En projet de plainte, j' a écrit:Au : Tribunal judiciaire de Paris
Parvis du Tribunal de Paris
75 859 PARIS CEDEX 17
Objet : Dépôt de plainte
Madame, Monsieur le Procureur de la République,
J'ai l'honneur de vous informer des faits suivants :
En Mars 2024, sur lettre à en-tête, le Directeur Général de la Santé m'a écrit : “Bien évidemment, en ce qui concerne la prise en charge des personnes particulièrement imprégnées (en métaux lourds), des travaux de recherche devront encore être menés pour optimiser cette prise en charge et l'étendre à tous les polluants d'intérêt. Ces travaux pourront conduire à des recommandations officielles”.
Je suis pris en charge depuis 2021 par le Centre Médico-Psychologique (CMP) Bucarest, Paris 9. J'ai immédiatement soumis mes diagnostics au mercure, mon plaidoyer sur les lacunes toxicologiques et la réponse de l'Elysée. Les diagnostics d'excès de métaux présentent des taux 70 fois supérieurs à la norme allemande. Depuis 2021, aucun médecin du CMP ne m'a jamais annoncé de diagnostic mais je suis quand-même pris en charge. Le Docteur Manon PRATS, qui me recevait au début des consultations m'a uniquement annoncé, devant mes diagnostics au mercure, qu'il était formellement interdit de prendre en charge les intoxiqués au CMP.
Le Docteur Alix ÉCREVISSE, est désormais mon médecin du CMP. Le 11 décembre 2023, je lui ai adressé la lettre de l'Elysée qui annonce que j'aurai une réponse du Ministère de la Santé. Le 11 avril 2024, je lui ai adressé la lettre de Matignon. Le 13 juin 2024, j'ai adressé la réponse engageante citée ci-dessus du Docteur Grégory LION DE MER, Directeur Général de la Santé (DGS) à mon plaidoyer pour la prise en compte de la charge corporelle en mercure au Docteur ÉCREVISSE par courriel. La lettre du Ministre américain est également jointe. Le DGS a répondu suite à la demande de Monsieur Emmanuel AIGLE ROYAL, Président de la République (voir lettres jointes). Le DGS propose de mener les travaux de recherche pour optimiser la prise en charge des personnes particulièrement imprégnées de métaux, mercure,.... ce qui est mon cas. Parmi ces personnes se trouvent le million d'Alzheimer et d'autres qui, comme moi, demeurent en errance médicale dans le système conventionnel français actuel. Le corps de mon courriel au Dr ÉCREVISSE indique explicitement la présence de la réponse du DGS dans les pièces attachées. Étaient également présents une soixantaine de réponses de très hauts responsables à mon plaidoyer pour que la charge corporelle en mercure soit enfin prise en compte par les diagnostics validés et officiels. La réponse du Ministre américain de la santé était également annoncée. Les réponses du DGS et du Ministre Américain de la Santé sont engagées car elles reconnaissent que les personnes particulièrement imprégnées en métaux sont en errance et qu'elles nécessitent de nouvelles recherches afin d'émettre de nouvelles recommandations appropriées pour la prise en charge.
Lors de la consultation suivante à l'envoi du courriel, le 21 juin 2024, le Dr ÉCREVISSE a accusé réception de mon mail du 13 juin par oral. Je me suis à peine assis devant son bureau lorsque je suis entré en consultation que son visage était déjà un peu en colère, elle a dit sur un ton de reproches : “J'ai bien reçu votre mail et vous portez des troubles psychiques”. Elle a marqué une pause et j'ai dû demander “Pourquoi ?” pour qu'elle s'explique. De façon synthétique et rassemblée, elle a dit, ensuite sur un ton sévère : "Vous faites ce que vous voulez, mais vous portez des troubles psychiques à contacter toutes ces personnes car ces réponses sont non engageantes". Le DGS reconnaît une anomalie dans la prise en charge des personnes imprégnées. Si recevoir une lettre du DGS et du Ministre Américain de la Santé avec la promesse de résolution de mes problèmes de santé est un trouble psychique, c'est qu'il y a une erreur de diagnostic. Qui veut se débarrasser de son chien l'accuse de la rage. Ensuite, je l'ai informée que la Vice-présidente de l'Anses m'avait écrit entre-temps et qu'elle a commandé une réponse de l'Anses à mon plaidoyer. La réponse est à ce jour en attente. L'Anses est l'agence de santé visée par les problèmes que je soulève. La réponse de la Vice-présidente de l'Anses est donc très engageante. Cependant, en dépit qu'elle aurait dû suspendre ses reproches en attente de la réponse de l'Anses, le Dr ÉCREVISSE a quand-même relancé ses reproches. Elle n'entendait plus les arguments. Ensuite, nous avons discuté de deux ou trois réponses encourageantes de hauts responsables (Président de l'Académie