4 CONCLUSION
4.1 PREUVE SCIENTIFIQUE
Une preuve scientifique s’obtient avec des études en population générale en bonne santé et non exposée à des poisons ; une échelle de valeur doit également être dressée. Or, les agences de santé se limitent à des études les moins intrusives possibles (sang, urine, cheveux, sans traitement). Toute autre considération est abandonnée car ces pratiques ne sont pas commodes ni fiables (analyses des selles) ou elles sont trop intrusives (chélation) ou elles ne sont pas mesurables avec rigueur sur une échelle de valeur. Une très grande partie de la physiologie est donc niée par les organismes de santé qui établissent les vérités scientifiques.
4.2 MEDECINES TRADITIONNELLES.
La science médicale occidentale ne sait pas mesurer en population générale ni la taille ni la fraicheur des mitochondries dans l’ensemble du corps. Il en est de même avec le nombre de capillaires. Les améliorations significatives des mitochondries et des capillaires par la médecine des bains froids ne peuvent donc pas être mesurée par la science moderne en population générale. Je rappelle que les bains froids étaient généralisés dans les termes romaines. Cela indique que les bénéfices des bains froids relevaient de l’empirisme en population générale. Les bains froids sont réputés pour permettre la cicatrisation rapide des tissus.
A défaut de preuve rigoureusement scientifique, la médecine des bains froids passe donc pour anti-conventionnelle auprès des médecins. Elle passe également pour de la pseudo-science si ce n’est pour du charlatanisme. Les guérisons par les bains de Lourdes, dont la température de l’eau est à 12°, passent donc à tort pour totalement miraculeuses quitte à se moquer des témoignages de guérison par les personnes qui brandissent l’exigence de la preuve scientifique. Or, il existe des témoignages de guérison de paralysie par des bains froids. En dépit des vertus des bains froids, l’absence de preuve scientifique officielle sur les bains froids jette donc un scepticisme en population générale.
Il en va de même avec le dépliement de l’ADN dans la cellule par le régime cétogène.
Il en va de même pour toutes les autres médecines traditionnelles (Ayurvéda, ventouses, jeûne, …).
En Ayurvéda, aucune des cinq actions de la Pancha-karma ne peut être évaluées en population générale avec les méthodes occidentales, ingestion d’huile, purge, massage intensif à l’huile chaude, sauna, et lavement. La science occidentale ne peut donc pas mesurer les bénéfices dispensés par chaque action de la Pancha-karma en population générale. Aucune échelle de valeur ne peut être dressée.
Il en est de même avec les ventouses. Les effets des ventouses ne se mesurent pas avec des échantillons de sang, d’urine ou de cheveux en population générale.
Quant au jeûne, ni les plaques de graisses coronariennes ni les autres particules oxydantes fixées qui sont brûlées par le jeûne ne sont mesurables avant et après jeûne avec des analyses des échantillons de sang, d’urine, ou de cheveux. Lors d’un jeûne, les particules oxydantes organiques fixées dans les recoins du corps sont dissoutes en CO2 et H2O. Ces particules disparaissent donc dans la masse de CO2 et d’H2O. Contrairement aux métaux lourds, il n’est donc pas possible de relever ces particules lors du traitement.
Comme aucun état (avant et après traitement des médecines traditionnelles) n’est scientifiquement mesurable sur une échelle de valeur, la médecine conventionnelle française néglige donc l’ensemble de ces techniques traditionnelles quitte à laisser des millions Français en errance avec leurs excès de particules oxydantes.
4.3 MEDECINE CONVENTIONNELLE OCCIDENTALE
Les prises de sang et l’échantillon d’urine ne représentent pas la charge corporelle car, selon les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA), des excès de métaux apparaissent aux analyses après traitement chez tous par rapport aux analyses validées (sang, urine, cheveux, sans traitement).
Toutes les personnes qui présentent des intoxications chroniques et corporelles passent donc sous le radar des enquêtes en population générale.
Comme les conclusions toxicologiques en population générale sont élaborées exclusivement à partir d’analyses sans traitement (sang, urine, cheveux), toutes les conclusions toxicologiques occidentales sont donc frappées de nullité (Alzheimer, Parkinson, …, vaccins au mercure, amalgames dentaires, …).
Au regard des excès de métaux qui sont décelées aux analyses après traitement, les analyses validées ne sauraient être prolongées à elles-seules pour établir un diagnostic d'intoxication. Les analyses après traitement sont certes imparfaites, mais elles mettent en évidence les excès de métaux stockés dans le corps. Leur concours est donc précieux.
La vérité est également que ni les analyses validées (sans traitement), ni les analyses après traitement ne représentent la charge corporelle ni de près, ni de loin. Ni avec les unes, ni avec les autres, il est possible de dresser un diagnostic totalement fiable du vivant du patient. Dans les deux cas, des personnes avec un fort taux peuvent être en très bonne santé, et des personnes avec un taux modéré peuvent être atteintes par de lourds symptômes.
Cela indique que le principe de validation et de références basé sur une échelle de valeur est totalement abscond pour faire de la très bonne médecine. Faute de mieux dans le cas d'une intoxication active, les symptômes doivent aider à la décision en complément du double diagnostic avec et sans traitement.
L'exclusivité des analyses validées (sang, urine, sans traitement) a donc façonné une médecine qui nie totalement les particules oxydantes stockées dans le corps. Cela a donc contribué à une large dégénérescence (Alzheimer, cancers, intoxications chroniques, …) non maîtrisée. Cette dégénérescence pourrait être significativement mieux maîtrisée par le complément des analyses après traitement.
Cette lacune pousse donc les patients vers des médecines non-conventionnelles.
Un million de français sont porteurs de la maladie d’Alzheimer (soit 1,3% de la population française et 20% d’une génération). Or, de très nombreuses techniques de santé existent pour traiter les particules oxydantes qui participent à la maladie d’Alzheimer. Ces techniques sont donc confisquées sur l’autel de la preuve scientifique dont le rayon d’action se limite à l’exposition et dont le rayon d’action n’explore pas la charge corporelle. Il en est de même avec les autistes dont le nombre s’élève à 600.000 en France. Il en est de même avec toutes les autres maladies chroniques (Sclérose en plaque, …). Il en est de même avec la sécurité des médicaments (vaccins à l’aluminium, …).
Au total, ce sont vingt millions de Français qui sont porteurs de maladies chroniques dont on ne sait pas guérir par la médecine conventionnelle. Or, des pans entiers de la physiologie sont totalement niés par la médecine conventionnelle.
Je recommande donc que des centres soient ouverts pour traiter la charge corporelle de toutes les catégories de particules oxydantes (y compris du mercure en cas d’amalgames dentaires). Les français et les médecins doivent être libres de pratiquer le déstockage des particules oxydantes. Au vu des pratiques des Centres antipoison, je préconise également de se dispenser de leur aide car le traitement des poisons y est considéré comme un dévoiement de la discipline de toxicologie.