COMPREHENSION DU PUZZLE - PARTIE 1 : IL FAUT SAUVER LE CERVEAU. (...et non pas "le soldat ryan"! Petite dédicace cinématographique..
)
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Contributeurs : Pti gars
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
1) Un cerveau "toxique"Bon... j'ai hésité a appeler ce premier chapitre différemment, j'avais aussi pensé à : "comment devenir plus bien plus mal en pensant se faire du bien!" mais c'était trop long et ça ne rentrais pas dans le titre... mais bon je vous le dis quand même, comme ça au moins vous êtes dans l'ambiance!
Alors pour commencer cet exposé sur le cerveau dans nos pathologies chroniques, introduisons tout cela par une petite devinette!
D'après vous, quel est le point commun entre:
- Le mercure (et le plomb, le nickel, le cadmium, etc)
- La borreliose (et ses copines babesia, bartonella, etc)
- Les moisissures
- De nombreux produits chimiques, pesticides, herbicides et toute la ribambelle anti-vie agrochimique
Ce sont eux qui nous rendent malades! Oui, en grande partie, c'est vrai...mais encore? Rien de plus précis...?
Et bien voila...tous sont (ou émettent) des
NEURO-toxines! Examinons un peu ce nom, on l'a déjà tous entendu, on le connaît, donc on n'y prête même plus attention...et pourtant, tout est dit:
neuro-toxines: "toxines qui entravent le bon fonctionnement du SNC, du cerveau et des corps gras (glandes endocrines, cœur, foie).
Partant de la, une constante apparaît dans 99% (j'ai pas envie de dire 100%, alors bon...) des malades chroniques de notre époque, en allant des fibromyalgiques, aux lymés, cancéreux, ou Parkinson, Alzheimer, EHS, etc...
ils ont TOUS une très forte toxicité et une inflammation chronique du cerveau!Bien sur ce n'est pas le seul facteur commun que l'on retrouve chez eux, le forum mélodie vous en a sûrement fait découvrir un bon nombre pour ceux qui le lise depuis des années, mais ce facteur la est tout particulièrement important, si bien que j'ai décidé aujourd'hui de l'aborder plus en détails dans ce premier chapitre.
Le cerveau est le siège de la vie, l'ordinateur de notre corps, le pont entre les réalités tangibles et invisibles, il est mille choses a la fois (et même bien plus encore!), celui qui nous fait ressentir le plaisir ou la douleur, la joie ou la peine....et pourtant bien peu s'en préoccupent, alors même qu'ils sont malades depuis longtemps et cherchent des solutions tous les jours pour essayer d'aller mieux
Certains penseront: "mais si! je prend du ginkgo biloba depuis des années, je mange de la lécithine régulièrement, je suis aux petits soins avec lui..." , et pourtant il faut bien comprendre que ces quelques démarches sont déjà mieux que rien, mais dans le cadre de maladies chroniques environnementales, très loin d'être suffisantes! Il FAUT s'occuper de son cerveau (et des organes voisins, comme l'hypophyse et l'hypothalamus), mais
il faut s'en occuper vraiment, du mieux que l'on peut et en priorité avant même de débuter quoique ce soit au niveau de la détox ou des traitements immunitairesPourquoi donc? Et bien c'est simple: le mercure, les métaux lourds, les parasitoses, lyme, tous émettent de fortes neurotoxines, qui perturbent fortement le fonctionnement normal de notre cerveau...la personne se trouve donc petit a petit malade, avec un cerveau dysfonctionnel, et cela peut se matérialisé par de nombreux symptômes visibles comme brain fog, idées noires, tristesse, colères incontrôlables, voix dans la tête, douleurs chroniques dans la tête, etc... Les glandes endocrines que sont l'hypothalamus et l’hypophyse sont également très chargées de ces toxines, ce qui entrave la régulation normale des hormones, et qui par effet domino ira progressivement dérégler tous les moindres aspects du corps (immunité, sommeil, énergie, libido, digestion, etc)
Cette situation est celle dans laquelle on voit arriver la majorité des gens sur le forum...et ces gens la, heureux de découvrir ENFIN des pistes réelles a leur mal-être, se lancent petit a petit dans la chélation, la détox globale, le travail contre lyme, candida albican, parasites... bref tout ce qui est déjà formidablement bien expliqué sur le forum.
