- Traité de désintoxication : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 14#p121814
- Plaidoyer de désintoxication : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 15#p123009
- Réponse favorable du Ministère de la Santé pour enfin prendre en charge les intoxiqués : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 95#p123195
- Une présentation générale de mon topic se trouve à la page 14 : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 95#p116856
sources, vidéos, liens, détails, .... Il s'agit du travail préparatoire au traité de désintoxication.
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--------------------------------- - 2016
Bonjour aux mélodiens,
Cela fait quelques temps que je consulte le forum, mais j'avais déjà un long parcours très chaotique de détox avant de tomber sur le forum mélodie. Étant donné que mon histoire d'intoxication n'est pas très différente de nombreux témoignages exprimés dans ce forum, j'ai donc eu envie de raconter mon histoire avec un angle un peu différent via ma déception de la médecine officielle.
- Liminaire
- Après quelques années d'une descente inexorable des fonctions du corps dont l'origine a été tardivement identifiée par une intoxication aux métaux lourds ; puis, suite à un rétablissement encore imparfait, je parviens enfin à retrouver la capacité d'écrire. Tant de souffrances, encore inexpliquées à l'époque, ne m'avaient pas autant démoralisé que le jour où je me suis aperçu que mes mains ne parvenaient plus à tapoter correctement sur le clavier d'ordinateur. J'en supportais déjà beaucoup, j'aurais tout supporté, tout sauf cela. Comparé à cela, j'ai facilement supporté le délaissement du téléphone portable, j'ai aussi facilement supporté la sensation d'un faible incendie permanent qui couve et qui gagnait tout le corps peu-à-peu ; mais là, je perdais le langage et, par là-même, je perdais le peu qui me restait, et qui me faisait tant humain. Toute une batterie de symptômes cognitifs m'avait déjà atteint et de nombreux autres se pointaient à l'horizon, la bataille semblait perdue d'avance. Mais, me revoilà, grâce à la chélation, entre-autre.
- Symptômes
- Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; mauvaise humeur ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; impossibilité de se projeter dans l'avenir ; déconsistance du temps long (ceux qui sont passés par là comprendront), anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...
- Vicissitudes labyrinthiques
- Parfois, je rêvais que j'allais spontanément guérir dans la nuit. Les symptômes étaient apparus si lentement que je ne les voyais pas s'installer, je me disais qu'ils allaient disparaitre comme ils étaient venus. Mais devant la masse de désordres, j'ai dû consacrer un mi-temps à la guérison. J'ai passé ma vie à mentir à tout le monde pour m'organiser, pour masquer les symptômes. Mentir, mentir, et mentir ; dire que ça allait mieux, dire vainement que j'étais en voie de guérison... Cependant, j'étais encore bien loin du protocole de la chélation à faire soi-même. J'ai perdu beaucoup de temps. Le traitement aux métaux-lourds est un labyrinthe au long cours dont les vicissitudes sont décourageantes pour qui a l'habitude d'une médecine qui obtient des résultats en claquant des doigts. Grâce à toutes ces vicissitudes, j'ai fini par devenir mon propre thérapeute, et comme le dit Montaigne dans ses essais, cela ne me tourmente pas.
- Naturopathie, Justice et Ordre des médecins
- Après des recherches sur les symptômes d'électro-sensibilité que je portais, je tombais sur la double grâce présidentielle du docteur Jean-Pierre Maschi. Radié de l'ordre pour charlatanisme dans les années soixante-dix pour avoir traité efficacement des SEP et des électro-sensibles, ce médecin avait été gracié par Mittérand, puis par Chirac (Voir Alpes Maritimes L'incroyable procès en " sorcellerie " contre un médecin niçois). L'ordre des médecins s'adonnait donc à une chasse à l'homme sur un médecin qui traitait mes symptômes. Dans ce cas, il est aisé de comprendre que la médecine officielle ne fournit ni diagnostique, ni reconnaissance, ni traitement. Il est également aisé de comprendre que la documentation en français est quasiment inexistante. Devant l'absence de solution à un problème croissant, mon électro-sensibilité gagnait du terrain, je me capitonnais de plus en plus chez moi. Je coupais le disjoncteur la nuit, et je m'éclairais à la bougie.
