trop coûteux - je suis vraiment impatiente ), j'ai décidé de faire de l'hypnose, pour essayer de fouiller au plus profond de moi pour trouver où se situait le blocage.

Bref, sans vous étaler toute ma vie quand même (enfin si, je vous cache rien ), je souffre terriblement (et ce depuis longtemps) de problèmes de procrastination et manque de motivation par peu de l'échec. Je m'auto-sabotage toujours dans ma vie (à l'école, à la fac, au travail), car j'ai peur de décevoir et d'être trop nulle. Du coup je m'investis qu'à moitié, je fais tout à la dernière minute, je rends mes rapports baclés et en retard, comme ça si c'est nul j'ai toujours l'excuse de dire "ouais, mais c'est parce que j'ai fais ça à l'arrache!". C'est nul, je l'avoue.

Première séance d'hypnose : j'ai pris la moins cher, la meuf était un peu à côté de la plaque j'ai trouvé...enfin elle a quand même réussi à me faire pleurer (en abordant des sujets sensibles). Mais j'étais tellement renfermée, et vu que je la sentais pas trop, j'ai rien voulu lacher (en plus elle est allée trop vite, donc ça n'a pas marché). En gros après tout un monologue ("vos paupières sont lourdes, blablabla"), elle a voulu direct me 'ramener en enfance', elle me dit "bon, là vous avez 4 ans, qu'est-ce que vous ressentez", et moi je sentais rien. Enfin si, elle me demandais de décrire ce que je voyais, je pleurais, mais c'était le vide total, comme si j'étais pas prête de franchir le pas. Je suis rentrée chez moi en me disant que c'était trop nul, que ça n'avait pas marché, et en me couchant le soir, en fermant les yeux, je me suis mise à pleurer et à penser à ma soeur!...donc j'ai compris que le problème venait de là.

Deuxième séance d'hypnose : Je suis allée voir un gars cette fois, plus cher, mais avec plus d'expérience, et le courant passait mieux. Rebelotte, c'est lié à la famille (toujours ma soeur), je comprends que la source de mon manque de confiance en moi vient de ma grande soeur qui m'a rejeté et me rabaissait tout le temps... On était que des enfants, maintenant notre relation n'est pas du tout comme ça, mais je comprends pourquoi je bloque avec elle. Bon, un jour quand j'aurais plus de force, peut-être que je pourrais lui dire que quand on était enfant elle m'a fait de la peine.

Bref, tout ça pour dire que les émotions excessives sont aussi toxiques pour notre corps, ça fait beaucoup de stress, et si on veut guérir, il faut aussi traiter le mental pour aller mieux.
Moi ça m'a débloqué énormément. Je n'ai pas encore résolu mes problèmes de famille, mais juste le fait de comprendre me permet d'avancer.

Désolée de vous déballer ma vie perso comme ça

[un_ptit_gars]

Merci Lebowski de ce long passage très intéressant a lire!

Ne t'excuse pas de nous raconter ta vie, bien au contraire...le sujet est fait pour ça et afin de permettre a chacun de s'exprimer sur un des aspects très important de nos maladies: les émotions refoulés, problèmes psycho-émotionnel non résolus, partie intégrante de l'axiome de Klinghardt (avec la toxicité et les parasites).

J'espère que bcp d'autres viendront parler ici, alors merci a toi!

Pti gars

[Lebowski]

Bon ça va alors, si ma contribution peut être utile

Il me plait bien ce Klinghardt, tu as un peu de lecture à me suggérer?

[un_ptit_gars]

Bon ça va alors, si ma contribution peut être utile

Il me plait bien ce Klinghardt, tu as un peu de lecture à me suggérer?

Celle la me plait bien: viewtopic.php?f=30&t=3180
mais ce n'est qu'une partie tant d'autres...c'est le BOSS ce gars!

A+

[Lebowski]

Ah oui, merci! Je crois que je l'avais déjà lu quand je suis arrivée sur ce forum (c'est une vraie mine d'info! ).

Il dit plein de trucs super intéressants, mais y'a un truc que j'ai pas trop compris:
"ballroom dancing can be very helpful. Ballroom dancing puts the autonomic nervous system in its most healing state". Sérieux??

Parce que bon, j'veux bien arrêter le sucre et faire plein de sacrifices pour aller mieux, mais la danse de salon, c'est HORS DE QUESTION

[wlad]

Je crois que je commence à comprendre le lien entre la maladie de Lyme, l'intoxication aux métaux et l'hypersensibilité, et pourquoi cela donne à peu près les mêmes symptômes, y compris sur le plan psychologique.

