Si beaucoup incriminent une intoxication aux métaux - ce qui n'est pas forcément faux - il faut savoir qu'elle n'est pas la seule cause des troubles.
Il importe de classer les origines possibles de la défaillance organique qui nous affecte.
La bouche est, à mon avis, un bon terrain d'exploration pour débuter une analyse quant à cette origine pertubatrice capable de nous pourrir la santé.
En partant des dents, il est possible de remonter à la piste d'une intoxication probable.
Voici donc les différentes sources de perturbations que l’on peut trouver dans la bouche :
I - MECANIQUE a)
Os de la face : fixation des os de la face (maxillaire, mandibule, palatin) entre eux.
b)
Dent : compression d’une racine dans son alvéole (loge)
II - METABOLIQUE a) Présence d’un
matériau toxique (intolérance physique)
b)
Infection, bactérie, mycose, toxines, etc.
c)
effet pileIII - ENERGETIQUE a)
Incompatibilité électro-magnétique (intolérance vibratoire)
b)
AllergieComment déterminer le problème ?En comprenant d’abord comment le corps réagit à une agression, puis en mettant en place un protocole rigoureux permettant d’éliminer une après l’autre les différentes causes probables.
PrincipeSi dans ma pratique, je savais qu’une dent pouvait être pathogène pour le corps, j’ignorai complètement par quel moyen cela pouvait affecter une épaule ou un genou. Certains patients, par exemple, me rapportaient qu’en soignant une dent, leur tendinite au coude était partie. Je le concevais mais n’arrivais pas à en démonter le mécanisme sous-jacent. C’est le Dr Dieuzaide – dentiste et posturologue, en exercice à Toulouse - qui m’a permis d'aboutir à la découverte de l'ensemble des effets perturbateurs sur notre corps et leur mode d’action.
http://www.dailymotion.com/video/xbbgiu_webcamFace à une agression :
- du point de vue organique, on observe une
rétraction des tissus;
- sur le plan structurel, le corps réagit par un ensemble de
contractions musculaires unilatérales (du même coté), mais cela peut s'étendre aux deux cotés si l'agression est trop importante. Si l'agression est permanente, les contractions également. Et cela peut parfois durer des années !
Les tensions musculaires qui apparaissent sont de grandes consommatrices d’énergie et pourvoyeuses de grande quantité de déchets dans l’organisme. Maintenu ainsi - si cela persiste dans le temps - l’état de santé périclite indubitablement à petit feu. Un état de fatigue s’installe, en parallèle à une intoxination progressive. En bref, l’organisme s’épuise et perd ses capacités à s'auto-guérir.
Supposons une source pathogène en bouche, à droite. En réaction, les muscles de l’œil droit se contractent, puis les muscles sous-occipitaux du même coté, et enfin les muscles trapèze, grand dorsal et la masse para-vertébrale, toujours à droite. En clair, il s’agit d’une chaine musculaire descendante (de la tête vers les pieds) postérieure (le dos) unilatérale (sur un même coté). La chaine se poursuit vers le bras droit (de l’épaule à la main) et vers le membre inférieur droit (de la cuisse au pied). En résumé, tout le coté droit se constricte. Qu’observe-t-on sur le patient ? Debout, on voit une épaule haute à droite, et couché sur le dos, le membre inférieur droit est plus court. Si on demande à la personne de lever les bras, en se plaçant dos au mur, et en levant les bras, le long du mur, le bras droit sera limité dans son ascension. La contraction permanente résiduelle rendra le geste difficile et parfois douloureux.
La tendinite est une souffrance tendineuse par nécrose des tissus à ce niveau en raison d'une carence vasculaire. Un spasme musculaire maintenu dans le temps met en tension le tendon, ce qui étrangle les vaisseaux dans celui-ci. La mauvaise vascularisation induit une nécrose. La question a se poser est donc : qu'est-ce qui fait que le muscle est contracté en permanence ?