Or, c'est a ce moment la que les vrais problèmes arrivent..tout n'est pas aussi rose et simple a réaliser que ce qu'avait dit Mme Cambayrac dans son livre sur le mercure: les IV de DMPS et la chélation n'est pas une "affaire de robot" et les protocoles, s'ils sont mal suivis, rendent de nombreuses personnes bien plus malades que ce qu'elles ne l'étaient déjà...
Comment est-ce possible alors que l'on enlève "le poison"? Est-ce que cela ne devrait pas être au contraire salvateur et signe d'une santé retrouvée? En théorie oui! En pratique...c'est plus complexe que cela, fort malheureusement...
Tout d'abord, tout traitement de détox entraîne un effet pervers de mobilisation (= remuage) de toxines, métaux lourds, qui vont être remis en circulation dans le sang afin d'être (on l'espère fortement...) éliminés par les organes dédiés a cette fonction (foie, rein, colon, et peau principalement). Le problème, très souvent abordé sur le forum, réside dans le fait que la charge mobilisée à un instant T sera presque toujours supérieure a celle qui pourra être éliminée a ce même moment (ceci est très fortement accentué lors de l'utilisation de techniques violentes de mobilisation comme les intraveineuses de chélateur), aboutissant a des phénomènes de "
redépose" de certains de ces métaux dans d'autres parties du corps.
N'oublions pas que ces derniers sont des neuro-toxines, et donc qu'ils ont des affinités bien plus grandes avec le SNC et le cerveau...ce qui peut donc durant ces moments la entraîner une diminution de la charge toxique de certains organes, tissus, muscles, et en parallèle a une augmentation de charge toxique au niveau du cerveau. Cette situation n'est en rien positive car le cerveau est de loin la PIRE zone ou l'on veut avoir du mercure...
on croit donc avoir réalisé une chélation positive pour soi, la ou bien souvent on a juste amplifié la problématique majeure: la toxicité du cerveauOn ne le redira donc jamais assez: le mieux est l'ennemi du bien, les traitements de drainage/chélations sont des marathons, pas des sprints! Déjà qu'en faisant le marathon il y a bien des chances de faire des erreurs de temps en temps, je vous laisse imaginer pour ceux qui vont trop vite, prennent des doses massives de chélateur, ou suivent la voie des IV (qui pour moi est bien trop dangereuse).
Le traitement visant à soutenir l'immunité et a combattre les multiples infections retrouvées chez les malades chroniques n'échappe en rien a cette règle: en stimulant l'immunité, en tuant des parasites/bactéries, le corps doit toujours faire face a deux problématiques majeures: les "dégâts collatéraux" des mécanismes d'inflammation, et la libération supplémentaire de neurotoxines des parasites (soit durant leur mort en tant que colis surprise
, soit par mécanisme de "défense" quand elles se sentent stressées et agressées). Ces mécanismes seront abordés plus en détails dans la deuxième partie "les 4 verrous majeurs" :
viewtopic.php?f=80&t=4145)
Ainsi donc, actions différentes mais même conclusion: en stimulant la détox ou l'immunité, la réaction directe que l'on va avoir c'est une multiplication des neurotoxines en circulation dans le corps (et encore plus si l'on a une génétique de reconnaissance immunitaire défaillante: voir le typage HLA expliqué dans le chapitre 5 "un véhicule imparfait")
et donc forcément une agression du cerveau (et d'autres organes) plus prononcée.
Cette situation n'est simplement pas envisageable dans un grand pourcentage de cas et les personnes les plus malades le deviennent au final encore plus en suivant ce type d'approche "guerrière" ou l'on essaye, de grès ou de force" de retirer le poison, et/ou tuer les infections.