- Belpomme
- "Les électro-sensibles ne sont pas fous !", c'est par ces mots lancés par le professeur Belpomme sur France Info en 2011 que je me rue pour prendre un rendez-vous. Je suis passé par le Professeur Belpomme pendant deux ans, dont le traitement a été efficace pour atténuer la confusion. Le manque de sommeil a également été traité mais le mal n'était pas curé car il fallait prendre des médocs tous les soirs. De surcroit, son traitement ne traite pas les causes mais il ne traite que quelques effets. En dépit d'un formidable espoir, la lente descente aux enfers reprenait inexorablement son chemin. Les métaux-lourds, dont j'ignorais encore l'existence, se diffusaient.
- Un dissident de l'intérieur
- Dans l'épisode "Les ressorts du divan" de sa contre-histoire de la philosophie, Michel Onfray évoquait que Freud avait exclut les patients qui souffraient de confusion de la psychanalyse. En effet, dans "Entretien et psychanalyse : Sigmund Freud et la technique psychanalytique” par Bernard Dantier, Freud écrit : "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse, du moins telle qu'on la pratique jusqu'ici". Le mot "Confusion" était certes bien là, mais surtout, Freud utilise le mot "Toxiques" comme si la personnalité de quelqu'un pouvait prendre la forme du mal dont le corps souffre. Freud était également neurologue ; quand il choisit les mots "Confusion" et "Toxiques", c'est également en connaissance du volet scientifique du cerveau. Les conclusions de Freud héritent donc de la double lecture scientifique et psychologique. J'ai l'impression que la psychanalyse enseignée à l'université est dans le déni des champs d'application définis par le praticien. Selon mon interprétation, la psychanalyse freudienne s'applique à une majorité de gens qui ont l'air plutôt normaux mais qui souffrent intérieurement de ne pas se dire des choses qui soient vraies à propos de l'historique de leur sexualité et à propos de l'éternelle échéance à la mort. La mort est une vieille histoire, elle est certes présente pour les intoxiqués au mercure, mais l'échéance à la mort transcende également l'humanité depuis la nuit des temps. Pour un sujet normal et courant, le déni de l'échéance de la mort est répandu et cela le rend dépressif. C'est en cela qu'un sujet est éligible à la psychanalyse, et c'est acceptant le terme de sa vie que le sujet renoue avec l'art de jouir de la vie. Or, pour un patient qui souffre de confusion, de psychose et de mélancolie toxique tel qu'un intoxiqué aux métaux lourds, Freud précise bien que selon les premiers éléments d'une discipline naissante, ces symptômes semblent ne pas relever de la psychanalyse. Soixante-dix ans après la disparition de Freud, les témoignages de guérison par la chélation suggèrent que, conformément aux pressentis de Freud, ces symptômes ne relèvent définitivement pas du déni, et donc ni de la psychanalyse. En comparant les effets des herxheimer et les symptômes de confusions, de psychose et de mélancolie, je suis frappé par une certaine proximité. Freud était-il tombé sur des intoxiqués ? Toutefois, Freud a bien pris soin de contrecarrer de façon préventive des interprétations d'époque et/ou ultérieures qui tenteraient de récupérer l'inconscient freudien pour lui affubler des pathologies dont on désespère résoudre. Il est d'ailleurs curieux que la psychanalyse émerge de façon concomitance à l'époque (1850-1950) de la sécularisation des religions dont la vocation première était justement d'élaborer un grand récit à propos de l'échéance à la mort.
- Médecine allopathique anti-physiologue
- De mon coté, j'avais certes fait des prises de sang, des IRM, des électroencéphalogrammes, mais les résultats étaient négatifs, pas d'anomalie cérébrale, ni d'intoxication apparente, ni même une légère anémie. Mais en matière d'intoxicologie, j'ignorais encore que la médecine française était inopérante à coté de la médecine du reste du monde occidental. Devant tant de résultats négatifs aux tests classiques, mon médecin généraliste avait évidemment tenté de me prescrire des anti-dépresseurs sans me prévenir de cette initiative. Sans rhétorique argumentée sur ses actes, la médecine perd totalement sa part de professionnalisme. Il est aisé de comprendre que les médecins de ville s'orientent vers l'inconscient freudien dont la définition si prétendument si mystérieuse demeure commode pour se débarrasser des patients qui pointent l'impasse dans laquelle la médecine s'est placée. Il n'était donc pas suffisant que je me batte contre moi-même, il me fallait aussi délaisser une médecine officielle qui pourchasse les naturopathes et non les charlatans. Cela m'apprendra à avoir confiance en des médecins.