En général, il fait partie d'une chaine musclulaire complète qui est spasmée (un muscle spasmé en entraine un autre et ainsi de suite). Le muscle dont le tendon présente une tendinite est plus sollicité que les autres muscles de cette chaine. Du coup, soulager localement est comme vider une baignoire avec un gobelet, alors que l'eau coule à flot du robinet. Ce qu'il faut traiter, c'est la chaine musculaire. Une des causes est la réponse du corps aux diverses sources pathogènes, et notamment celles que l'on peut trouver dans la bouche.
Protocole de testSujet debout, dos au mur, j’observe :
1 - si une épaule est plus haute que l’autre.
Si la tête paraît comme enfoncée entre les épaules, il s’agit d’une élévation des deux épaules.
2 – une tension anormale des yeux. Une tension excessive des muscles de la face donne une fatigue du visage qui se voit particulièrement bien. La libération de la source pathogène détend immédiatement le visage.
3 – Je demande ensuite à la personne de lever les bras sur le coté, en longeant le mur.
Le coté tendu (épaule haute) est limité en mouvement. Il est possible d’effectuer d’autres tests musculaires (lever les bras en avant, monter une jambe, puis l’autre, se baisser en avant, etc.). Tous montreront une limitation d’amplitude du coté de la source pathogène, associé ou non à une douleur.
4 – Debout, face au patient, je teste ensuite ma propre force musculaire (entre annulaire et auriculaire de ma main gauche). Simultanément, je place un doigt de ma main droite sous l’occiput gauche du patient. Il y a là un point d’acupunture. Stimulé, il permet de cibler les intolérances en général. Je colle ensuite mon index de ma main gauche (celle qui me permet de tester ma propre force musculaire) contre la joue du patient. D’abord à hauteur du maxillaire supérieur, puis à hauteur de la mandibule, à droite, puis à gauche, en évaluant à chaque fois ma force musculaire entre annulaire et auriculaire. La baisse de force musculaire donne le ou les quadrants qui posent problème. Il s’agit ensuite d’investiguer ce ou ces quadrants, dent par dent.
Je ne teste pas ici la force musculaire du sujet, mais la mienne. Nous interagissant du point de vue énergétique, je me substitue à lui et joue en quelque sorte le rôle de voltmètre. Cette manière de faire est plus efficace et surtout, bien plus rapide pour tester toute les dents.
5 – 2 ou 3 dents sont maintenant incriminées. Je place la pulpe de l’index contre la joue, en pointant une de ces dents après l’autre et en faisant tester à chaque fois l’élévation des bras. Intérieurement, mon intension est focalisée sur «
correction de cette dent », en même temps que j’appuis indirectement dessus. Si elle est bien pathogène, cela libère toute ou partie des tensions musculaires. C’est spectaculaire et la personne le sent tout de suite.
Exemple : Il m'est arrivé en consultation de voir se corriger, sur la table d'auscultation, une importante bascule de bassin, sans rien faire. J'ai même demandé à la fille de cette patiente de se placer aux pieds de sa maman et d'observer ce surprenant phénomène. Au départ, la différence de longueur entre les deux membres inférieurs était de deux centimètres. Mais en appuyant sur l'unique dent qui posait problème, la jambe gauche s'allongeait subitement et rattrapait la différence de longueur. Et c'était systématique : quand je lâchais l'appui sur la dent, la jambe gauche se raccourcissait, quand j'appuyais, elle se rallongeait. 6 – Lorsque plusieurs dents sont incriminées, je procède par élimination pour déterminer l’effet pathogène selon le tableau en début de post.
* S’agit-il d’abord d’un problème mécanique ?
* S’agit-il ensuite d’un problème métabolique ?
