LIMINAIREPensez à lire également mon plaidoyer car il y a quelques infos sur les traitements :
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 15#p123009AVERTISSEMENTDans le cas d'une intoxication aigüe, appelez les Centres antipoison. Ils vous prendront en charge.
Ils administrent des techniques que je n'évoque pas dans ce traité (anti-inflammatoires, ...).
Dans le cas d'une intoxication aigüe, ce présent traité ne servira à rien.
Cependant, dans le cas d'une intoxication chronique, les Centres antipoison vous jetteront comme des malpropres et ils menaceront publiquement les médecins qui vous traitent.
Si vous êtes arrivé ici, c'est que vous n'avez pas trouvé de solution chez votre médecin.
Je ne peux pas vous promettre d'éliminer vos symptômes, mais je ne peux qu'exprimer toutes les techniques pour éliminer les poisons.
Ces techniques rapportent des améliorations.
Les analyses sont difficiles, il est donc difficile de cibler l'action adéquate.
Il conviendra d'essayer toutes ces techniques pour aviser sur leur pertinence.
Pour la majorité des traitements, il faudra appliquer une première série de traitements.
Les poisons qui sont placés dans le rayon d'action du traitement seront éliminés.
Les mois suivants, les poisons hors du rayon d'action se disperseront pour équilibre la charge.
Des poisons rentreront donc dans le rayon d'action.
Il conviendra donc d'appliquer à nouveau les traitements chaque année après la première série de traitements.
Ce traité est gratuit et libre de droits, vous pouvez le copier.
Cependant, s'il vous plaît, indiquez votre source pour 2 raisons : la première car cela est d'usage, la seconde car je mets à jour régulièrement ce traité.
Copiez donc ce lien :
http://www.forum-melodie.fr/phpBB3/view ... 14#p121814NOTAPour toutes les techniques que je présente ici, il existe des professionnels auprès desquels vous pourrez vous orienter. Les premières séances sont les plus exposées car elles mobiliseront beaucoup de toxines. Contrairement à ce qui est dit, ce ne sont pas des médecines douces. Les premières séances doivent donc être très soft. Si vous être débrouillard, vous pourrez répéter les techniques à la maison. Par exemple, les premières séances de jeûne et de ventouses sont les plus délicates. Il faut donc commencer avec un professionnel. Ensuite, il est possible de les appliquer à la maison à faible intensité. A force de les répéter, la charge en toxines sera faible, il sera donc possible d'augmenter l'intensité de ces techniques. Une valise de 15 ventouses coute 30 euros, il sera donc possible de les appliquer une fois par semaine à la maison plutôt que de payer 20 séances à 50 euros chacune. Idem pour le jeûne, le premier jeûne est compliqué, il faut donc le faire préférentiellement avec un professionnel. Mais au 3ème jeûne, on peut entrer et sortir du jeûne sans encombre et sans professionnel car les pics de symptômes auront été traités au premier jeûne. Si vous êtes très débrouillard comme moi, vous pourrez vous passez d'un professionnel dès la première séance. Cependant, il faut écouter son corps et suspendre le traitement en cas de doute et recommencer.
Mon traité est une boite à outil. Le patient devra cibler les bonnes techniques appropriées à son désordre.
A JEUNLes produits doivent être pris à jeun. Il faudra donc supprimer le petit-déjeuner. Pour y arriver, il suffit de retarder le petit déjeuner d'un quart d'heure. Et en 3 semaines, le corps aura pris l'habitude de se passer du petit déjeuner.
CONTRE-INDICATIONSLe lecteur devra vérifier les contre-indications de chacune des techniques présentées dans ce traité. Vous pouvez contacter votre médecin et, de préférence, un professionnel afin de lui annoncer vos symptômes et vos traitements.
