nakyla a écrit:jibouille a écrit:Bon moi j'ai les 2 j'en produit pas et j'arrive pas à les dégrader donc tout va bien
Si t'en produis pas, pas besoin de les dégrader
, en fait t'as peut-être une génétique hyper évoluée
Le jibouille est une espèce de "sur-homme" qui a su tirer avantage de l'évolution du monde a son intéret... quelle belle leçon d'évolution il nous prodigue la
Soit dis en passant, je vous rejoins sur le fait qu'il y a vraiment de quoi se faire des noeuds au cerveau entre toutes les supositions que l'on est obligés de faire
Il est indéniable que le test de 23andme représente une source énorme d'informations sur sa génétique et donc autant de pistes a explorer dans les années a venir... mais c'est aussi parfois très frustrant de voir qu'on a si peu de "billes" en main pour réellement aller au fond des choses... il y a forcément de multiples gènes dont a pas encre la moindre idée et qui engendrent a leur tour des réactions biologiques qui vont soit contrebalancer soit amplifier un déséquilibre deja présent. Etant donné le nombre très très limité de gènes qui sont actuellement compris, c'est sur qu'il y a une part très grande de "suposition" et d'intérogations dans tous les protocoles que l'on peut mettre en place, ne serait-ce que sur la méthylation et la transulfuration. A mon sens il faudrait pouvoir être capable de réellement mesurer les taux de chaque métabolites intermédiaires afin de savoir réellement quel est l'endroit ou ça coince le plus...
Dans mon cas de figure par exemple même avec une méthylation qui semble "bonne" via les polymorphismes classiques identifiés, j'ai pourtant un taux d'oxide nitrique salivaire complétement éffondré...il y donc "quelquechose" qui coince en amont, mais quoi? Il se passe tellement de choses entre la méthylation en elle même et la synthèse de l'oxide nitrique qu'il est limite impossible de trouver ou ça bloque a moins de mesurer chacune des principales réactions intermédiaires en amont. Comment mettre ça en pratique? Est-ce au moins réalisable via des examens...? Ca semble en tout cas très complexe, et c'est sans compter que la génétique n'est peut etre pas la seule a incriminer dans ce taux très faible, cela peut aussi etre du par exemple a des déficiences en arginine, des pb de BH4, d'amoniaque, de mercure, etc etc... Bref bcp d'intérogations encore dans une voie prometteuse mais immense et extrémement complexe malheureusement.
Pti gars