de un_ptit_gars » Sam 16 Fév 2013 11:47
Réponse:
J'imagine que le mot "émotionnel" doit te faire réagir dans le sens ou tu te dis: "alors ça non! ce n'est pas dans ma tête, j'ai bien des VRAI problèmes, qu'on vienne pas me dire que c'est psychosomatique, etc..."
Ceci est la réaction classique et la résultante de la gestion catastrophique de nos pathologies chroniques par la médecine allopathique. Un grand nombre de docteurs, ne comprenant rien a nos maux, usent et abusent sans cesse du fait que c'est forcément "psychosomatique" et que la réponse se trouve dans les antidépresseurs et chez le psy... ce qui juste ridicule et extremement pesant a vivre pour le malade, nous l'avons tous vécu.
Qd on parle d'émotionnel ici, on parle du fait que la maladie est multifactorielle, qu'il y a donc une part de toxicité, d'infection, de nutrition, de génétique aussi, etc... et également bien souvent une part aussi d'émotionnel.
Il y a une très grande différence entre ce que disent bien des docteurs (du genre : "c'est dans votre tête, relaxez vous et ça ira mieux!") et le fait que certains aspects émotionnels mal vécus dans le passé aient contribués a ce que la maladie se mettent en place.
Physiquement tu as des douleurs, de la souffrance physique, personne ici ne va douter de ça rassure toi... mais pour réellement aller mieux, il faut savoir ouvrir ses horizons, et en parallèle accepter de travailler simultanément sur le soutien au corps physique (chélation, plantes, vitamines, etc) et sur ses propres douleurs/incompréhensions (via des techniques énergético-émotionnelles telles que l'hypnose, l'EFT, l'EMDR, etc).
Se braquer dessuite sur le coté émotionnel est a mon sens une erreur, et je pense qu'il est bon de sortir de la vision dogmatique et erroné du "tout psy" de nos maladies, pour mieux épouser le coté complémentaire et synergique que cela peut avoir sur les traitements physique que tu entreprendra.
Pour ma part pendant très longtemps j'ai fait exactement comme toi, en ne pensant que ce n'était que la faute des métaux lourds, ou de lyme, ou de la génétique, etc...or maintenant je sais que malgré tout ces facteurs la, ma propre gestion émotionnelle quotidienne (de tendance trop sensible sur de nombreux plans) a contribué a la mise en place de ma maladie...et que pour aller chercher au dela de ma rémission actuelle, vers une VRAI guérison durable et réelle, cela doit passer aussi par qui je suis et comment je me positionne dans ce monde. Un travail personnel que j'accepte aujourd'hui de faire car je sens que c'est le moment...les étapes se mettent en place progressivement, et si cela ne te "parle" pas aujourd'hui, garde le tout de même dans un petit coin de la tête car peut-etre bien qu'un jour tu y reviendra également.
Pti gars