1 SOMMAIRE1.1 TEMOIGNAGE PERSONNEL - PRESENTATION
2 TRAITEMENT DES METAUX LOURDS
2.1 MON PROTOCOLE
2.1.1 TRAITEMENT DES METAUX LOURDS DE L'EXTRA-CELLULAIRE (INORGANIQUE) :
2.1.2 TRAITEMENT DES METAUX LOURDS DE L'INTRA-CELLULAIRE (ORGANIQUE) :
2.1.3 EXEMPLE D'APPLICATION
2.1.4 DUREE D'APPLICATION
2.2 ANALYSES BIOLOGIQUES
2.2.1 LABORATOIRES
2.2.2 PROTOCOLE POST-CHELATION
2.2.3 FREQUENCE
2.2.4 INTERPRETATION
2.2.5 AFFINITE
2.3 INCIDENTS
2.3.1 FORTES DOSES FORTEMENT CONCENTREES
2.3.2 pH
2.3.3 BAINS FROIDS
2.3.4 DMPS
2.3.5 GENERALITES
2.3.6 MALADIE
2.3.7 DEMINERALISATION
2.4 CONTRE INDICATIONS
2.4.1 SELON LES MEDECINS
2.4.2 SELON MOI
2.5 SCHEMA DU COLLEGE DE FRANCE
2.5.1 STRESS ENVIRONNEMENTAL
2.5.2 STRESS METABOLIQUE
2.5.3 SYNTHESE
2.6 AMALGAMES DENTAIRES
2.7 CHELATEURS
2.7.1 GENERALITES
2.7.2 MARCHANDS
2.7.3 DMPS
2.7.4 DMSA
2.7.5 EDTA
2.7.6 ALA
2.7.7 DTPA
2.7.8 CHELATEURS NATURELS
2.7.9 DISSOLUTION GRACE AU BICARBONATE DE SOUDE
2.8 MODES D'ADMINISTRATION
2.8.1 INTRAVEINEUSE
2.8.2 SOLUBILISE PAR ORAL
2.8.3 GELULE OU POUDRE PAR ORAL
2.8.4 ENFANTS
2.9 PRIX
2.10 PROTOCOLE CUTLER
3 SUBSTANCES ORGANIQUES ET TECHNIQUES DE DETOX
3.1 PRÉALABLE : LE TERRAIN
3.1.1 BAISSE DE L'EXPOSITION
3.1.2 RÉGIME CÉTOGÈNE
3.1.3 ACTIVITÉS PHYSIQUES
3.1.4 2 REPAS PAR JOUR, MIDI ET SOIR
3.1.5 LÉGUMES CRUS ET ÉLECTRONS
3.1.6 PENDULE SAISONNIER ACIDO-BASIQUE
3.1.7 QUELQUES BAINS FROIDS
3.2 DÉSTOCKAGE DES COMPOSÉS ORGANIQUES
3.2.1 VENTOUSES
3.2.2 PANCHA-KARMA (AYURVEDA)
3.2.3 JEÛNE HYDRIQUE ET JEÛNE SEC
3.2.4 EXEMPLE D'APPLICATION
3.3 DÉSTOCKAGE DES MICRO-ORGANISMES
3.3.1 NOMBRE
3.3.2 ACTIVATION
3.3.3 RÉGIME ALIMENTAIRE
3.3.4 BAINS FROIDS
3.3.5 PLANTES AROMATIQUES
3.3.6 HERBES
3.3.7 HUILES ESSENTIELLES
3.3.8 ALLICINE
3.3.9 LARGE SPECTRE
3.4 TRAITEMENT DES ORGANES A MUQUEUSES
3.4.1 LES PRINCIPES ACTIFS
3.4.2 INTESTINS
3.4.3 BOUCHE
3.4.4 YEUX
3.4.5 OREILLE
3.4.6 PEAU
3.4.7 FOSSES NASALES
3.4.8 GYNÉCOLOGIE
3.4.9 POUMONS
3.5 RESTRUCTURATION DES TISSUS
3.5.1 EXPOSITION AU FROID
3.6 EXEMPLES D'APPLICATION
3.6.1 CANCER
3.6.2 MALADIES NEURO-DÉGÉNÉRATIVES
3.6.3 AUTRES MALADIES CHRONIQUES
3.6.4 ORDONNANCEMENT
3.6.5 MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE de 1991
4 CONCLUSION
4.1 PREUVE SCIENTIFIQUE
4.2 MEDECINES TRADITIONNELLES.
4.3 MEDECINE CONVENTIONNELLE OCCIDENTALE
5 COMPLEMENTS
5.1 ARTICULATIONS
5.2 REINS/FOIE
5.3 ANGOISSES
1.1 TEMOIGNAGE PERSONNEL - PRESENTATIONJe suis un architecte français. En 2008, à 33 ans, des symptômes ont commencé à s’installer de façon handicapante, maux de tête, électrosensibilité, fatigue générale intense et durable. Les maux de tête étaient accompagnés par des troubles cognitifs tels que la perte de la mémoire. Des prémisses de ces symptômes se manifestaient certes déjà en 2001 lors d’un appel téléphonique de 20 minutes depuis un mobile, mais je n’étais pas inquiet car ces symptômes disparaissaient aussi vite qu’ils étaient apparus. L’intensité de ces symptômes demeurait faible mais elle forcissait peu à peu au fur et à mesure que le temps passait.