Bien entendu ces deux facteurs sont au cœur des pathologies chroniques, donc OUI il faut s'en occuper, mais NON il ne faut pas le faire sans protection, sans filet de sauvegarde: sans avoir pris immensément soin de son cerveau AVANT, PENDANT, et APRES!Une fois que l'on connaît les soins de bases, les compléments (rien de bien transcendent vous allez voir...) qui protègent le cerveau, qui limitent grandement l'impact des neurotoxines, alors la il est beaucoup plus simple de faire sa chélation, son traitement contre lyme, etc... on sait que si l'on fait des petites erreurs (faut pas non plus faire n'importe quoi en pensant qu'on est protégé de tout hein...) et bien elles ne seront plus fortement préjudiciables pour notre équilibre, comme c'était malheureusement le cas avant! Alors la route devient plus sereine, plus simple, plus facile a suivre...
2) Protéger son cerveau, oui mais comment? Il existe divers axes sur lesquels on peut travailler a ce niveau, et comprenez bien qu'ils sont
complémentaires et sûrement pas antagonistes! Quand il s'agit de protéger son cerveau en vue de pratiquer une chélation ou un travail immunitaire, rien n'est trop...je le redis si vous n'avez pas bien lu: RIEN N'EST TROP!
Je vous conseille donc d'attaquer sur plusieurs fronts, de tester ce qui est le plus efficace pour vous, vous allez vite ressentir quand vous aurez trouvé un ou plusieurs mécanismes de protection efficaces pour VOUS. Une fois fois que c'est fait, vous devriez vous sentir déjà mieux, avec beaucoup moins de tensions sur votre physique et vos émotions, votre mental... et a ce moment la (et pas avant!), vous saurez que vous pouvez débuter votre route de détox et d'immunité, et que celle ci sera plus sûre et plus sécuritaire. Bien entendu il faudra continuer a protéger son cerveau durant toute cette route et ne pas faire la bêtise de laisser tomber en cours de route, pensant que c'est "plus utile" de s'acheter du DMSA ou du tic tox ("et que les finances sont limitées", je le sais bien...).
Somme toute: Mettez vous de multiples boucliers sur la tête, et commencez alors a avancer doucement "sous la pluie de flèches des neurotoxines"... enlevez vos boucliers et vous allez vite ressembler a une passoire...
a)
La barrière intestinalePour protéger son cerveau de la toxicité, la première chose à faire réside dans le fait... de restaurer sa barrière intestinale! Comme le disent les meilleurs spécialistes américains: leaky gut --> leaky vein --> leaky brain! Cela signifie que l'hyper-perméabilité intestinale aboutit a une hyper-perméabilité du système veineux/artériel, et donc une ouverture de la barrière hémato-encéphalique et une toxicité grandissante du cerveau.
Pour protéger son cerveau, la première des choses a faire et donc de corriger les troubles persistants de la sphère digestive, et ceci est expliqué en détails dans le chapitre 2: "les quatre verrous majeurs"
b)
La barrière hémato-encephalique (BHE)Un axe très important pour la protection du cerveau réside dans le fait de réparer la BHE, celle ci étant très souvent a l'état de "passoire" (à l'identique de la barrière intestinale) dans le cas des malades chroniques de type "fibromyalgique". Il y a de nombreux facteurs qui jouent actuellement sur le fait que celle ci deviennent de moins en moins efficace, et nous en noterons trois majeurs sur lesquels on peut agir:
- Les ondes électromagnétiques pulsées artificielles (téléphonie, wifi, micro-onde, radars, etc) : il a été prouvé que ces ondes rendent de plus en plus perméable notre BHE, il convient donc d'être particulièrement attentif aux niveaux d'exposition reçus journalière ment. Ce sujet permet d'aider a justement diminuer cette exposition:
viewtopic.php?f=66&t=3916- L'inflammation systémique: cette problématique est si importante qu'elle va être abordée plus en détails dans le chapitre suivant:
viewtopic.php?f=80&t=4145Ainsi, réduire l'inflammation et moduler son immunité est une priorité également pour la protection du cerveau, donc autant s'y mettre dessuite
- Certains composés oxidants très néfastes, tel que le peroxinitrite, ouvrent la BHE. L'étude du cycle NO/ONOO- (récepteur NMDA, peroxinitrite, oxyde nitrique, superoxide) constitue une des clés majeures de la protection du cerveau et il est vivement conseillé que chaque malade environnementaux s'intéresse de près à cette problématique.