- Cambayrac
- Ensuite, je suis tombé sur le livre de Françoise Cambayrac et je découvre enfin une cause probable à tous mes symptômes dont les facteurs pourraient être attribués aux nombreux amalgames dentaires que j'avais porté. À la lecture de son livre, j'ai suivi le régime SGSC, avec de bons résultats. Puis, je suis passé par du DMPS en IV pendant deux années. Par chance, les effets des traitements n'ont pas été négatifs mais les symptômes s'effacent lentement. Le prix est également prohibitif, pas d'acte, des conditions un peu clandestines. Mais le délai entre deux injections est d'un mois, ce délai est trop long pour mes incessantes céphalées handicapantes. De surcroit, le DMPS ne désintoxique pas directement le cerveau, il faut attendre une migration par osmose dont les premiers effets cognitifs se font ressentir au bout de six mois. Cependant, je dispose enfin d'un test qui annonce une intoxication forte aux métaux-lourds (Mercure, Plomb, Arsenic, & cuivre)).
- Centre anti-poison.
- J'ai passé un coup de fil à un centre anti-poison pour avoir le cœur net, j'ai expliqué mon parcours (plombages, intox chronique), ils m'ont expliqué qu'ils niaient cela et que pour cela ils ne me prendraient même pas en rendez-vous pour faire un contrôle par prise de sang. Depuis, j'ai fait une plombémie dans un labo, résultat négatif en dépit du résultat positif par le test de provocation des labos allemands.
- Les première fois, en 2014 et 2015.
- 2014 : En dépit du récit de mes symptômes, mon interlocuteur m'a demandé si j'avais été l'objet d'un empoisonnement direct.
Comme cela n'était pas le cas, cette question a mis fin à la conversation sans qu'il y ait de suites.
Je me suis donc fait écarté dès la prise de contact sans qu'il y ait eu un examen de contrôle. - [i]Édit 27 janvier 2020.
J'avais oublié que j'avais rappelé en 2015. Je dis que je suis intoxiqué et que j'ai des amalgames. Mon interlocuteur me dit qu'il va me rappeler dans la semaine. Il ne rappelle pas. Je rappelle, il me dit à nouveau qu'il va me rappeler. Il n'a jamais rappelé.
- 2014 : En dépit du récit de mes symptômes, mon interlocuteur m'a demandé si j'avais été l'objet d'un empoisonnement direct.
- Complément centre anti-poison (Cap) (édit 2019)
Au cours de ces dernières années, j'ai joint plusieurs fois les centres anti-poison au téléphone.
Trois appels, trois - Les première fois, en 2014 et 2015.
- J'ai indiqué que j'avais des analyses positives avec le DMPS.
Mon interlocuteur, après m'avoir dit que la médecine française ne reconnaissait pas les empoisonnements chroniques, a également refusé de prendre un rendez-vous pour pratiquer un examen de contrôle.
En dépit des symptômes, de tels refus indiquent que les centres anti-poison ont une politique de barrage. Il me semble que pour que les centres anti-poison ouvrent le droit à un premier examen de contrôle, il faut leur apporter un récit avec une fiole et un coupable à la Lucrèce Borgia, et un acte direct d'empoisonnement extérieur. À contrario, un récit que s'apparente à un empoisonnement chronique (par ex : avec des implants avec de légers symptômes qui s'aggravent au fil du temps) est barré par les centres anti-poison. Comme le DMPS n'est pas autorisé en France, et comme le test officiel crée des faux-négatifs, le test au DMPS est donc un odieux importun qui met l'inavouable indigence des centres anti-poison en lumière. En effet, s'ils m'avaient reçu après le deuxième appel, j'aurai présenté mes analyses positives au DMPS au centre anti-poison alors que ce dernier serait forcé d'avouer que leurs analyses officielles seraient évidement des faux-négatifs. Contrairement aux empoisonnements ponctuels, les empoisonnements chroniques ne passent pas par le sang mais ils passent de cellules en cellules par proximité et par diffusion ionique. Si un peu de poison s'échappaient vers le sang, il serait immédiatement éliminé par le foie ; le sang est donc totalement nettoyé en dépit que l'intérieur des cellules est empoisonné. Or, les empoisonnements directs (à la Emma Bovary) passent nécessairement par le sang, on retrouve donc des doses substantielles avec le test officiel français. Les centres anti-poison refusent donc les patients dont les symptômes semblent chroniques afin de ne pas se trouver dans l'embarras de la défaillance de leur test.[/i]
Voir post dédié CENTRE ANTI-POISON.