nationale de médecine qui est également Président des sociétés de toxicologie, et Présidence de l’Ukraine). Comme je ne veux pas chercher à convaincre, je n'ai pas répété mes arguments. Si l'Anses ne lui convient pas, rien ne lui conviendra car l'Anses demeure la compétence scientifique suprême sur la question. Dès le début de la consultation du 21 juin 2024, le ton et le contenu des propos du Dr ÉCREVISSE voulaient me dissuader de persévérer vers la reconnaissance de mon intoxication chronique. Je n'ai certes pas pointé la lettre du DGS en consultation, mais je n'ai plus envie de me répéter suite à mon courriel et suite à mon annonce sur l'Anses, cela diminue la valeur de ma parole auprès du Docteur ÉCREVISSE , qui, comme la moitié du personnel du Groupement hospitalier en douceur, exploite les failles des patients. Je rappelle que j'ai déjà donné l'autorisation au Dr ÉCREVISSE de faire authentifier les lettres de l'Elysée et de Matignon. Comme elle se met en colère parce que je tente de faire valoir mes droits et ma santé, cela est très hautement étonnant. Se répéter, c'est ouvrir des failles de faiblesse qui peuvent être exploitées. J'ai donc préféré attendre pour aviser si sa contestation était durable et laisser passer un éventuel orage éphémère.
Ensuite, au cours de la même consultation, en dépit de mes refus, elle a tenté à répétition à ce que je renonce à prendre mes traitements contre les métaux lourds. Elle m'a d'abord reproché d’acheter les traitements sur Internet, j'ai répondu que ces traitements sont en vente libre en pharmacie en Allemagne. Il suffit de se déplacer en TGV. J'ai annoncé que mon intoxication chronique a été diagnostiquée en 2014 par un médecin toxicologue français à Paris 16, le Docteur Bernard HOMARD, l'intoxication chronique a été établie par les symptômes caractéristiques multisites (intestins, peau, électrogalvanisme, cognition,...) durables depuis 2008 et par des analyses des métaux conformément aux protocoles médicaux allemands. C'est la première fois que le Dr ÉCREVISSE conteste mes traitements contre les métaux alors que cela fait des années que j'informe le CMP de mes traitements médicaux contre les métaux lourds. Il y a un an environ, elle m'a même demandé de suspendre le médicament qu'elle me prescrit le jour pendant lequel je prends mon traitement contre les métaux lourds afin d'éviter les interactions médicamenteuses par précaution car les interactions entre les 2 traitements n'ont pas encore été examinés. Suite à des analyses récentes de sang, elle m'a dit que je portais un surdosage de la molécule qu'elle me prescrivait. Au lieu de baisser la dose prescrite, elle m'a dit que cela parvenait peut-être de mes traitements aux métaux lourds de façon à ce que j'arrête mes traitements contre le mercure. Je suis demeuré silencieux. Il y a quelques mois, je lui avais dit que je prenais mon traitement contre les métaux lourds une fois tous les 3 mois. Je n'ai pas complété ma réponse car cela n'est qu'un soupçon très improbable et que je n'ai pas à me sacrifier pour son traitement. La littérature scientifique rapporte que les chélateurs ne possèdent aucune réaction chimique, seulement physiques. Ils sont totalement éliminés par les reins en 24h. Rapidement ensuite, au cours de la même discussion, son visage est devenu à moitié rouge et sévère, le regard dissuasif teinté d'un halo de menaces, elle s'est penchée en avant d'un coup vers moi avec le front plissé. Elle a un peu levé la main de façon autoritaire en me pointant légèrement de son poing serré. Puis, elle a lancé sèchement, "AVEC LES INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES, J'ENGAGE MA RESPONSABILITÉ DE MÉDECIN", comme si je devais arrêter mon traitement de mes métaux lourds sur le champ et sacrifier ma santé pour la débarrasser de ses responsabilités juridiques. Ce langage corporel et non verbal est un abus de pouvoir car le CMP est au-dessus de la Déclaration universelle de droits de l'homme et qu'il peut interner un patient contre sa volonté. Elle attendait donc que je renonce par moi-même à mes chances de guérison en exploitant la peur des patients envers les aiguilles et de la possibilité d'interner suite à son mécontentement. Je suis resté stoïque, durablement de marbre sans rien prononcer ni rien exprimer sur le visage afin de lui montrer que je n'ouvrais pas la voie de la discussion sur ce sujet-là. La consultation a donc pris fin dans un duel tranquille de regard ; puis, assise sur sa chaise, comme je n'ai pas cédé, elle a adopté la posture du penseur de Rodin lorsque je suis sorti de son bureau.