c)
Les substances antioxydantes du cerveau et les blocs de reconstructionIl existe plusieurs substances capable d'aider directement ou indirectement le cerveau, et je recommande a tous de faire ses propres essais afin de choisir ceux qui sont éfficaces pour soi, et de s'y tenir sur du long terme. Comme expliquer auparavant, cela limitera le fait que les oxydants (neurotoxiques ici) ne viennent perturber encore plus le fonctionnement du cerveau lors des thérapies de détox et de travail immunitaire.
Voici les principales substances utiles sur lesquelles se pencher:
- Les vitamines du groupe B
- La phosphatidyl-serine et la phosphatidyl-choline
- les omega 3 de poissons (EPA et DHA) en grande quantité (au moins 1g de chaque tous les jours)
- l'astaxanthine
- l'uridine
- bacopa
- l'apoaequorin (prevagen)
- CDP-choline
- Acethyl-L-carnitine, alpha-lipoic acid (ALA) et le coQ10 (ubiquinole a privilégier)
- Acide ribonucleique (RNA)
- le D-galactose
- le Pterostilbene (compagnon idéal du resveratrol
)
- le PQQ (utile aussi pour diminuer l'excitotoxicité)
- Faire vérifier ses taux, et si carence, envisager une supplémentation en pregnenolone et DHEA (ces deux hormones ont un rôle important pour l'équilibre du cerveau)
- l'Ail frais (et de préférence bio!) peut avoir pour certain un effet très net et très positif au niveau cérébral: de la même manière que le resveratrol et le curcumin, ce dernier est connu pour
faire baisser le taux d'acide quinolinique (un puissant neurotoxique) qui est souvent élevé chez les malades environementaux. Attention cependant de débuter doucement car l'ail est fortement antiparasitaire et peut provoquer de l'élimination et des gaz au début. Certaines personnes ont également une intolérance aux composés souffrés en général (principalement a cause de polymorphismes génétiques: voir le chapitre 5 "un véhicule imparfait" pour plus de précisions) et ne le supportent pas avant d'avoir entrepris d'autres actions préalables. Nous reparlerons de cet aspect par la suite, dans les chapitres suivants.
A noter que plusieurs combinaisons sont synergiques parmis ces produits, comme par exemple "astaxanthine + omega 3 + uridine", etc.
d)
le déséquilibre Glutamate / GABASource:
http://www.heartfixer.com
- excitotoxicité.jpg (13.92 Kio) Vu 50802 fois
Le glutamate est le principal neurotransmetteur "excitateur" du cerveau. Il est essentiel pour l'apprentissage et la mémoire à court et à long terme. Comme vous pouvez également le voir sur le schéma, le glutamate est aussi le précurseur du principal neurotransmetteur "calmant", le GABA.
De nombreux processus physiologiques du corps exigent un équilibre entre le glutamate et le GABA, ce qui est théoriquement facile à réaliser puisque le glutamate, la glutamine, l'alpha-ketoglutarate, et le GABA peut être interconvertis via les enzymes décrits ci-dessus.
Dans la pratique on se rend compte que cet équilibre est aujourd'hui très facilement perturbé: les polymorphismes génétiques, parasites, métaux lourds, conduisent souvent à un excès de glutamate et un manque de GABA (on parle alors d'
excitotoxicité). Cette excitoxicité provoque des dégats progressifs sur le cerveau et font que la personne est alors constamment sous tension, avec des symptômes de pression neurologiques, de mal-être et d'incapacité a "éteindre le cerveau" pour se reposer.