* S’agit-il enfin d’un problème d’origine vibratoire ?
a) D’abord supprimer les interférences électrogalvaniques et électromagnétiquesToujours avec le même test (un doigt sous la ligne courbe occipitale), je pointe tout bijou ou autre corps étranger et teste la force musculaire. Je demande d’enlever le ou les bijoux, ainsi que les prothèses qui font baisser la force musculaire. Evidement, il n’est pas possible d’enlever les clips chirurgicaux. L’or est notamment perturbateur parce qu’il génère un fort effet électrogalvanique avec les métaux en bouche. Mais étrangement, pas tous les bijoux en or. Une bague peut être plus nocive qu’un collier !? Mais placée à un autre doigt, elle ne fait presque plus rien. J’ai découvert également des bijoux en or très nocifs sur le plan vibratoire, sans provoquer pour autant de courant électrogalvanique ?!
Pour savoir s’il y a une origine électromagnétique, il suffit de placer l’objet devant le nombril, à 5 ou 10 cm du corps. Si la force musculaire est faible, cela perturbe le corps sans contact. La raison ne peut être que vibratoire.
Les prothèses qui perturbent doivent être enlevées. Si ce n’est pas possible : au moins la nuit, que l’organisme puisse récupérer. D’ailleurs, un conseil : dormez sans artilleries inutiles. Enlevez tout objet superflu la nuit.
Exemple :
une femme d’une quarantaine d’année demande un rendez-vous en urgence pour une migraine qui dure depuis deux semaines. J’ai une certaine compassion pour ces gens. Mon épouse ayant été une très grande migraineuse, je connais leur souffrance et ne peux rester insensible. Je la case dans la matinée. Les premiers tests mettent en évidence un parasitage par son verre correctif gauche et/ou sa monture. Le test est sans équivoque. Placé à 10 cm devant son nombril, elle ne peut plus lever les bras et le muscle trapèze se resserre comme un étau. Je lui demande d’enlever les verres et libère les muscles sous-occiptaux. Une grande fatigue apparaît immédiatement. Elle rentre, se couche 20 minutes et au réveil n’a presque plus rien. Elle fait les tests avec ses anciens verres qui, eux, ne réagissent pas et décide de les reprendre. Elle me téléphone le soir pour m’avertir qu’elle n’a plus rien et qu’elle va beaucoup mieux.Comme quoi, il n’y a pas que les métaux qui peuvent être toxiques ! Certains plastiques également.
b) Ensuite corriger les troubles mécaniquesUne fois dépollué des objets parasites visibles –bijoux (bagues, bracelet, boucle-d‘oreille, piercing, etc.), montre, barre de renfort des soutien-gorges, dentier, etc. – il est possible d’investiguer les objets moins évidents comme les dents, résidus de vaccins et clips chirurgicaux. Je demande de n’enlever que ceux qui sont pathogènes, mais si c’est enlevé en deux minutes, je ne me gène pas pour demander de se débarrasser de tout. Tant que l’organisme lutte contre une source pathogène, le traitement ostéopathique perd en efficacité. Parfois, cela annihile complètement le traitement ! J’avais découvert, par exemple, qu’un vaccin injecté dans la semaine qui suivait mes manipulations pouvait replacer l’enfant à la case départ, alors que le soin était juste. Si cela restait obscur à l’époque, cela est devenu totalement limpide aujourd’hui. Je donnerai un exemple plus loin.
Je demande à la personne de se coucher. Je mets un gant. Elle ouvre la bouche et j’observe dans un premier temps : bouche pâteuse ou non, empreinte de certaines dents sur la langue (souvenez-vous : les muqueuses se rétractent en présence d’une source pathogène !) et rétractation de la gencive, surtout au niveau des prothèses.
Maintenant que vous connaissez les réactions organiques et corporelles, vous savez déjà quelles dents posent problème : là où il y a rétractation de la muqueuse. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Surtout lorsqu’il existe une contrainte mécanique sur une dent saine, n’ayant jamais eu de soin de dentisterie. Comment est-ce possible ?
