A 65 microgramme/g de créatine j'allais très mal alors que, après 7 chélations dmps et un taux descendu à 25 microgramme/g de créatine, cela n'avait plus rien à voir : Le jour et la nuit !
Fort bien, fort bien.
Je ne souhaite pas détailer plus la controverse, simplement j'espère que ce type de question a étudié par les médecins chélateurs : est-ce que la baisse de l'excrétion de Hg, entre la chélation n°1 et la 7 ou 10, est bien continu à chaque étapes? (ce qui peut se vérifier sur un échantillon de patient en faisant des mesure à chaque chélation)
ou bien les disparités viennent du côté aléatoire des résultat obtenus en biologie?
Bien sûr, ça a probablement été étudié, mais je n'ai jamais vu ces détails là.
à des moment, j'en suis venu à douter aussi des propos sur le cuivre, qui viendrait aussi s'accumuler, "prouvant" une intox à d'autres métaux. J'ai pensé que si on sort autant de cuivre, c'est simplement parce que c'est un élément assez abondant dans les être vivants, utilisés par eux.
Les personnes rencontrées dans les cabinets des médecins allaient très mal avec des taux très élevés. Et j'ai vu des personnes vraiment "rajeunir" au fil des chélations et retrouver leur santé. Des personnes classés "fibromyalgiques" des personnes en train de basculer dans "alzheimer"...
Tant d'années de vie bousillées en raison de l'attitude irresponsable de l'affsaps et de la non prise en compte objective, réelle, du problème qu'est le mercure en bouche et la prise en charge des malades.
Pourquoi tant de différence entre le rapport français et le rapport suédois ?
Je suis bien d'accord. la vision que tu proposes, est celles de personnes guéries ou bien améliorées par la chélation, tant mieux; elle diffère radicement de celle de rapporteurs de l'afssaps, pour qui (et sans mensonge de leur part) ces personnes étaient des malades imaginaires, et les médecins des charlatans qui ont soigné les maux imaginaire par effet placébo, avec un produit risqué (le dmps) suivant une théorie farfelue (toxicité du mercure en bouche)...
il y a là deux visions difficiles à concilier. Ce serait un travail à part entière, en plus de celui consistant à montrer les effets néfastes du mercure, que d'y parvenir.
Il ne faut pas perdre de vue aussi que l'intérêt de l'affsaps est que la dangerosité du mercure dentaire ne soit pas établie.
Disons que pour les personnes qui ont travaillé pendant des années, à démontrer, défendre l'idée de l'innocuité du mercure mis en bouche, ce serait un rude choc que de comprendre que cela a contribuer à empoisonner la population . Bien sûr à n'a pas interet à le réveler, mais il n'y a même pas à le révéler...
à ce que j'ai compris, ce n'est pas vraiment l'"Afssaps" qui travaille sur le sujet, mais elle recrute des spécialistes qui travaillent dans d'autre institutions de divers domaines pour rédiger le rapport, une personne de l'afssaps coordonne et valide le rapport. Celui qui valide, à l'afssaps, engage sa responsabilité, mais elle est partagé, notament avec des personnes très virulentes à l'Ordre des Dentistes, à en croire NAMD...
Sur la difficulté à établir le diagnostic d'intoxication, j'ai pensé à ceci : ça n'a rien d'évident dans le cas des amalgames, tout comme de Minamata, sinon, les médecins japonnais, considérant la symptomatologie des premières victimes de cette pollution, n'aurait pas été face à un "mystère" pendant des années. Les symptômes ou autre méthodes de diagnstic de l'intox au mercure ne sont pas enocre suffisement fiable, longtemps après Minamata.
En tout cas, Ella, je te souhaite, sincèrement, de contribution à mettre à jour ce problème. Je suis heureux de constater, que des réponses sont formulé à l'encontre de l'afssaps...
Petit apparté : des techniciens sont en train de recouvrir tous les toits de ma résidence d'un produit chimique qui empeste le chlore (sans doute contre les mousses) et j'ai du mal à respirer, j'ai mal au crâne, même sans aérer chez moi (saleté d'aérateur de fenêtre !)
Des suggestions avant que je m'étouffe complètement ?
En fait, on peut dire que l'air autour de ton lieu de vie, est plein d'une substance toxique...
Ce qui est fâcheux, car on ne peut prendre l'air dans les mètre qui nous environne, les aéroducs sur plusieurs centaines de mètre, ça ne se fait pas, ou du moins ne se pose ps comme ça...
Est-ce que les opérations mettant en oeuvre la substance qui te nuit, sont toute la journée, sans interruption? Ou a t-il des "pic d'utilisation", qui impliquent une hausse temporaire de la concentration, et pas le reste du temps? Dans ce second cas, tu peut demander aux ouvriers quand ont lieu ces utilisations, et fuir ton logement (après avoir bien clos l'aréation) ces quelques dizaines de minute où tu es le plus exposé, le temps que la concentration dans l'air diminue.
sinon, tu peux essayer de tester un masque antipollution, ça doit se trouver en pharmacie, mais on ne sait si ça filtre les substance concernée. Voir aussi si les ouvrier en ont, et à quelle norme leur masque obéit, peut-être même tu peux leur en demander un.