On notera en plus la production excessive d'alpha-cetoglutarate chez les individus qui ont une suractivation génétique de la CBS (voir chapitre 5: un véhicule imparfait) , ce dernier entrainant une accentuation du phénomène d'excitoxicité et de déséquilibre entre glutamate et GABA.
Un faible niveau de GABA conduit à des difficultés d'élocution, de l'anxiété ou de l'agressivité, une mauvaise socialisation, des troubles visuels, des sensations de mal-être généralisé, ou encore de la constipation.
Un excès de glutamate épuise en plus les réserves de glutathion, augmente les niveaux de TNF-alpha, contribuant aux phénomènes d'inflammation systémiques (voir chapitre 2 : les quatre vérrous majeurs)
Afin de rétablir l'équilibre entre glutamate et GABA, voici ce qui peut être réalisé:
- S'occuper des problématiques de suractivation de la CBS (voir chapitre 5) ou de diminution de la BHMT en vue de diminuer la production d'alpha-ketoglutarate.
- Éviter soigneusement les précurseurs alimentaires de glutamate (acide glutamique, glutamine, etc)
.
- Faire une supplémentation en GABA (celui ci ayant du mal a passer la barrière hémato-encéphalique, le "Picamilon" peut etre utilisé avantageusement à la place)
- Le cuivre inhibant la conversion du glutamate en GABA veuillez à éviter un excès de ce dernier, et rétablissez l'équilibre entre le cuivre et le zinc.
- Le calcium est impliqué dans la toxicité du glutamate, veuillez donc a vérifier que les apports ne soient pas excessifs
- Faire une supplémentation en Pycnogénol (extrait de pin maritime) qui aide a diminuer les niveaux toxiques de glutamate
e)
la circulation sanguine du cerveauUn classique que l'on retrouve aussi dans de nombreux cas chez les malades chroniques réside dans le fait que la circulation cérébrale (= perfusion) est fortement perturbée: certaines zones sont hypervascularisées alors que d'autres sont au contraire hypovascularisées et donc en hypoxie cérébrale (manque d'oxygène).
Afin de permettre au cerveau de fonctionner correctement, de recevoir les compléments que l'on aura pris, et de se détoxifier des substances nocives, il est très important de corriger les éventuelles perturbations circulatoires a ce niveau.
A ce jour il n'existe malheureusement que très peu de tests réellement fiables afin de visualiser si oui ou non il y a de grosses perturbations a ce niveau (en dehors de l'Encephaloscan du Dr Belpomme). Il est donc recommandé a tous ceux qui ont des symptômes neurologiques de s'y intérésser, car une grande partie d'entre eux auront effectivement un problème a ce niveau.
Les complements utiles pour aider a rétablir une meilleure circulation a ce niveau sont:
- Gingko biloba
- Piracetam
- Picamilon
- Lumbrokinase
- Vinpocetine
- Huperzine A
- Gotu kola
Remarque importante sur toutes ces substances qui aident le cerveau:
Il faut partir du principe que bcp de substances qui aident a faire mieux circuler le sang, ou a réparer certaines parties, risquent aussi la majorité du temps de mobiliser des choses qui n'auraient pas dues être la. Au final ces composés peuvent s'avérer etre des "mobilisateurs" non négligeables des toxines cérébrales pour ceux qui sont très fournis dans cette zone. Il convient donc d'y aller également doucement dans ses propres essais de compléments qui visent a soutenir le cerveau, certains pouvant facilement se retrouver mal en point par mobilisation de toxines cérébrale. Encore une fois, ici aussi, il s'agit d'un marathon et non d'un sprint... et le soutien des voies de sorties (principalement intestinale) est primordial pour évacuer les toxines mobilisés (voir chapitre 4: c'est par ou la sortie) Bonne route à tous, et prenez soin de votre cerveau...car vous l'aurez compris, c'est la base de tout!
Pti gars