Je sais par mes tests en position debout quelles dents investiguer. Qu’elles portent ou non un amalgame ou autre soins n’a pas d’importance ici. Je prends une dent après l’autre, par une prise pouce/index, et la teste dans les différents plans de l’espace. Il m’est possible de sentir si la dent est bien dans sa loge.
Voici les différents cas rencontrés :
1. La dent est saine, mais :
a) quelque chose semble l’avoir tractée en avant et vers le dehors.
Ce sont les traces d'un ancien appareil dentaire. La dent portait une bague d’amarrage pour le fil métallique qui ramenait l’ensemble de la dentition de devant vers l’arrière. C’est du forçage ! La racine porte les stigmates de cette tension. Sa racine pointe vers l’arrière et pousse sur la racine de la dent juste derrière, alors que la couronne naturelle pousse sur la dent de devant. Si on pousse la dent dans le sens opposé, toutes les tensions musculaires disparaissent ! Par chance, ce type de correction est très facile.
b) elle semble enfoncée dans sa loge. Deux solutions : la personne a croqué par le passé sur un objet dur de manière inattendue (je mâche une pêche à la chaire ferme et mords sur un caillou qui était dedans et je ne m’y attendais pas) ou bien la dent est poussée pas sa correspondante en haut ou en bas (la personne a un appui marqué sur ces deux dents)
c) la racine est poussée par le bas vers l’avant ou l’arrière : la racine d'une des dents voisines pousse simplement dessus. Il faut vérifier quelle dent pousse et la corriger d’abord !
2. La dent présente un amalgame ou une couronne.
a) le dentiste pousse pour bien enfoncer l’amalgame ou la couronne. Il impacte une ou plusieurs racines de la dent dans leurs loges respectives. On a l’impression d’avoir une dent enfoncée d’un coté. Ceci se corrige aussi.
b) on sent une pression centrifuge (de l’intérieur de la dent vers l’extérieur). L’amalgame qui a été posé s’est dilaté. Je n’en connais pas la raison. La dent est sous tension. Un soin en dentisterie est nécessaire.
Il y a encore d’autres singularités. Chaque cas étant unique.
Une fois tout cela corrigé sur le plan mécanique (quelque soit l’état de la dent), je refais les tests debout de base. Je laisse la personne lever ses bras et apprécier le changement. A notre grande surprise, dans une grande majorité, les bras se lèvent sans soucis. Si nous testons les autres muscles, ils ont presque tous retrouvé leur tonus normal. La source pathogène était donc purement mécanique.
Mais si cela ne corrige pas, l'origine pathogénique est à présent soit métabolique (matériau toxique, infection), soit énergétique (électro-galvanisme, parasitage électro-magnétique). Je continue donc le test en inhibant à nouveau chaque dent suspecte. Cette fois, il n'y a plus de d'interférence mécanique et si l’appui sur la dent lève les tensions, la ou les dents trouvées sont toxiques pour le corps. Soit leurs matériaux est incompatible avec l'organisme, soit elles larguent des toxines, soit elle sont à l'origine d'un effet pile.
c) Vérifier l’effet pile.J’ai découvert qu’un effet pile était du courant ! Et que ce courant brûle à petit feu les tissus. La particularité d’une brulure électrique, c’est qu’elle est sèche (pas de cloque) et qu’elle suit le courant. Il y a donc une fibrination profonde le long d’un axe. Cela ressemble à un cône dont les parois sont cicatricielles. Si vous allez sur les muscles mentonniers (sous la mandibule) vous pourrez trouver le long de certains muscles une fibrose conique allant d’une des dents vers l’os hyoïde. Pas de doute, il y a un effet pile local !
L'effet pile entrave naturellement le métabolisme dans sa fonction. On trouvera à tous les coups un foyer infectieux ailleurs (poumon, foie, etc) dont l'organisme ne peut se débarrasser. Peut-être y a-t-il là une raison à l'entretien délétère de certaines parasitoses comme Lyme ? Même si, les premiers résultats sont prometteurs, je n'ai pas assez d'études pour en faire la relation.