Dès 2005, j’ai certes consulté des médecins généralistes mais aucun médecin n’a posé de diagnostic.
En 2011, mon état était devenu alarmant. Je me tenais debout comme un zombie.
De 2011 à 2013, j’ai été reçu quatre fois par le Professeur Dominique BELPOMME, spécialiste de l’électrosensibilité, mais son traitement ne guérit pas de l’électrosensibilité. En 2012, j’ai reçu un certificat d’électrosensible de la part du Professeur BELPOMME, mais ce certificat n’est pas reconnu.
En 2012, j’ai dû arrêter de travailler car l’intensité de mes symptômes était trop élevée. Les maux de tête étaient permanents et ils s’accentuaient peu à peu sur le long terme. L’électrosensibilité se manifestait par des désagréments à proximité d’ondes (téléphone portable, courant domestique 220V). Une aggravation de mes maux de tête et une aggravation de la fatigue se manifestaient auprès de l’électricité. Les symptômes de l’électrosensibilité pouvaient perdurer jusqu’à 36 heures après l’arrêt de l’exposition. Pour obtenir des soulagements modérés de mes symptômes, je devais donc couper le disjoncteur toutes les nuits. J’ai également blindé les câbles électriques et j’ai réduit drastiquement l’usage du téléphone portable et du wifi.
Les symptômes cognitifs étaient lourds, perte de mémoire, aphasie, apraxie, … Par exemple, je ne parvenais plus à me souvenir de mon digicode. La vie pratique de tous les jours devenait un calvaire. Sur Internet, j’ai trouvé des témoignages similaires. Ces témoignages parvenaient de personnes en errance médicale ; mais aucun témoignage ne faisait état de guérison.
Dès 2012, j’ai transformé ma petite agence en lieu d’étude de la médecine. J’ai visionné des centaines de conférences du Collège de France dont je notais le contenu sur des cahiers. Je rappelle que le Collège de France est la plus haute université française. J’ai donc ramassé quelques pépites. Par exemple, dans l’une des conférences perdue au milieu de milliers d’autres, il y est dit que l’exposition au froid multiplie les jeunes et nouvelles mitochondries. Des organelles de la cellule retrouvent donc une nouvelle jeunesse. Aussi anti-conventionnelles soient-elles, il existe donc des méthodes rapportées par le Collège de France qui interviennent sur le contenu des cellules. J’y ai également découvert que le régime avec sucre entravait la transcription de l’ADN en molécules ; j’y ai également découvert que le régime cétogène réactivait la transcription de l’ADN en molécules. Le Collège de France propose donc des ponts entre médecines naturelles et santé. Ces découvertes me confortaient dans une démarche anti-conventionnelle.
