Nataliaa a écrit:
et pour ta soeur, tu n'envisages pas de lui parler?
d'arriver à rétablir un contact d'égal à égal, un contact ou il y aurait un réel échange, un réel" intêret" à discuter ?
( je sais pas trop comment expliquer ça)
Enfin on m'a dit que ça pouvait aider de forcer un peu pour aller vers l'autre, et rétablir la relation.
Thierry68 a écrit:Juste un petit mot aussi sur l'importance de la vie professionnelle (par rapport aux discussions plus haut).
Il ne faut pas oublier que la vie professionnelle = servitude de l'homme par rapport à l'argent. Elle est donc le principal outil de ce qui s'appelle dans la science ésotérique la Loi Générale qui a pour rôle de maintenir la vie organique sur les "rails". Autrement dit, la vie professionnelle sera forcément un frein pour les chercheurs, les hommes (et femmes) vraies, les originaux... bref pour ceux qui aspirent à autre chose que de gagner de l'argent.
Tout ça pour dire qu'à mon sens, il faut se garder d'apporter une trop grande considération intérieure (au contraire de la considération extérieure !) à notre vie professionnelle, c'est à mon avis une des clés pour être heureux "professionnellement" en toute circonstance. Si vous pensez que votre boulot c'est votre vie, vous vous croyez vivant car passionnés mais en fait vous êtes juste en train de vous faire bouffer intégralement...
Bon j'arrête de philosopher tout seul dans mon coin pour ce soir .
Thierry68 a écrit:Lebowski > Ayant une grande soeur, je me reconnais un peu dans ton témoignage... Pas de "rejet" pour moi, mais une jalousie parfois palpable durant l'enfance et des tentatives de rabaissement (enfin j'ai dû le vivre comme ça).
Je pense qu'il y a des cas types de traumatismes d'enfance qui doivent revenir souvent, et le sentiment de rejet ou de rabaissement de la part du grand frère ou de la grande soeur en est un.
Tu peux choisir de lui en parler bien sûr pour ouvrir le dialogue, ou choisir de ne pas le faire, mais dans tous les cas la dernière étape qui elle seule pourra te délivrer de ce traumatisme sera le pardon total et sans conditions. Dis-toi qu'elle a sans doute elle-même subi un traumatisme qui l'a amené à se comporter de cette façon (la peur de perdre sa place au sein de la famille ?)... La méchanceté pure n'existe pas, ça paraît incroyable mais toutes les émotions négatives ont pour base l'amour pur auquel se mélange toutes sortes de considérations.
En tout cas tu as fait la moitié du chemin, tu as isolé le problème, il ne te reste plus qu'à le traiter. Ce serait bête de s'arrêter là.
Lebowski a écrit:Thierry68 a écrit:Juste un petit mot aussi sur l'importance de la vie professionnelle (par rapport aux discussions plus haut).
Il ne faut pas oublier que la vie professionnelle = servitude de l'homme par rapport à l'argent. Elle est donc le principal outil de ce qui s'appelle dans la science ésotérique la Loi Générale qui a pour rôle de maintenir la vie organique sur les "rails". Autrement dit, la vie professionnelle sera forcément un frein pour les chercheurs, les hommes (et femmes) vraies, les originaux... bref pour ceux qui aspirent à autre chose que de gagner de l'argent.
Tout ça pour dire qu'à mon sens, il faut se garder d'apporter une trop grande considération intérieure (au contraire de la considération extérieure !) à notre vie professionnelle, c'est à mon avis une des clés pour être heureux "professionnellement" en toute circonstance. Si vous pensez que votre boulot c'est votre vie, vous vous croyez vivant car passionnés mais en fait vous êtes juste en train de vous faire bouffer intégralement...
Bon j'arrête de philosopher tout seul dans mon coin pour ce soir .
Le boulot c'est pas ma vie entière, mais c'est là où je passe une bonne partie de ma journée, c'est pourquoi je trouve important qu'on s'y sente le mieux [...]
La considération extérieure n'est pas la même chose que d'être socialement poli ou d'avoir de la considération pour autrui, bien que ce pourrait être exprimé de cette manière.
Le concept clef est d'en être conscient et de s'adapter au niveau d'être et de connaissance des autres. Ainsi, la considération extérieure implique par exemple de ne pas parler de choses qui pourraient simplement offenser les croyances des autres ou qui ne seraient simplement pas comprises. La considération extérieure fait référence à l'idée d'une volonté de bienveillance générale envers son environnement, dans un sens de laisser l'environnement être tel qu'il souhaite être et répondre à ses requêtes d'une manière qui honore son droit à être ce qu'il veut être.
La considération extérieure est enracinée dans la conscience objective de son environnement. Par opposition, la considération intérieure est enracinée aux attachements à son état intérieur, à son propre confort, préconceptions ou désirs.
La considération extérieure ou intérieure n'est pas toujours extérieurement distinguable, bien qu'il y a entre elles une différence fondamentale. L'une serait par exemple d'être socialement agréable afin d'uniquement renforcer sa propre idée que l'on est soi-même une 'bonne personne'. Ceci est une considération intérieure sur ce que les autres/soi-même perçoivent du moi.
Dans certains cas, la considération extérieure pourrait impliquer de garder l'information pour soi lorsqu'elle est vue comme inappropriée, dangereuse ou simplement pas désirée par celui qui est susceptible de la recevoir. Une personne avec une considération intérieure pourrait faire cela, mais c'est encore la motivation qui est différente.
Nicolah a écrit:> Etre positif.
Je ne suis pas pour l'attitude qui irait a dire qu'il faut a tout prix etre positif c'est ce que nous raconte le psy et ce n'est pas la bonne méthode.
" Tu dois être rester positif " disent la famille les amies. Du coup ca fait un poid de plus sur le corps la personne qui n'arrive pas a etre positive se voit encore plus frustrée au dela des douleurs physiques et morales de la maladie.
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