A la consultation suivante, le 26 juillet 2024, quand je lui ai annoncé que j'avais dressé une liste de 20.000 hauts responsables à qui j'envoyais mon plaidoyer pour la bonne santé en matière de salubrité des métaux lourds, son visage est devenu rouge écarlate d'un coup et elle a froncé les sourcils durablement et sévèrement avec des yeux de reproches, cependant en regardant vers le bas, sans me regarder dans les yeux. Cela est une menace à peine voilée d'internement pour me dissuader d'alerter le monde quant aux lacunes de la toxicologie car le scandale se prolonge jusqu'aux étoiles. Elle n'a pas dit mot puis elle est passée à autre chose et je suis demeuré stoïque. La lettre du Ministre américain a éventuellement aidé à convaincre le DGS français. Je rappelle que les Américains dressent les références de santé que le reste du monde récupère. Mes démarches auprès des nombreux responsables du monde ont donc été payantes. Je n'ai certes que 2 lettres engageantes sur 20.000 destinataires et sur plusieurs centaines de réponses mais ces lettres sont les plus pertinentes et les plus capées. Et je me sers des lettres des uns (Élysée, Matignon, Présidents de région, ARS,...) pour pousser les autres à répondre de proche en proche et de lettres en lettres. La lettre de l'Elysée et du Ministre Américain de la Santé a peut-être aidé le DGS à s'exprimer. Quant au Ministre américain, les réponses des Directions Générales de toutes ses agences de santé étaient jointes (CDC, FDA, NIH) à ma soumission.
A cette même consultation, quand je lui ai dit que cela faisait 10 ans que j'excrétais de fortes doses de mercure par le traitement, que mes symptômes étaient renversés petit à petit par les traitements, et que le total des doses était 10 fois plus élevé que la moyenne des intoxiqués recensés par l'association allemande de toxicologie KMT ; dans mes yeux, en tentant de me forcer par sa douceur féminine, le Docteur a répondu : "mais tout le monde a du mercure dans le corps". Sans répondre, j'ai décidé de porter plainte en silence à ce moment-là car elle nie la réponse du DGS. Me défendre devant elle augmentait sa détermination. Je l'ai donc laissée poursuivre ses infractions jusqu'au bout en répondant au minimum factuel. Entre les lignes, elle a donc tenté de m'imposer que je n'étais pas intoxiqué alors que le DGS ouvre la voie à de nouvelles recommandations pour remédier au problème des personnes fortement imprégnées et non diagnostiquées. Elle tentait donc à nouveau de me dissuader de me traiter. Comme elle est armée du pouvoir d'internement, son insistance est une menace implicite massivement inquiétante. Un plissement de front des médecins du CMP pétrifie tous les patients devant la panoplie de représailles possibles. Délibérément, elle nie les exigences scientifiques nécessaires pour établir une intoxication que le DGS souhaite combler dans sa lettre. Rappel: il faut la charge en population générale en bonne santé et il faut la charge du patient pour pouvoir comparer. Or, ni l'un ni l'autre ne sont disponibles. Par son statut de médecin, le Dr ÉCREVISSE tente donc abusivement d'extorquer que je ne suis pas intoxiqué. Elle tente d'arracher mon consentement par tous les moyens les moins légaux possibles sous apparence de légalité. Les protocoles officiels actuels ne prétendent pas à une fiabilité au-delà de 5% du corps mais ils prétendent seulement à une prise en charge. Le Dr ÉCREVISSE exploite donc le flou toxicologique sur 95% du corps pour me forcer à dire que je ne suis pas intoxiqué. Ce flou entretient de multiples polémiques mondiales dans un même pays, des filières sont pour le traitement, d'autres sont contre (Etats-Unis et Allemagne). Or, le DGS propose de régler au mieux ce problème mais le Dr ÉCREVISSE nie délibérément la proposition du DGS. Avec la proposition du DGS, mon intoxication chronique serait enfin reconnue et enfin traitée correctement.
Ensuite, quand je lui ai répondu que j'allais faire reconnaître mon intoxication chronique dans l'avenir et que j'allais consacrer le temps qu'il faudra pour que cela parvienne, elle a exprimé un très fort agacement mais je ne me souviens plus du tout comment elle a exprimé cet agacement. Je rappelle que la lettre du DGS ouvre la voie à une reconnaissance future.