Jusque-là, j’ignorais la cause de mes troubles. En 2014, une amie revient de chez le dentiste ; elle clame haut et fort devant moi que mes symptômes correspondent à une intoxication au mercure qui parvient des amalgames dentaires. Elle me dit qu’il faut acheter un livre de Françoise CAMBAYRAC. Je lis le livre. Les témoignages ressemblent au mien. Ce livre accuse les amalgames dentaires d’empoisonner à petit feu. J’ai porté de nombreux amalgames pendant quinze ans. Le mercure aurait migré dans la racine de la dent. Ensuite, il aurait diffusé au compte-goutte vers le cerveau. Ce livre propose un traitement : le traitement des métaux dont les métaux lourds. Au détour d’une page, ce livre invite le lecteur à contacter l’éditeur afin qu’il renvoie une liste de médecins. Je contacte l’éditeur. Je reçois la liste de médecins. Je prends un rendez-vous. Au milieu de vingt autres patients, le médecin m’injecte par intraveineuse le remède des métaux lourds. Le coût est de 150 euros. Une heure et demie après, je prélève un échantillon d’urine. Sur demande du médecin, j’envoie l’échantillon chez un laboratoire situé en Allemagne. Une semaine après, je reçois un compte-rendu d’analyse dans lequel il apparait que mes taux de mercure, d’arsenic, de plomb et de cuivre sont inquiétants. De plus, selon le médecin, ma panoplie de symptômes correspond à ceux d’une intoxication aux métaux lourds. Le coût des analyses était de 100 euros environ.
Cependant, après le premier traitement, je ne ressens aucune amélioration de mes symptômes. J’appelle le secrétariat de ce médecin. Il me dit que les améliorations apparaissent généralement après six mois de traitement et que les traitements sont appliqués une fois par mois. Le secrétariat ajoute que la durée de traitement est de deux ans en moyenne. Cependant, je pressens que la durée de mon cas particulier sera plus longue car mon état est bien plus inquiétant que les autres patients. Les autres patients se plaignent de troubles digestifs.
Six ans après le début de mon calvaire, je tiens enfin une piste sérieuse. Mon errance a donc été longue.
Fort de mes analyses biologiques, j’appelle le Centre antipoison. Le Centre antipoison m’informe immédiatement qu’il me rappellera et il raccroche. Il ne rappelle pas. Deux jours après, je rappelle le Centre antipoison. Il m’informe qu’il me rappellera et il raccroche. Il ne rappelle pas. Pour le moment, je laisse tomber car il me semble que je détiens la voie de la guérison avec le médecin du livre de Françoise CAMBAYRAC.
En 2019, j'ai présenté mes diagnostics au CRPPE qui sont en charge des intoxications chroniques. Ils m'ont dit que j'avais mangé du saumon la veille de mes diags pour les discréditer. Ensuite, ils m'ont foutu dehors. Puis j'ai reçu un compte-rendu dans lequel il n'était pas écrit que j'ai présenté des diagnostics positifs au mercure. Toutes les techniques pour évincer les intoxiqués sont bien rodées dans tous les centres de médecine.
Cependant, je vais rappeler le Centre antipoison tous les ans jusqu’en 2020. D’années en années, j’obtiendrais la même réponse de la part du Centre antipoison. En 2020, je menace le Centre antipoison de porter plainte et j’obtiens une consultation immédiatement. La consultation a lieu. Le médecin refuse de me traiter. Le Centre antipoison résiste à chaque rouage, je dois donc menacer à chaque appel. Pour se justifier, il me communique un article scientifique. Cet article est écrit conjointement par les Sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA). Cet article indique que le diagnostic doit absolument se cantonner à des analyses validées. C’est-à-dire à des prises de sang ou à des analyses d’urine sans que le traitement des métaux doive être appliqué. Comme mes analyses biologiques sont réalisées après un traitement des métaux, elles sont rejetées par les Centres antipoison car ces analyses ne sont pas validées. J’ai donc réalisé des analyses biologiques sans traitement validées, mais mes taux de mercure, de plomb et de cuivre sont largement en-dessous des valeurs en population générale. Je ne suis donc pas éligible à la prise en charge par les Centre antipoison.