La, les soins dentaires sont indispensables. Mais rendre la souplesse au muscle l'est autant. Il faut être lent dans le geste. L'étirer patiemment. Mais le résultat montre que cela est nécessaire. C'est comme si on avait enlevé les effets à distance de la pile. Une remise à zéro du compteur.
Au pire, on peut décharger la dent en la connectant à la prise terre pendant une dizaine de seconde (prudence !). Mais attention, toutes les prises terres ne sont pas forcément fonctionnelles ! L'effet pile cesse pendant 3 heures environ, de quoi apprécier le soulagement même si ce n'est que temporaire.
d) L’effet toxique d’un matériau.L’amygdale sera le premier rempart ! On la trouve volumineuse et douloureuse à l’appui. Elle entraine une fixation de la première cervicale du même coté. Un amalgame qui dissémine ses métaux se repère par une amygdale particulièrement sensible associée à des ganglions dans le cou. Un tissu amygdalien dense révèle, lui, une atteinte chronique. (Dans un autre cas de figure, une amygdale dure, nodulaire, fibrosée, est une amygdale qui porte des bactéries. Ces dernières sécrètent des toxines qui épuisent progressivement le rein. Un rein épuisé entraine des douleurs articulaires diffuses. La vidange de l'amygdale soulage instantanément.)
Si l'origine est un parasitage dentaire - alors que toutes les corrections mécaniques ont été faites - l’appui sur la dent l’inhibe momentanément et lève les tensions musculaires. Il s'agit donc d'un effet toxique du matériau utilisé. Mais il est impossible de déterminer si cela est une toxicité physique ou vibratoire puisqu'il faudrait pouvoir le placer à distance et en tester les répercussions musculaires. Chose impossible.
Une visite chez le dentiste est obligatoire.
e) Supposer la présence de métaux dans le corpsSupposons maintenant que la correction mécanique soit faite, que le test d’inhibition de chaque dent suspecte ne donne rien (il reste des tensions musculaires) et qu’il n’y ait pas d’effet pile locale (muscles sous-mentonniers), il faut alors penser à une intoxication générale aux métaux. Des métaux non visibles sont disséminée dans les tissus, ailleurs que dans la bouche. J’ai trouvé un truc simple. Si on pose de l’or sur la personne, il y a un effet pile uniquement s’il y a la présence de métaux dans le corps. Ainsi, si les doigts inhibent momentanément les dents incriminées (c’est donc comme s’il n’y avait plus de source pathogène dans la bouche) et qu’une tension musculaire anormale apparaisse en posant de l’or sur la personne, c’est qu’il y a forcément du métal dans le corps. Elle est intoxiquée !
Exemple :
Une gamine de 6 ans a un trouble orthoptique. Lorsqu’on lui demande de suivre du regard un objet et qu’on le rapproche de son visage, ses yeux convergent jusqu’à une distance puis l’œil gauche diverge subitement. Trouble musculaire… présence de métaux ! Heureusement, elle n’a aucun amalgame. Ses dents sont parfaites. Le test ne montre aucune source pathogène dans la bouche.
… ?
J’ai compris qu’il devait s’agir d’un vaccin. Nous cherchons, la mère et moi, à déterminer les zones d’injection des vaccins : cuisses et bras. Je palpe les tissus et découvre un bombement dans la cuisse droite. Serait-il possible que le corps lutte contre la diffusion du produit de l’injection ? Comment vérifier ?
1. Le contact avec de l’or aggrave la tension oculaire et entraine d’autres tensions musculaires ;
2. Je trouve plein de petits ganglions dans les plis inguinaux et dans la nuque. Le corps essaie de freiner la propagation de qlq chose.
3. La rate est volumineuse. Son système immunitaire est en ébulition.
L’ensemble me permet de confirmer l’intoxication.
