Réponse:
S'il n'est pas possible de réaliser le test de provocation (utilisation d'un chélateur en forte quantité pour "arracher" les métaux lourds des tissus, puis recueil d'urine pour analyse par la suite), il reste tout de même d'autres alternatives qui peuvent donner des indications et permettre de savoir si les métaux lourds jouent un rôle fortement négatif dans notre santé:
- l'analyse des porphyrines urinaires, sans aucun risques, permet de donner des indications utiles. Cette analyse est remboursable si prescrite par un médecin, mais elle se révèle au final assez peu fiable. Il y a notamment, bcp de faux négatifs, ce qui en revient finalement a n'aider que ceux chez qui elles se révèle dessuite positif, signifiant une intoxication plus ou moins forte aux métaux lourds.
- l'analyse des cheveux est assez peu utilisé, et pourtant intéréssante. Une personne "normale" doit éliminer bcp de métaux lourds dans les cheveux, signifiant que le corps arrive relativement bien a se détoxifier de ces poisons (auxquels on est confrontés chaque jour dans l'eau, l'air, la nourriture, etc). Si une personne est fortement intoxiqué, ses analyses de cheveux montreront en général de faibles taux, voir quasi-inexistants, laissant présager des capacités d'élimination bien affaiblies, et une intoxication passive en cours.
- une méthode couramment utilisé également est assez empirique est constitue celle d'un "essai" personnel d'un chélateur (DMPS, DMSA, EDTA), en faible dose pour débuter, afin de voir si ce dernier fais changer l'état actuel de santé ressenti. Certaines personnes ressentent très vite que des symptômes disparaissent, ou d'autres s'amplifient, que le cerveau semble plus dégagé, que le sommeil est plus récupérateur ou au contraire plus agité, etc. Cela tend a prouver que le chélateur et donc les métaux lourds ont un rôle a jouer dans sa pathologie personnelle et qu'il y a du "travail" de détoxification a faire sur le long terme. Le choix d'utiliser des chélateurs naturels ou chimiques par la suite est bien entendu tout un programme que l'on ne va pas détailler dans ce message.
- Il est également possible de regarder au niveau "énergétique" si le corps a un "stress vibratoire" associé aux métaux lourds testés. Ceci est couramment réalisé via des tests musculaires (kinésiologie, méthode NAET, etc) ou via des machines quantiques (morathérapie, asyra, etc). En présence de métaux qui provoquent une baisse énergétique et musculaire, on peut facilement déduire quels métaux sont les plus présents et les plus nocifs pour le corps (même s'il n'est pas possible de juger des quantités présentes dans le corps via ces méthodes).
--> Surement d'autres méthodes encore...on attend vos remarques et idées!
Pti gars