Mes diagnostics après traitement ne sont pas reconnus car les valeurs en population générale n'ont pas été réalisées. Les Agence de santé n'ont donc pas fait leur travail. Cependant, ces diagnostics sont pratiqués couramment par les toxicologues et ils sont recommandés par le traité de toxicologie CHELATION THERAPY.
Je confirme que le Dr ÉCREVISSE est en pleine maîtrise de ses émotions, car aussitôt la colère passée (visage rouge, sourcils,...), elle change de sujet et elle redevient aisément conviviale, chaleureuse et très douce en promesse d'un contexte apaisant si je cédais. Bâton carotte par intermittences du cœur. Elle alterne et elle passe rapidement de l’expression d'une émotion à une autre avec autant de talent que Charlie Chaplin et Buster Keaton réunis pour impressionner leurs publics. Comme des commandos, ces médecins sont entraînés à faire tourner les émotions du langage corporel de façon à décupler le sens de leurs propos et à franchir les lignes blanches. Comme les menaces sont interdites à l'oral, ils se rabattent sur les yeux et le langage non verbal pour faire passer leur message. Je confirme que c'est seulement au cours de ces deux dernières consultations qu'elle a multiplié ces menaces abusives.
Ensuite, elle a contesté sans énervement la véracité de la lettre du Ministre Américain de la Santé en prétendant que je ne disposais pas de son adresse de courriel. Cela suggère qu'elle a bien lu le message avec le passage sur le DGS car la lettre du Ministre Américain de la Santé y était également pointée. Sa contestation était presque globale et méthodique. Elle prend chaque point de mon discours et elle conteste à répétition. Je réponds toujours par une petite phrase ciselée, puis j'attends pour montrer que je ne cherche pas à convaincre. Cependant, dans sa prudence, elle a omis de contester le DGS car elle feint hardiment de ne pas avoir lu sa lettre. La lettre du Ministre Américain valide mon plaidoyer et ma possible intoxication chronique car elle est adressée depuis sa filiale nationale de toxicologie. La Directrice de l’Agence de santé publique est également citée. Je rappelle que le rôle de la médecine est de pallier aux insuffisances de la science. Cette lettre est la plus haute référence internationale possible, elle est politique, médicale et scientifique. Or, les emails du monde entier sont tous les mêmes,
prenom.nom@domaine.com. Donnez-moi votre nom et votre société, et je devine votre mail. La lettre de l'Américain peut être authentifiée auprès du Directeur du NIEHS, auteur de la lettre. J'ai de suite rétorqué que je disposais des mails des Ministres français. Elle est passée immédiatement à un autre sujet après un petit duel tranquille de regard. Cependant, la lettre du DGS conforte l'authenticité de la lettre du Ministre américain. J'ai déjà adressé mon plaidoyer au secrétariat du Président français. Ce secrétariat a accusé réception sur lettre à en-tête envoyée par la poste. Cela indique que tous les citoyens du monde adressent leurs plaintes directement sur les emails professionnels des hauts responsables car les adresses circulent sur internet. Par exemple, suite à l'affaire des mails d'Hillary CLINTON, Secrétaire d'Etat, la justice américaine a publié tous les mails de Madame CLINTON avec toutes les adresses des destinataires.
Depuis que je lui ai remis la réponse du DGS, le Dr ÉCREVISSE s'est renversée. Ses yeux sont devenus parfois rouges. Elle demeurait très conciliante à mon mercure depuis la toute première consultation dont j'ai perdu la date. Les consultations sont mensuelles. Elle a été très chaleureuse à la réception de la lettre du Ministre croate en mars 2024. Une exception vers septembre 2023 : une fois, elle a dit que les Centres antipoison étaient là pour le bien des Français. J'ai donc rédigé une plainte contre les Centres antipoison car j'ai ressenti qu'elle me sondait avec une prémisse de contestation. Je lui ai transmis la plainte avec tout le détail des arguments de mon plaidoyer, et la menace s'est aussitôt éloignée. Suite à cette exception et par précaution, je m'attendais à une contestation ultérieure de mon mercure car la technique de ces médecins est rampante. J'ai ressenti comme un rayon macabre littéraire qui fend le ciel et qui m'a donné un frisson nouveau. J'ai donc fait le nécessaire pour obtenir une réponse du DGS et du Ministre américain de la Santé afin de parer le coup à venir. Ces deux