Mais le meilleur reste pour la fin : en appuyant sur la bosse de la cuisse et refaisant le test de convergence des yeux, il n’y a plus aucun problème ! La petite converge sans aucune difficulté. f) Proposer un test d’inhibition toxiniqueSi, malgré toutes mes investigations précédentes, subsiste un doute quant à l’origine, je demande à la personne de se faire une petite pâte anti-bactérienne et anti-fongique sur une dent incriminée après l’autre. La guérison lève le doute. Mais elle n’est que temporaire. La plupart du temps, il s’agit de dent dévitalisée qui ne semble au départ ne pas poser de problème. L’amygdale douloureuse trahit quand même le coté de l’atteinte.
Dans la brochure "
Les dents dévitalisées" éditée par l'Association de Bioélectronique de Vincent, l'auteur, François Bleuez propose cette recette :
Faire une petite pâte (une noisette) avec : argile, sel fin, huile d'olive, 4 gouttes d'huile essentielle de Girofle et 3 gouttes d'Arbre à Thé. L'appliquer sur la dent suspectée pendant une heure et noter le résultat.
Je dois avouer que c'est fort en gout, mais cela soulage vraiment s'il existe un petite foyer à toxine autour de la racine ou à l'intérieure de la dentine.
Les priorités dans les soinsL’étude de nombreux cas a permis de mettre en évidence une priorité dans les soins.
La première chose dont il faut tenir compte dans la maladie est la présence ou non d’une perturbation électrique. Je dirai que cela est même plus important que la chélation. Sa présence se solde par une défaillance du système immunitaire et par voie de conséquence, la présence de foyers toxiniques et ce, n’importe ou dans le corps (amygdale, gros intestin, racine de dents dévitalisées, etc.). La levée du courant électro-galvanique est donc obligatoire et prioritaire. Mais si l’intoxication aux métaux est trop importante, la personne malade ne dispose pas des ressources suffisantes pour rétablir ses défenses naturelles. Il faut donc jongler entre soins de dentisterie et chélation. La juste mesure est difficile à trouver.
Comprenez que pour créer un courant électrique, il faut deux métaux qui baignent dans un milieu liquide. Ici, le milieu liquide est le corps, composé à plus de 75 % d’eau. Les métaux visibles se trouvent dans la bouche ou sur la peau (boucle d’oreille, etc.). Ce qui est plus pervers, c’est les métaux invisibles disséminés dans le corps. On parlera alors d’« intoxication ». Le pire étant l’intoxication par plusieurs métaux.
Le courant électro-galvanique corrigé, un déparasitage est nécessaire pour expulser tous les foyers toxiniques. Le zapper prend ici alors toute son efficacité ! Ce qui permet de conclure que des séances de zapper sans résultats notent la présence d’un verrou électro-galvanique qu’il faut lever ! Dans le cas de Lyme, des produits externes ont fait leurs preuves.
La troisième chose a enlevé sont les matériaux qui parasitent le champ électro-magnétique du corps : certains composites, certaines céramiques, certains verres correcteurs incompatible avec la personne qui les porte. Ceci est à tester au cas par cas.
A ce stade, une correction alimentaire suffit pour nettoyer grandement le corps. Le curetage du foie accélèrera le retour à l’équilibre, tout comme d’autres cures. Cela dépend de l’état des organes qui ont été atteint.
Etude de casa) Prothèse et orgoniteMe M. a la cinquantaine passée. Elle vient me voir depuis déjà un petit bout de temps. Et pourtant, entre plusieurs consultations, elle a fait une rupture d’un des muscles de l’épaule gauche, chose que je n’avais jamais compris puisque la traitant régulièrement, son corps ne devait pas présenter une telle faiblesse. D’ailleurs, malgré mes soins, les résultats sont plutôt maigres.