L’article scientifique remis par le Centre antipoison ajoute que l’administration de chélateur augmente les taux de métaux chez tous. Cela indique que les diagnostics validés (sang, urine, sans traitement) ne sont absolument pas représentatifs de la charge corporelle. Des excès de métaux stockés dans le corps passent donc totalement inaperçus aux analyses biologiques validées. Or, les diagnostics validés sont exclusivement utilisés en population générale par les Agences de santé pour dresser des conclusions définitives sur la toxicité des médicaments (vaccins, amalgames, …) et pour l’état de santé des maladies chroniques (Alzheimer, cancers, …). Toutes les conclusions toxicologiques de la médecine occidentale sont donc basées sur des analyses biologiques qui nient la présence d’excès de métaux stockés dans le corps.
De plus, les Centres antipoison profèrent des menaces publiques envers les médecins hospitaliers qui pratiquent des traitements des métaux lourds. En 2015, un reportage télévisé « Alerte au mercure » diffusé sur France 5 rapporte qu’un médecin hospitalier à Orléans traite les intoxications aux métaux lourds avec des analyses biologiques après traitement. Suite à ce reportage, les Centres antipoison traitent les pratiques de ce médecin de « pseudoscience » dans un article publié sur leur revue scientifique. Suite à cet article, ce médecin orléanais, dont le nom est Marie-Christine BOUTRAIS, ferme son service hospitalier dans la précipitation. Il est donc impossible de se traiter conventionnellement sur le territoire français. De plus, en 2005, le Docteur Melet qui a ouvert l’Association « Non au mercure dentaire » se suicide suite aux poursuites de l’Ordre des médecins car, officiellement, les amalgames sont inoffensifs.
Je comprends que des diagnostics officiels totalement défaillants passent pour vérité absolue. Je comprends aussi que ma planche de salut est anti-conventionnelle.
En septembre 2016, je m’inscris au Forum Mélodie sur internet. Ce forum recueille le témoignage des personnes intoxiquées en errance. Ce forum possède 5000 inscrits. Mon pseudo est Sophocle. J’y consigne mes découvertes et mes actions au jour le jour. Je décide également de tester toutes les médecines conventionnelles et non-conventionnelles sur ma personne afin de tenter de diminuer rapidement mes maux de tête. Je tâtonne. J’y ajoute également des résumés de la littérature scientifique sur les médecines que je pratique. Voici la liste de ces médecines : jeûnes hydrique, jeûnes sec, sport, saunas, compléments alimentaires, marches rapides, lavements, purges yogiques, bains de bouche, cures Clark du foie, Pancha-karma (Ayurveda, ingestion d’huile végétale), huiles essentielles, capillotherapie, hydrotomie percutanée, protocole Cutler, crèmes déshydratantes, sauna, exposition au froid (douches froides, bains froids, marches en hiver), alimentation, ventouses et chélation, le tout à domicile. En dépit d’une application intensive de chacune de ces médecines, aucun progrès significatif n’était ressenti au niveau des maux de tête. Seuls les jeûnes secs et les ventouses sur la tête apporteront quelques améliorations sur mes maux de tête. Mais ces améliorations sont mineures par rapport à l’intensité de mes maux de tête. La résolution de mes problèmes parviendra avec la solubilisation des chélateurs.
Sur le forum Mélodie, j’ai consigné toutes mes actions et mes progrès. Au fil du temps, j’ai écrit environ 500.000 mots.
J’ai également acheté des chélateurs sur internet (DMSA, EDTA et ALA) chez des marchands de compléments alimentaires. Ces médicaments sont en vente libre en France. Ces médicaments se présentent sous forme de poudre en gélule. J’ai avalé ces gélules pendant deux mois à haute dose (protocole Cutler) mais aucune amélioration ne s’est faite ressentir.
Entre temps, je lis et relis le traité de toxicologie « CHELATION THERAPY ».
