On sait que la demi-vie du DMPS est de 8 heures : donc 8 heures pour que la quantité de DMPS mesurée dans l'organisme -je suppose que des tests ont été faits pour cela- diminue de 50%, puis encore 8 heures pour une diminution de 50% (soit 75% au total), etc.
Je n'ai jamais rien lu qui dise exactement ce que devient ce DMPS qui disparaît de la circulation. Evacué à 100% ? Ou une partie se décompose-t-elle en chemin : 5%, 10%, plus ?... et si c'est le cas, la liaison thiol-mercure ou autre peut très bien se défaire, donc le mercure se redéposer
Si, moi j'ai lu une seule fois que la liaison DMPS -ML faiblissait à partir de la demi vie, mais ça ne m'a pas convaincu.
Elle faiblirait pour le DMPS, le DMSA, l'ALA ..., de la même manière ?
Si la liaison chimique faiblit à partir de la demi vie, ce serait aussi le cas pour les petites doses prises au cours du protocole Cutler.
Dans ce cas, ce protocole ne règlerait pas complètement ce phénomène de redéposition.
En fonction de sa rép, je déciderai si je reprends les IV ou non,
Je ne suis pas certain qu'il ait une réponse, et s'il en a une ça n'enlève rien au risque, qui reste le même.
Comme Astérix, je pense que ton Doc, qui a peu d'expérience dans ce domaine, ne croit pas aux aggravations.
Le Doc du Nord ( B.T.), qui est le stakhanoviste de l'IV de DMPS et celui qui travaille depuis plus longtemps en France sur les chélations,
au début niait systématiquement que les aggravations dont lui faisaient part ses patients puissent avoir un lien avec les IV de DMPS.
Aujourd'hui, il commence à l'admettre.
Il n'y a pas de risque particulier à associer chélations et traitement de lyme, c'est souvent ce que l'on fait quand on a l'impression que le traitement patine."
Je suis aussi d'accord avec ton Doc sur ce point, d'ailleurs c'est aussi ce que préconise Klinghardt ,c'est aussi ce que fait Horowitz.