Petite explication : lorsqu’un muscle est spasmé chroniquement, sur une très longue période, son insertion se calcifie. Si le point d’amarrage du muscle s’épaissie pour supporter la traction, le tendon n’en est pas moins fragilisé un peu plus en aval puisqu’il subit une nécrose progressive. A un moment ou un autre, il y aura un point de rupture. Sur un mouvement anodin, le tendon se déchire. Donc, une rupture signe une contraction musculaire permanente en arrière plan.
Aujourd’hui, devant tout problème musculaire, je saute sur la piste des métaux et des parasitages par tout corps étranger. En déroulant la batterie de test, telle que décrite plus haut, j’en arrive à suspecter une plaque mise dans le poignet droit suite à une fracture. Mais le test d’inhibition (appuyer sur la zone problématique avec l’intention « correction » et réexaminer la force musculaire du sujet) s’avère difficile. Je n’arrive pas à tenir le poignet et à demander une élévation des bras, par exemple. Je suis donc bloqué.
Cependant, l’idée me vient d’y scotcher un orgonite en forme de médaillon qui trainait dans le tiroir de mon bureau. J’avais eu bien auparavant l’intuition que ces bouts de résine contenant de la limaille de métaux, devaient sans doute parasiter les ondes électromagnétiques qui s’incrustaient dans notre habitat (wifi des voisins par exemple). Ils ne les arrêtent pas, mais les parasitent, modifiant un paramètre quelconque et les rendant beaucoup moins nocifs pour l’organisme. Preuve en est, que le wifi est toujours présent, mais ne semble plus agresser le corps.
En scotchant l’orgonite à hauteur de la plaque, les résultats sont hors attente ! Non seulement son bras droit se libère totalement (et je peux vous assurer que la différence est spectaculaire !), mais son bras gauche s’élève aussi, miraculeusement et sans aucune douleur. J’en reste pantois.
En revanche, en plaçant l’orgonite sur n’importe quelle autre partie de son corps, cela ne réagit pas. D’ailleurs, quel que soit la taille de l’orgonite, il doit être placé sur la prothèse pour désactiver l’effet parasitaire de l’objet.
Autant dire, qu’à partir de maintenant, je teste les clous, vis et autres instruments dans le corps par une simple orgonite. Mieux : je vais en placer sur ma table d’auscultation, ainsi le corps ne luttera pas contre des cochonneries électromagnétiques. Il aura donc loisir de profiter pleinement de mes soins ostéopathiques.
b) L'absence de dent n'est pas une excuseContre toute attente, la tension musculaire à la base de la nuque chez un patient ne cède qu'en inhibant la gencive en regard de .... rien ! La dent 26 est absente, depuis longtemps extraite. Est-ce une erreur de test ? Les lectures prouvent que non. L'extraction dentaire ne signifie pas qu'il n'y a plus de problème. En réalité l'alvéole doit être nettoyée. C'est pour cela qu'une extraction est suivit d'un curetage. Mais parfois cela ne suffit pas. Les germes sont capables de proliférer dans l'os, tout comme il peut rester du tissus nécrosé qu'il faut, bien évidemment, sortir. Enfin, la cicatrice peut aussi être toxique. Sur un tissu cicatriciel à problème, la résilience des tissus est immédiate et la libération va avec. Mais dans les deux autres cas, un soin est nécessaire. J'ai demandé à la personne de se faire des soins avec la pâte décrite plus haut. Je ne sais pas si cela sera efficace, mais pourquoi pas....
c) Barrage à la guérisonVoici mes premiers retours de soins dentaires effectués à ma demande.
Le dentiste a trouvé par ses tests le même problème. La patiente ne lui avait rien dit de mes conclusions. Elle m'avait consulté pour une cheville bloquée, douloureuse. Son histoire est lourde : un accident il y a 5 ans, une arthodèse, du matériel partout dans la cheville, mais elle insiste pour tout faire enlever un an après, contre les avis médicaux. Malgré cela, la douleur ne cède pas et la mobilité est fortement réduite.Elle a mal jour et nuit et ne peut marcher que très difficilement. Elle s'aide d'une cane. Elle cherche une aide auprès de spécialistes, mais les solutions proposées sont drastiques : bloquer définitivement l'articulation ! Elle refuse et cherche des soins à droite et à gauche. Les résultats sont très très maigres.