lettres sont parvenues début 2024. Juste après que je lui ai remis les lettres du DGS et du Ministre américain, le Dr ÉCREVISSE a défié par surprise mon mercure pied à pied, énergiquement, tout au long des deux consultations suivantes. Je suis demeuré impassible, stoïque et ferme afin de ne pas ouvrir la discussion à un éventuel renoncement d'une seule cellule de mon corps. La lettre du DGS est LE bouclier à toute épreuve car le DGS est le médecin hiérarchique suprême français de la santé juste en-dessous du Ministre. Ce renversement soudain de sa part dévoile qu'elle me jouait une pièce dont le prologue a commencé dès le jour de notre rencontre. Elle connaît tout de ma vie, j'ai répondu à toutes ses questions personnelles pour jouer le jeu. Cela demeurera une tâche maudite, invisible et indélébile car elle parvient d'une confidente. Elle a laissé longtemps entendre que je pouvais compter sur son amour pour la santé des intoxiqués. Avec sa lettre, le DGS a donc fait tomber le masque du CMP. Jusqu'ici, elle avait exercé son pouvoir avec tant de noblesse pendant tant de consultations. Elle s'était montrée si pure dans sa haute fonction. Mais si je ne me défends pas, j'attirerai le malheur sur moi. Elle avait gagné ma confiance en ne contestant pas mes diagnostics au mercure et en me laissant en parler de temps à autre. Comme la lettre du DGS a gâché la chute qu'elle attendait patiemment, elle a donc tenté le tout pour le tout en cherchant à obtenir mon consentement. Le Dr ÉCREVISSE est donc plein de trahisons en réserves et de témoins surprises prêts à m'accabler. Cependant, je suis resté de marbre à chacun de ses assauts car le plus doux concurrent est le plus sûr gagnant et que je m'étais préparé à des passes d'armes feutrées dans une lente guerre d'usure de façon à saper mon moral. Fort du DGS, j'étais imperturbable. Je soutenais aisément mon regard tranquille dans le sien pendant de longues secondes. Ma sérénité n'a fait qu'augmenter son fiel. Elle se fâche à plaisir tant qu'elle n'obtenait pas satisfaction. À elle toute seule, elle était une équipe de rugby du Pacifique qui dansait un Haka avec le pas lourd, les coudes frappés, la langue de reptile en cri de guerre et les yeux en arbalètes. Les structures en béton armé du bâtiment en tremblaient comme les genoux d'un vieillard. Cependant, à cette danse guerrière, il ne manquait que le chef d'orchestre et l'ordre du DGS.
Elle ne m'a pas vu rougir, ni changer de visage car un cœur irréprochable et gonflé par le vent n'est pas facilement intimidé. De quoi suis-je coupable ? Qui peut m'accuser avec des preuves matérielles ? Faute de mieux et suite à la lettre de l'Elysée, on ne fait que me soupçonner en creux de prétendus troubles psy et attendre une éventuelle validation de ma part par des approches rampantes. La vertu est étouffée ; si le diagnostic psy pouvait me rendre heureux, je le recevrais en toute satisfaction. Je ne suis pas un malade qui aime sa maladie et qui peine à souffrir qu'on y remédie. Comme le mercure a ravagé mon intériorité native par une coulée de lave, ce mercure a été une torture physique chronique pendant plus de 10 ans, j'étais Charlie Chaplin et son charabia pendant des années ; je n'ai donc plus aucune intériorité native à livrer. Le deuil est fait. Je me suis donc reconstruit une intériorité artificielle avec une littérature intensive pendant 10 ans nourrie au goutte à goutte par le Collège de France. Le monde de la psy et des passions tristes ne me parle pas alors que le monde de la littérature m'émerveille avec ses fleurs Baudelairiennes telles que Jean Valjean. Chaque fois qu'elle sonde ma psy, je lui réponds de ma littérature circonstanciée, du Proust, du Artaud, du Stendhal, du Sophocle et ainsi de suite. J'attends avec impatience la consultation sur la peur de la mort pour lui soumettre ma tirade préférée de Macbeth sur la mort de la Reine ; puis, je polirai crûment le tout avec du Beauvoir ou du Flaubert avec son défilé de dieux qui tombent dans le précipice. Je n'ai rien à reprocher aux psy. La folie qui chuchote à mon oreille, c'est celle d’Hamlet ; il est celui qui, pour déceler un crime, devient fou à force de jouer la folie. Si je prends le médicament qu'elle me prescrit, c'est parce que cela est obligatoire ; une fois, elle est devenue toute rouge de surpression lorsque je lui ai dit que j'avais oublié de le prendre 2 ou 3 soirs de suite. Deux panaches de vapeur