Au D.G., j' a écrit:Groupe Hospitalier Universitaire de Paris
Directeur général
OBJET : MAIN COURANTE CONTRE LE CMPMonsieur le Directeur Général,
Je suis le patient du Docteur Alexandre LANGOUSTE, Chef de pôle du CMP.
En juin 2024, j'ai transmis au Docteur LANGOUSTE, le courrier du Docteur EMERY, Directeur Général de la Santé (DGS), dans lequel M. EMERY annonce :
"Bien évidemment, en ce qui concerne la prise en charge des personnes particulièrement imprégnées (en métaux lourds), des travaux de recherche devront encore être menés pour optimiser cette prise en charge et l'étendre à tous les polluants d'intérêt. Ces travaux pourront conduire à des recommandations officielles."
Je rappelle que le traité de toxicologie CHELATION THERAPY rapporte que les cerveaux des Alzheimer présentent de lourds excès de métaux. Les victimes des personnes imprégnées s'élèvent donc en millions.
Depuis 2021, j'ai transmis au CMP mes nombreux diagnostics très inquiétants au mercure établis selon les protocoles en vigueur dans les filières de toxicologiques allemandes. En Allemagne, il est de notoriété publique que ce mercure parvienne des amalgames dentaires. Pour des raisons administratives, ces diagnostics ne sont pas reconnus par la France. Je suis donc en errance médicale depuis 15 ans avec de lourds symptômes multisites. Je rappelle que les diagnostics validés français nient totalement le corps, nient absolument tout le cerveau et n'explorent uniquement que le sang.
Or, les protocoles allemands ont établi mon intoxication générale.
La médecine occidentale souffre donc de contradictions. Je rappelle que les contradictions sont une anarchie masquée par un ordre apparent. Comme le nuage de Tchernobyl, les intoxications chroniques s'arrêtent à la frontière. Heureusement, le DGS promet de régulariser ces désordres car la prise en compte de la toxicologie du cerveau est une mesure de salubrité publique indispensable pour la santé mentale de la société.
En 2021,le Docteur OURSIN du CMP m'a pris en charge en m'indiquant que, en cas d'intoxication, le diagnostic psy était interdit. Le Dr OURSIN ne m'a jamais annoncé qu'un diagnostic a été établi au sein du CMP. Si je demeure au CMP, c'est parce que l'hôpital de jour me plaît. Cela est confirmé par l'infirmière HIPPOCAMPE.
En consultation du 27 décembre 2024 et suite au litige avec le Dr ECREVISSE, j'ai exprimé mon souhait que la lettre du DGS soit placée dans mon dossier médical. D'un rire généreux et volontiers moqueur, le Dr LANGOUSTE a confirmé la prise en compte de cette lettre.
En complément,
certes avec une courtoisie impeccable cette fois-ci, le Dr LANGOUSTE a tenté d'obtenir de moi que je prétende que mes symptômes d'intoxication ne parviennent pas de mon mercure. De façon étonnante, le Dr LANGOUSTE insiste donc pour que je me rallie à votre médecine certes validée et éprouvée mais pas suffisamment complète et insuffisamment sérieuse car elle est dénuée d'analyse biologique du cerveau.
Pour tenter de me forcer par douceur, le Dr LANGOUSTE m'a lancé avec un regard soutenu : "Monsieur AMONITE, voyez où vous êtes pris en charge !" comme si je devais me diagnostiquer moi-même par les gros murs qui m'entourent. En tant qu'architecte de prisons, je vous confirme que les pyramides lézardées de part en part par ma quête de Justice éternelle ont déjà implosé sous le poids de la vacuité toxicologique. J'ai rétorqué au Dr LANGOUSTE que le CMP ne m'a jamais annoncé aucun diagnostic. Puis, avec des gros yeux levés au ciel, le Dr LANGOUSTE a mis fin à la consultation sans annoncer de diagnostic.
De façon rampante, le Dr LANGOUSTE tente donc abusivement que je renonce a mes chances de guérir de mon mercure en cherchant à obtenir que je m'éloigne par moi-même de la future prise en charge des intoxiqués promise par le DGS. Il s'agit certes d'une interprétation de ma part mais un fonctionnaire se doit d'exprimer un discours sans ambiguïté. Or, vos équipes exploitent les failles des analyses, nient le DGS et s'avancent masquées derrière le flou des interprétations.
De plus,
en octobre 2024, l'Ordre des médecins a déjà convoqué le Docteur ECREVISSE pour les mêmes faits. En aggravation, la forme de ces faits était illicite. La plainte avec détails est jointe. Le Dr ECREVISSE était mon médecin au CMP avant que le Dr LANGOUSTE prenne récemment le relais.
Devant témoin au cours de la réunion ordinale, de façon ostentatoire et sur le ton de la délation, le Dr ECREVISSE m'a reproché que je fasse valoir mes droits et que je fasse valoir ma santé en cherchant la salubrité en métaux lourds. Elle m'a également reproché d'alerter les autorités à propos des lacunes de la toxicologie conventionnelle, puis, dans un triple saut athlétique, elle a dénigré le DGS. Devant la lourde victime de la médecine que je suis et quitte à laisser des millions de Français dans des souffrances graves, le médecin ECREVISSE a cherché à convaincre l'Ordre que la réputation des médecins ne doit pas perdre un cheveu.
Quel mépris ! mais cela est ridicule et grotesque. Il est doux, quand la vaste mer est soulevée par les vents, d'assister aux efforts surhumains d'un naufragé, non qu'on trouve satisfaction à voir souffrir son prochain, mais il y a une douceur à contempler les maux auxquels on est épargnés. De plus, dans sa réponse à mon plaidoyer, l'Ordre des médecins m'a renvoyé vers le Ministère.
Comme il ne s'agissait que d'une première escarmouche d'une jeune subalterne zélée de défendre sa profession et comme le bon DGS a décidé de prendre soin d'un paysage jonché de désolation, j'ai donc consenti à une conciliation amiable à l'Ordre des médecins.
Or, avec le Docteur LANGOUSTE, il s'agit d'une récidive avec un chef expérimenté. De plus, pour me faire comprendre qu'il se moquait de moi, il s'est moqué du futur Ministre américain de la santé car ce dernier a pris le parti de reconnaître les victimes des vaccins contre l'avis des Agences de santé. Sans aucune réserve, le CMP se moque de toutes les hiérarchies.
Les yeux dans les yeux et dans un silence explicitement ferme, je n'ai laissé la place à aucun renoncement de ma part de la parole du DGS.
Suite à cette tentative timide de me faire céder à mes chances de guérir de mon mercure, j'ai décidé d'attendre la tonalité des consultations à venir.
La répétition de ces tentatives relayées d'un médecin à un autre et d'une consultation à une autre prend des airs d'une moquerie collective et hiérarchique contre la parole du DGS.
En cas de récidive du Dr LANGOUSTE lors d'une prochaine consultation à venir, y compris dans un futur lointain, je saisirai d'abord l'ARS Ile-de-France pour privation de chances de guérir.
Je vous prie, Monsieur le Directeur général, d'accepter l'expression de mes salutations distinguées.
PIECES ATTACHÉES :
- DGS
-Convocation par l'Ordre des médecins
-Plainte contre le Dr ECREVISSE
- Réponse au plaidoyer de l'Ordre des médecins -
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