Elle entend parler de moi et demande rendez-vous. Dès les premières séances, les résultats sont inespérées. Elle est heureuse, mais nous savons tous les deux que je ne suis pas sur le véritable problème. Bien qu'elle puisse de nouveau marcher - la canne, elle l'abandonnera à la seconde séance - que la douleur est bien moindre, sa cheville reste enflée, deux zones ultrasensibles persistes et la cheville n'a pas toute son amplitude. Je sais que je ne suis pas sur la cause. Qlq chose m'échappe, mais quoi ?
Ce n'est qu'un an après, en démontant le mécanisme des troubles dentaires et des répercussions sur le corps, que je découvre une intolérance sur une dent couronnée. Mes tests sont formels, il s'agit là d'un verrou important. Je l'oriente alors vers un dentiste sur Strasbourg.
Lorsqu'elle revient me voir, après les soins dentaires, il ne s'agit plus de la même femme. Elle rayonne. Sa cheville n'est presque plus enflée. Elle ne fait presque plus mal et bouge avec plus de facilité. J'ai failli pleurer ! Nous avions tellement cherché et maintenant, ça y est, nous avions trouvé ! Elle me dit que pendant le soins dentaire, une vive douleur est apparue de la dent pour suivre tout le trajet du méridien de la Vessie (je le traduit ainsi) jusqu'à la cheville. Elle a eu très très mal à la dent les jours d'après et depuis elle se lève en forme et son pied est miraculé. D'ailleurs, la dernière séance ostéopathique redevient normal, avec les résultats que je connais. Le verrou a sauté.
d) Une question d'informationMadame H. est une dame de 75 ans. Elle est la grand-mère qu'on aimerait tous avoir. Elle assume son age, son corps. Elle est souriante, heureuse, mais une chose la gène : depuis son opération d'hallus valgus, elle a horriblement mal à l'insertion d'un muscle sur la hanche (le pyramidal). Dès qu'elle bouge la jambe, elle a mal. Le pire : se lever de la position assise, ou monter les marches.
Il existe plusieurs techniques opératoires pour la réduction d'hallus valgus. L'une d'elles consiste à couper et supprimer un coin d'os pour rabattre le métatarse et le remettre dans l'axe. Le tout est maintenu par un bout métallique que le chirurgien place dans l'os : un inley. Je m'interroge de la toxicité de ce corps étranger. Immédiatement, je teste le geste qui fait mal. Elle sursaute de douleur. Je place un orgonite sur le gros orteil et reteste. Elle écarcille les yeux de surprise. Elle n'a plus rien !
J'appelle alors mon collègue pour montrer la chose. Eh oui, les cas caricaturaux sont toujours surprenants ! Puis nous discutons de l'approche à envisager : proposer une cure de chlorella ou autres produits que l'on aura testé ? La réponse de mon collègue est suprenante : "Tapotes l'inley !". Mais oui ! On m'avais appris à l'époque que pour informer une pierre, il fallait lui soumettre à un choc associé à une intension particulière. Si certains jetaient les pierres contre un mur ou contre un autre bloc de pierres, d'autres, plus doux, tapotent simplement. C'est suffisant, même si cela laisse perplexe.
Nous optons pour ce choix. Je laisse l'orgonite à hauteur du pied et tapotes l'os pendant 15-20 secondes. Le plus dure est de trouver le rythme adéquat. L'effet est miraculeux ! Toute la jambe se relâche. Madame H. sent une détente complète de son orteil. Nous retestons. Elle n'a plus rien.
Cette expérience est intéressante car elle offre d'autres possibilités que chacun est libre de trouver.