Le lien est la fibre nerveuse : une hyperstimulation réactionnelle du système nerveux !
C'est pour cela qu'en ralentissant la conduction nerveuse par des antidépresseurs, ça semble aller un peu mieux.
Ce qui ne veut bien évidemment pas dire que c'est un problème psychologique, mais une atteinte neurologique.

Si la conduction nerveuse est augmentée ou accélérée, cela génère un champ magnétique.
Le corps devient plus réceptif aux champs éléctro-magnétiques environnants.
Dans le cas d'une intoxication aux métaux, c'est d'abord la présence même des métaux qui interfère avec les champs envirronnants!
Ensuite, les métaux entrainent une contraction généralisée des muscles, ce qui veut dire qu'il y a automatiquement derrière une hyperstimulation neurologique en amont (pour contracter les muscles) et on retrouve la même chose qu'une atteinte neurologique comme Lyme.
Dans le Lyme, c'est le nerf agressé qui réagit par une hypersensibilité et donc un seuil du potentiel d'excitabilité plus bas.
N'importe quel stimulus est véhiculé entrainant une surcharge du système neurologique.
On peut imaginer les répercussions psychiques et la fatigue nerveuse qui en résulte.

[wlad]

mes 2 posts précédents sont en réponse à ceux d’août 2011.
je ne sais pas si ça va apparaître.
aie aie

J'ai changé de mail et je n'avais plus de notifications de réponse concernant les post. du forum.
Je viens de voir juste à l'instant.
Faut que je relise tout ça pour me remettre dans le bain

[hazy]

c'est pour ça que j'ai l'impression que mon corps est en permanence " sur le point de trembler" ?

Et qu'au moindre effort j'ai des micro tremblement pendant 10mn après ?

[wlad]

Oui, ça semblerait être le cas.
Mais des troubles métaboliques (des carences en l'occurrence) peuvent donner des troubles de la récupération et se manifester de la même manière.

[Thierry68]

Bref, tout ça pour dire que les émotions excessives sont aussi toxiques pour notre corps, ça fait beaucoup de stress, et si on veut guérir, il faut aussi traiter le mental pour aller mieux.
Moi ça m'a débloqué énormément. Je n'ai pas encore résolu mes problèmes de famille, mais juste le fait de comprendre me permet d'avancer.

Les enfants sont de véritables éponges... Je suis régulièrement choqué de voir à quel point les parents ne prêtent pas attention à leur comportement en face de leurs progénitures, se livrant à toute sorte d'accès de colère et autres comportements stériles... et c'est dans cette ambiance que se forme ou plutôt se déforme la personnalité de l'enfant, perdant sa pureté d'origine...

[Thierry68]

Juste un petit mot aussi sur l'importance de la vie professionnelle (par rapport aux discussions plus haut).

Il ne faut pas oublier que la vie professionnelle = servitude de l'homme par rapport à l'argent. Elle est donc le principal outil de ce qui s'appelle dans la science ésotérique la Loi Générale qui a pour rôle de maintenir la vie organique sur les "rails". Autrement dit, la vie professionnelle sera forcément un frein pour les chercheurs, les hommes (et femmes) vraies, les originaux... bref pour ceux qui aspirent à autre chose que de gagner de l'argent.

Tout ça pour dire qu'à mon sens, il faut se garder d'apporter une trop grande considération intérieure (au contraire de la considération extérieure !) à notre vie professionnelle, c'est à mon avis une des clés pour être heureux "professionnellement" en toute circonstance. Si vous pensez que votre boulot c'est votre vie, vous vous croyez vivant car passionnés mais en fait vous êtes juste en train de vous faire bouffer intégralement...

Bon j'arrête de philosopher tout seul dans mon coin pour ce soir .

[un_ptit_gars]

Juste un petit mot aussi sur l'importance de la vie professionnelle (par rapport aux discussions plus haut).

Il ne faut pas oublier que la vie professionnelle = servitude de l'homme par rapport à l'argent. Elle est donc le principal outil de ce qui s'appelle dans la science ésotérique la Loi Générale qui a pour rôle de maintenir la vie organique sur les "rails". Autrement dit, la vie professionnelle sera forcément un frein pour les chercheurs, les hommes (et femmes) vraies, les originaux... bref pour ceux qui aspirent à autre chose que de gagner de l'argent.

Tout ça pour dire qu'à mon sens, il faut se garder d'apporter une trop grande considération intérieure (au contraire de la considération extérieure !) à notre vie professionnelle, c'est à mon avis une des clés pour être heureux "professionnellement" en toute circonstance. Si vous pensez que votre boulot c'est votre vie, vous vous croyez vivant car passionnés mais en fait vous êtes juste en train de vous faire bouffer intégralement...