avec sifflet ont même été expulsés de part et d'autre des oreilles. C'était certes la première fois que je voyais cela de ma vie, mais mes yeux n’en ont pas fait un looping. Je suis un garçon certes contestataire, mais discipliné, je prends donc le traitement car je considère cela aussi peu liberticide que de mettre la ceinture de sécurité. Ce médicament traite gratuitement et très bien mes insomnies à longueur d'années (qui est un symptôme d'intoxication chronique). Chez moi, la seule chose qui compte, c'est le mot, le mot et le mot. Une molécule est un biopouvoir neutre auquel je n'y attribue pas de sens me concernant car il n'y a pas de mot. Mais le médecin toxicologue qui m'a diagnostiqué, mais les filières alternatives américaines et allemandes de toxicologie, mais la défaillance massive des diagnostics français validés, mais l'amélioration significative de mes symptômes par le traitement du mercure pendant 10 ans, mais la réponse du DGS qui promet enfin de prendre en charge mon mercure correctement, mais la lettre du Ministre américain à mon plaidoyer, mais mes nombreux diagnostics au mercure, mais mes symptômes multisites caractéristiques d'une intoxication chronique (électrogalvanisme, intestins, peau, cerveau, …) permettent d'établir que l'intoxication chronique est une piste sérieuse qui demeure en compétition avec celle de la psy. Faute de référence cérébrale ou corporelle, la médecine ne peut pas me dire que je ne suis pas intoxiqué. La psy ne traite pas la cause de mes maux car mes maux de tête perdurent. Lorsque les nouvelles recommandations de prises en charge du DGS entreront en vigueur, la piste psy s'évanouira car j'ai déjà transmis mes diagnostics au mercure.
Les toxicologues à l'international n'ont pas appliqué le Discours de la méthode de Descartes car ils n'ont pas suivi la consigne des revues générales en autant de fois que nécessaire. Les toxicologues se sont contentés des analyses disponibles très partielles car le corps vivant ne se prête pas aux exigences scientifiques (dissolution d'organes) et car les analyses validées se cantonnent à 5% non représentatifs du corps. Ensuite, ces toxicologues ont fait passer les analyses massivement défaillantes pour une vérité absolue. Depuis toujours, toute la littérature scientifique tourne en rond sur trois petites analyses validées du sang, de l'urine, des cheveux et massivement défaillantes. Les toxicologues n'exercent donc aucune vigilance sur les 95% restants du corps concernant les métaux. Les maladies chroniques ont donc complètement échappé à leurs causes. Cependant, les traités de toxicologie rapportent la parole de scientifiques qui contestent les protocoles officiels vains (voir références du plaidoyer) et qui constatent des excès massifs de métaux aux autopsies des personnes qui portaient des maladies chroniques. Les traités de toxicologie rapportent des pratiques de médecins qui sont bien plus efficaces que les diagnostics validés.
Nier 95% du corps est un acabit à craquer la voûte des cieux. Comme les tours jumelles, les superstructures neuro et psy vascillent sous la liquéfaction des infrastructures toxicologiques. Selon Victor Hugo, les malades meurent et les médecins ont le délire.
Le Dr ÉCREVISSE ne commet certes pas l'infraction caractérisée d'exprimer une parole directe qui me ferait perdre mes chances de guérison, mais elle a installé une ambiance climatique et théâtrale modérément harcelante, enveloppante, englobante, oppressante, alternée ou continue, lentement crescendo et menaçante sur 2 séances consécutives pour obtenir de son patient par la force mentale, par l'intimidation, par la répétition, par ses sourcils froncés, par la suggestion voilée d'internement et d'aiguilles menaçantes que je renonce par moi-même à mes chances de guérison de mon mercure (diagnostique par un medecin toxicologue, traitements, reconnaissance, alertes). Il me semble également qu'elle peut influencer mon allocation handicapée auprès de la CAF car c'est elle qui a monté mon dossier auprès de la Mdph. Je souhaite donc que l'expression de ses sourcils, de son visage, de ses yeux, de ses mains, de sa gestuelle, de son ton, de sa silhouette grave par personne dépositaire de l'autorité soit requalifiée en tentative caractérisée assidue de me priver de mes chances de guérison de mes excès de mercure sous toutes les formes possibles (traitements, démarches, alertes, future reconnaissance).