- Par la suite, je suis tombé sur le site de Stéphane Tétart, naturopathe et ex-intoxiqué. Il délivre tous ses secrets de naturopathe sur internet. Grâce à lui, j'ai pu rétablir une digestion efficace. Cela m'a pris du temps, j'ai dû réorganiser mes courses et la cuisson. J'ai dû faire des expérimentations sur moi-même et attendre des éventuels résultats improbables qui parviendraient dans un délai inconnu au moment de la mise en place des expérimentations. À force de persévérance, le corps se reconstruit et il se rétablit en dépit de l'intoxication. J'y apprenais aussi que le circuit d'élimination est une chaine qui passe par le foie, la vésicule biliaire, puis les intestins. Si un seul maillon est défaillant, les métaux lourds ne s'éliminent pas ou peu.
- Par l'association "Non au mercure dentaire", j'apprends récemment que le service de Détox au CHU d'Orléans avait été fermé par les centres anti-poisons suite à la diffusion du reportage "Alerte au mercure". Il est donc imprudent d'alerter sur le scandale. Je crains donc que la massification de l'ignorance des médecins ne se soit transmise par l'université. Espérons que la médecine officielle se ressaisira le plus rapidement possible, mais la récente radiation du Professeur Joyeux pour avoir dénoncé les métaux-lourds dans les vaccins me laisse assez dubitatif à propos d'une possible désaliénation rapide.
- Et enfin, j'arrive sur le Forum Mélodie, grâce auquel je découvre l' E-book. Par ce dernier, je comprends enfin un peu les rouages de l'effet des métaux-lourds sur les cycles de la cellule. Je comprends que la cellule biologique est porteuse d'une dévitalisation couplée à un état qui obstrue la retenue. C'est à dire que la pédale d'accélération est bloquée au plancher mais que les ressources énergétiques sont très faibles. Cet état se place dans un phénomène d'emballement. Grâce aux nombreux témoignages des mélodiens, j'opte pour le protocole Cutler tout en sachant bien à quoi m'attendre : du remuage et des Herxheimer. En dépit de m'y être psychologiquement préparé, les premières prises d'ALA et de DMSA ont bien déclenché des petites Herxheimer, j'ai un peu (mais pas trop grâce à la prévention) cru que le ciel allait me tomber sur la tête. Mais ces Herxheimer se sont dissipés peu à peu. J'ai fini par appliquer le protocole en continu quasiment tous les jours pendant deux mois, j'y ai même ajouté de la TM de Coriandre, de TM d'ail des ours, de l'EDTA, et du MSM. Je réduis les doses de façon à rétablir une bonne digestion. C'est en ayant une digestion impeccable associée au traitement de chélation que je ressentais quelques progrès. À terme, les améliorations sont bien au rendez-vous. Mais après cette cure de chélation non-stop, les améliorations ont néanmoins cessé de parvenir en dépit qu'il demeure encore des céphalées. Aujourd'hui, je ne suis pas tout à fait guéri, je suis certes mieux et je sais donc que je peux me rétablir mais que le chemin sera encore très long.
- Édits, février 2019.
- Reconstruction de l'histoire longue
- Grâce à ces deux années d'études intensives sur les métaux lourds, je vais pouvoir établir une hypothèse multi-décénale de la dynamique d'intoxication.
Ma jeunesse a toujours été à la limite inférieure de la sociabilisation.
C'est-à-dire que je pouvais être sociable mais cela était un effort qui s'évanouissait intempestivement et régulièrement.
Surtout, cela s'évanouissait aux moments d'intensité.
Du point de vue scolaire, j'avais des dispositions en sciences mais j'avais des difficultés en littérature.
J'avais une frustration en littérature qui se transformait en agacement quand je tentais de combler cette frustration.
C'est-à-dire que, en dépit que je m'investissais intensément, mes moyens cognitifs ne permettaient pas de satisfaire mon désir de littérature.
J'attribue donc tous ces symptômes à une intoxication modérée, précoce et stable.
Je n'ai donc jamais été diagnostiqué car j'avais une apparence de normalité 80% du temps.
Le corps s'habitue aux métaux lourds.
Surtout, avec cette intoxication dans la période développementale, le corps peut s'adapter à de fortes intoxication ultérieures.
Avec l'adaptation biologique, cette habitude s'amplifie volontiers avec le temps de façon à pouvoir absorber une forte dose de ml sans choc.
À vingt ans, on m'a posé des plombages (sans qu'il y ait aucun choc qui pouvait alerter).