Bon j'arrête de philosopher tout seul dans mon coin pour ce soir .

T'es pas tout seul thierry, j'aime bcp tes réflexions moi!
Merci de nous avoir fais partager celle la, je suis sur qu'elle parlera a pas mal d'entre nous va....

Pti gars

[kriss]

Coucou,tout simplement la force de la pensée.
tu sèmes une pensée tu récoltes une action

une action qui donne une habitude
une habitude qui donne une tendance
une tendance qui donne une destinée.
Voilà .
kriss

[Nataliaa]

Je pense également que l'équilibre psychologique est primordial dans notre guérison!

Moi je remarque que les émotions jouent un grand rôle dans ma maladie. Lorsqu'on m'a diagnostiqué mes soucis de santé l'année dernière, j'ai éprouvé un besoin urgent de résoudre certains conflits internes, de mieux me comprendre, car je ressentais un lien avec le stress/mes émotions et mes symptomes.
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais ça a été un déclic, et j'ai cherché à me guérir physiquement et dans ma tête car j'estime que tout s'entremêle.

Ne souhaitant pas aller voir un psy (trop long, trop coûteux - je suis vraiment impatiente ), j'ai décidé de faire de l'hypnose, pour essayer de fouiller au plus profond de moi pour trouver où se situait le blocage.

Bref, sans vous étaler toute ma vie quand même (enfin si, je vous cache rien ), je souffre terriblement (et ce depuis longtemps) de problèmes de procrastination et manque de motivation par peu de l'échec. Je m'auto-sabotage toujours dans ma vie (à l'école, à la fac, au travail), car j'ai peur de décevoir et d'être trop nulle. Du coup je m'investis qu'à moitié, je fais tout à la dernière minute, je rends mes rapports baclés et en retard, comme ça si c'est nul j'ai toujours l'excuse de dire "ouais, mais c'est parce que j'ai fais ça à l'arrache!". C'est nul, je l'avoue.

Première séance d'hypnose : j'ai pris la moins cher, la meuf était un peu à côté de la plaque j'ai trouvé...enfin elle a quand même réussi à me faire pleurer (en abordant des sujets sensibles). Mais j'étais tellement renfermée, et vu que je la sentais pas trop, j'ai rien voulu lacher (en plus elle est allée trop vite, donc ça n'a pas marché). En gros après tout un monologue ("vos paupières sont lourdes, blablabla"), elle a voulu direct me 'ramener en enfance', elle me dit "bon, là vous avez 4 ans, qu'est-ce que vous ressentez", et moi je sentais rien. Enfin si, elle me demandais de décrire ce que je voyais, je pleurais, mais c'était le vide total, comme si j'étais pas prête de franchir le pas. Je suis rentrée chez moi en me disant que c'était trop nul, que ça n'avait pas marché, et en me couchant le soir, en fermant les yeux, je me suis mise à pleurer et à penser à ma soeur!...donc j'ai compris que le problème venait de là.

Deuxième séance d'hypnose : Je suis allée voir un gars cette fois, plus cher, mais avec plus d'expérience, et le courant passait mieux. Rebelotte, c'est lié à la famille (toujours ma soeur), je comprends que la source de mon manque de confiance en moi vient de ma grande soeur qui m'a rejeté et me rabaissait tout le temps... On était que des enfants, maintenant notre relation n'est pas du tout comme ça, mais je comprends pourquoi je bloque avec elle. Bon, un jour quand j'aurais plus de force, peut-être que je pourrais lui dire que quand on était enfant elle m'a fait de la peine.

Bref, tout ça pour dire que les émotions excessives sont aussi toxiques pour notre corps, ça fait beaucoup de stress, et si on veut guérir, il faut aussi traiter le mental pour aller mieux.
Moi ça m'a débloqué énormément. Je n'ai pas encore résolu mes problèmes de famille, mais juste le fait de comprendre me permet d'avancer.

Désolée de vous déballer ma vie perso comme ça

c'est nul mais quand on a pas confiance en soi, c'est le seul moyen de faire..
je vois parfaitement ce que tu veux dire

et pour ta soeur, tu n'envisages pas de lui parler?
d'arriver à rétablir un contact d'égal à égal, un contact ou il y aurait un réel échange, un réel" intêret" à discuter ?
( je sais pas trop comment expliquer ça)

Enfin on m'a dit que ça pouvait aider de forcer un peu pour aller vers l'autre, et rétablir la relation.