Quant aux études projetées par le DGS, je joins la réponse de Monsieur Nicolas LANGOUSTE, toxicologue et Président de la Société Française de Toxicologie Analytique. La pertinence d'une analyse se mesure à son champ d'application et son rayon d'action. Pour évaluer le dosage des métaux dans le cerveau, il faut dissoudre l'organe, cela est incontournable. Dans la confiance que nous leur donnons, les Agences de santé ont encore négligé cela post-mortem. Comme cela est inenvisageable du vivant du patient, il ne sera donc à jamais possible d'acter une absence d'intoxication cérébrale de façon fiable à 100% chez un patient. Le doute planera à vie. Le doute s'impose de lui-même et il revêtira toute la médecine. La littérature scientifique rapporte que la seule alternative du vivant du patient aux protocoles en vigueur demeure une analyse après traitement. Cependant, comme le traitement circule dans tout le corps, les métaux des doigts de pieds sont donc mélangés à ceux du cerveau. Les métaux excrétés de tout le corps sont donc confondus. Cette analyse est certes un progrès significatif par rapport aux diagnostics officiels actuels (sang, urine) car elle permet d'approcher le corps, mais elle demeure totalement insuffisante pour statuer sur l'intoxication d'un organe spécifique (ex: cerveau). Il ne sera donc jamais possible d'affirmer avec exactitude si le cerveau d'une personne portant des troubles neurologiques est intoxiqué ou pas. Dans ce cas, le doute doit s'imposer à l'avis de tous à jamais.
Je ne suis pas fermé à ce qu'elle conteste mon mercure car le doute entre intoxication et psy est la seule posture médicale, scientifique et politique envisageable ; cependant, je vous saisis pour faire régner la loi dans le bureau du Dr ÉCREVISSE . Du fait de son recours légal à un arsenal d'instruments coercitifs, le Dr ÉCREVISSE ne peut que contester sans insistance, sans intimidation et de façon civilisée et de façon à obtenir un éventuel consentement de ses patients, sinon elle devient une police de la pensée. Les normes officielles ne sont pas des vérités de la pensée et, à ce titre, elles ne peuvent pas être imposées par quelque moyen que ce soit sinon nous devenons grégaires. Cela est une maladie sociale qui guette toute société. Chez moi, il est improbable que je change d'avis car le DGS et le Ministre américain de la Santé se sont exprimés en faveur des personnes qui, comme moi, sont imprégnées en mercure et en errance. L'un de ses arguments pour tenter de me déstabiliser, c’est d'asséner en douceur que tout le monde est porteur de mercure de façon à sous-tendre que je ne possède pas d'excès par rapport à la population générale ou que le mercure n'est absolument pas toxique. Factuellement, sans analyse en population générale en bonne santé de la charge corporelle en mercure, la science ne sait pas dire si un kilo de mercure dans le corps est toxique ou pas chez un patient qui porte des symptômes car son analyse après traitement demeure non interprétable faute de référence en population générale. C'est à ce titre que les Centres antipoison ne m'ont officiellement pas pris en charge car ils prétendent nier le corps faute d'analyse validée. Les Centres antipoison savent dire uniquement que 5 microgrammes sont toxiques pour le sang uniquement mais pour rien de plus. Je rappelle que le Docteur ÉCREVISSE n'est pas toxicologue, elle n'est donc pas qualifiée pour exprimer un argument toxicologique. De plus, elle a donc oublié le fameux diction : c'est la dose qui fait le poison. Ce n'est pas parce que tout le monde possède du mercure que je ne suis pas intoxiqué. Or, le serment d'Hippocrate lui interdit d'exprimer un avis hors de ses compétences. Or, pour affirmer une absence d'intoxication du cerveau, il faut dissoudre le cerveau et pratiquer des dosages en population saine et chez le malade. Cela est évidemment inenvisageable du vivant. Il est donc à jamais impossible d'établir une intoxication ou une absence d'intoxication à 100% fiable. Comme les diagnostics validés sont défaillants (prises de sang), le nombre de Français victimes s'élève en millions (Alzheimer,...). La seule chose qui est possible de faire, c'est de traiter tant que les excès de métaux qui apparaissent aux analyses après traitement. Les diagnostics d'intoxication et de psy balanceront à jamais y compris après les nouvelles recommandations commandées par le DGS.