À trente ans, j'ai fait retirer ces plombages par intuition (sans rien connaître à l'époque l'histoire des métaux lourds).
À quarante ans, j'ai lentement glissé dans cette état symptomatique décrit ci-dessus en trois années (progression lentement accélérée, sans choc).
Avec les symptômes buccaux permanents (courants magnétiques dans la mâchoire, inflammation chronique des gencives,...) et les symptômes (forts et nombreux picotements, blanchissement pelure des muqueuses) lors de la première série de bains salés de bouche en 2018 et l'absence de symptômes à la deuxième série de bains salés de bouches, il est donc possible d'envisager que les métaux lourds ont d'abord migré des amalgames vers les mâchoires pendant dix ans de façon asymptomatique, puis, en dépit du retrait des amalgames, l'intoxication généralisée s'est propagée pendant les dix années suivantes de façon à dépasser la capacité d'absorption lors de la période symptomatique.
Les bains salés de bouche ont également enrayé la lente et chronique rehausse des symptômes cérébraux.
L'absence de symptômes à la deuxième série de bains de bouche montre qu'on peut facilement définitivement drainer la résurgence de ml.
Mon histoire montre qu'on peut s'intoxiquer en dépit que les amalgames ont été enlevés et qu'il faudrait plutôt appliquer des bains salés de bouche pour prévenir une intoxication à retardement.
Au regard des symptômes après les bains salés de bouche, il est ensuite possible d'aviser sur la nécessité du retrait anticipé des amalgames. - Apprentissage de la désintoxication par la naturopathie
- Mon intoxication a été très forte, et aucun remède disponible n'était vraiment efficace sur moi.
Sans autre solution, j'ai dû m'engager en naturopathie à tâtons.
J'ai donc découvert qu'il n'existe aucune synthèse globale, ni ordonnancement, ni méthode, ni discours d'ensemble sur le corps.
Les sites de naturopathie sont également rédigés de façon très approximative pour tenter le malade tout en l'obligeant à consulter.
J'ai toujours eu l'intuition que ma situation était réversible mais il ne manquait que la méthode pour y parvenir.
J'ai donc pris mon bâton de pèlerin.
Je n'ai pas eu de maladies opportunistes habituelles en pareil cas (bactéries, lyme, candidat), mon discours n'est donc pas exhaustif.
Mais l'intoxication a été si profonde, que j'ai eu le droit à toutes les complications de détox.
J'ai donc pu expérimenter de nombreuses techniques dont des effets tardifs et accumulatifs ont surgi.
De cela, je tente donc de dresser un discours de façon à prévenir, à guérir ou à désamorcer toutes ces complications pour désintoxiquer le cerveau. - Discours médicaux dénaturés et anti-physiologues
- En dépit qu'on envoie des hommes sur la lune, les discours médicaux sont curieusement saucissonnés de façon à empêcher l'autonomie.
Les techniques de guérison, leurs coûts et leurs taux de réussite ne sont ni étudiés ni annoncés aux patients.
Il est anormal que des médecins annoncent à des personnes qu'elles vont mourir alors qu'elle peuvent être sauvées.
Il est étonnant d'avoir à rappeler cela.
Les marges de progression de la médecine allopathique sont significatives.
La chimiothérapie est peu efficace, et, au vu du coût élevé à la société, elle donne l'illusion que tout a été essayé.
Or, selon le Collège de France, le jeûne est redoutablement efficace contre le cancer.
Je ne dis pas qu'il faut imposer une technique ou une autre, je dis simplement qu'il faut informer sur les taux de réussite.
Cela fera déjà pas mal de ménage.
La médecine allopathique est très inefficace à côté de la naturopathie.
La naturopathie est propre et sans intervention chirurgicale.
Sans essayer toutes les chances de guérison, les institutions médicales sont bâties sur une négligence organisée quitte à provoquer des décès et des maladies dégénératives de masse.
En France, il y a 150.000 personnes qui meurent de cancers par an sans qu'il leur soit annoncé que le jeûne est une voie de guérison majeure.
Quand j'entends que des ablations d'organes (VB, Thyroïde,...) sont réalisées avant de proposer d'essayer 4 jours de jeûne ou une cure d'organe, c'est que le corps médical est dénaturé.
Les paragraphes suivants ont été écrits après deux ans de naturopathie.
Liens vers mes :
OBSERVATIONS
PRATIQUES DE DÉSTOCKAGE DES PARTICULES OXYDANTES
et vers la présentation générale du topic à la page 14.