Quant à son mobile, elle souhaite ne pas désavouer son CMP et elle souhaite maintenir le rayonnement de son autorité d'une psy totale quitte à démâter la caravelle. Mais, cela est étonnant car le DGS a déjà donné de la voix vers de nouvelles recommandations de prise en charge et vers une nouvelle communauté de la vérité vers laquelle elle s'était engagée tacitement en première intention et qu'elle a renversé à la lettre du DGS. En effet, la littérature scientifique rapporte que le million d'Alzheimer portent des excès massifs de métaux lors des autopsies de cerveaux alors que les diagnostics officiels en vigueur du vivant du patient sont inadéquates car ils ne décèlent pas ces excès de métaux. Cependant, le traitement existe. Les diagnostics non encore validés après traitement pourraient déceler ces excès de métaux. La validation des diagnostics après traitement est donc une menace car elle démontrera que les protocoles actuels auront éventuellement mené aux troubles psy. Le Docteur ÉCREVISSE refuse la nouvelle médecine ouverte par le DGS. Le projet du DGS mettra en suspens tous les diagnostics psy de la France car le diagnostic psy est interdit en cas de doute ou en cas d'intoxication. Le seul moyen pour valider son diagnostic, c'est d'obtenir mon consentement à renoncer à mon intoxication chronique possible par la menace de la force. Comme je répète que je suis intoxiqué à chaque moment stratégique, le Docteur ÉCREVISSE guide donc ses colères au profit de l’intérêt de sa corporation. Le projet du DGS rend le Docteur ÉCREVISSE dangereuse et dissidente car il remet en cause sa discipline en profondeur. Elle est Chateaubriand et son génie de l'ancien monde aux vérités mystérieuses en mémoire passée de la Nation. Faire reconnaître aux patients qu'ils sont porteurs de troubles psy sans connaître les charges cérébrales, c'est les forcer à se dire des choses éventuellement fausses. C'est désormais à la psy et aux toxicologues de se dire des choses qui sont vraies. Le DGS est une blessure narcissique pour le CMP. Quant à moi, je demeurerai à ma place de malade qui a besoin de soins appropriés (désintoxication et réhabilitation sociale) car mes os déséquestrent désormais mon poison et réintoxiquent mon cerveau.
Cela fait 16 années que je porte des symptômes semblables à ceux du syndrome de la guerre du Golfe. Voir plainte attachée 2022 avec mon parcours d'errance. La cause d'intoxication de centaines de milliers de soldats a été reconnue par le Congrès américain suite à des études de longue haleine (IRM des cerveaux atrophiés par brûlures suite à un cocktail intensif de toxiques). Le DGS fait donc le nécessaire pour que cesse enfin la flétrissure généralisée.
Chefs d'inculpation contre le Dr ÉCREVISSE :
- menaces abusives et répétées d'internement, intimidation répétées et menaces abusives d'aiguilles.
- Privation de chances de guérison de mes excès de mercure.
- faute lourde par déni des consignes du supérieur hiérarchique (DGS).
- Tentative de privation de mes futurs droits à faire reconnaître mon intoxication chronique suite au DGS.
- non ajustement de la posologie de son médicament suite aux excès trouvés dans mon sang.
- Dépassement des compétences en exprimant un avis toxicologique
- Suite aux réponses engagées du DGS, de l’Anses, et du Ministre américain de la santé, faux diagnostic de troubles psychiques.
Si la lettre du DGS posait problème pour ma prise en charge au CMP, le Dr ÉCREVISSE aurait dû s'exprimer avec calme, justesse en exposant le problème simplement avec les tenants et les aboutissants au lieu de tenter de m'impressionner avec rudesse. Elle n'exprimait certes pas le dépit ; cependant, après la lettre du DGS ou la saisie de l'Anses, elle n'aurait pas dû jouer ces grimaces raciniennes et commettre ces infractions par respect pour la hiérarchie et pour la science car on a jamais entendu un coucou chanter dans la vallée lorsque l'aigle impérial glatit et dépoussière ses ailes de son bec et de ses serres du haut de sa falaise.
En conséquence, je souhaite, pour ces faits, porter plainte contre le Docteur Alix ÉCREVISSE du Centre Médico-Psychologique Bucarest Paris 9.
Je vous remercie de considérer ce courrier comme un dépôt de plainte.
Dans l'attente des suites que vous donnerez à ce courrier, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur le procureur de la République, l'expression de ma plus haute considération.
Pour information, je serai en déplacement à l'étranger du 30 septembre 2024 au 25 octobre 2024 sans accès à mes courriers. Pendant ces dates, m’adresser une copie par courriel, svp.
Paris, le 24 août 2024.
SOPHOCLE
PIÈCES ATTACHÉES
- Lettre DGS
- Lettre de l'Elysée
- Lettre de Matignon
- Lettre du Ministre américain de la santé
- Réponse du Président de la Société Française de Toxicologie Analytique
- Réponse de la Vice-présidente de l'Anses
- 60 Réponses de hauts responsables
- Plaidoyer
- Email du 11 décembre 2023 au DGS avec la lettre de l'Elysée.
- Email du 13 juin 2024 au Dr ÉCREVISSE avec la lettre du DGS.
- Plainte de 2022 contre X. Cette plainte rapporte toute mon errance d'intoxication
- Diagnostics mercure, plomb, arsenic
- Diagnostic du surdosage de la prescription du Dr ÉCREVISSE
- Pièce d'identité