En 2019, j’ai extrait la poudre de ces gélules pour la mélanger à une solution aqueuse de bicarbonate de soude alimentaire. Dès le premier traitement, je ressens des améliorations significatives de mes maux de tête. Je force donc les doses. Je prends plusieurs dizaines de doses mensuelles en trois mois. A l’issue des trois mois, j’efface 80% des maux de tête permanents qui sévissaient depuis plus de dix ans. Ensuite, je mélange les chélateurs à de l’huile végétale. Je bois cette solution et je résorbe les derniers 20% de maux de tête. Toute mon électrosensibilité a également été effacée.
Juste après cette campagne intensive de chélateurs, je fais des diagnostics après traitement. Les résultats sont négatifs, c’est-à-dire qu’il n’apparait pas d’excès de mercure, ni d’arsenic, ni de plomb ni de cuivre dans mes analyses après traitement.
Au total, ce sont environ 100 doses mensuelles qui ont dû être administrées pour effacer mes symptômes chroniques. Mais des séquelles demeurent (fatigue générale, problèmes de concentration).
En 2020, je porte une première fois plainte. L’instruction du Procureur mène à un classement sans suite. J'apprendrai plus tard que le Procureur classe toutes les plaintes contre l'Etat. En 2021, je porte à nouveau plainte auprès du Juge. Au moment où j’écris ces lignes, la plainte est en cours d’instruction. Cependant, la Justice m'a déjà écrit que la remise en cause de la validité de la prise en charge médicale actuelle des patients atteints d'une intoxication aux métaux lourds ne relève pas de la compétence d'un magistrat instructeur. (Suite 2024 : j'ai été reçu deux fois longuement par les juges. Cependant, dès qu'ils ont compris qu'il s'agissait d'un problème de santé publique, le juge a classé ma plainte sans suite).
En 2023, je réalise de nouvelles analyses biologiques après traitement. Du mercure ressort en grande quantité. Cela parvient du phénomène de rebond des os. Ce mercure était caché dans des tissus non accessibles aux chélateurs lors de ma grande campagne de traitement. Depuis, ce mercure a migré vers des compartiments accessibles aux chélateurs. Cela fait donc neuf années que j’excrète du mercure avec le traitement des métaux et je n’aurais reçu aucune aide médicale conventionnelle pour ôter ces métaux lourds.
JULIEN PERRIN2 TRAITEMENT DES METAUX LOURDS
2.1 MON PROTOCOLE Après 7 années de tâtonnements en détox, je dresse dans ce traité un récapitulatif à postériori des actions à mener pour traiter rapidement et efficacement une très forte intoxication chronique aux métaux lourds et particules organiques. Les incidents de traitement sont très rares mais ils sont minimisés par les médecins. Cependant, si les précautions préalables sont respectées, les risques sont minimisés. Je ne peux pas garantir qu'un traitement se déroule sans incident car je ne fais pas d'étude en population générale. J'ai lu dans un traité de toxicologie que les chélateurs sont sensibles à l'acidité. J'ai donc ajouté du bicarbonate de soude à la solution et j'ai écrit un paragraphe sur la prévention de l'acidose (ch 2.3.2). Je vous ai averti sur les risques du traitement. En cas d'incident, je ne pourrai rien faire pour vous. Ce traitement est à vos risques et périls. En dix ans de recherches, je ne suis tombé que sur deux témoignages d'incident lourd après chélation. L'association allemande de toxicologie KMT annonce que son traitement est sans incident (
https://www.metallausleitung.de/ FAQ n°2). Pour être précis, elle annonce que les incidents avec traitement sont égaux aux incidents avec placébo. Un traitement bien mené demande de la rigueur sur le pH du corps. J'ajoute qu'il convient, en cas d'amalgames passés ou présent, de déstocker préalablement le mercure de la zone buccale par des bains salins de bouche.
En généralité, il convient également de résorber l'exposition aux particules oxydantes de façon drastique (ex: changement d'alimentation si le poisson consommé est contaminé au mercure, ...).
Je précise que les posologies que je propose ici sont volontairement peu intenses à modérément intenses. Elles respectent les dosages mensuels pratiqués en milieu médical. S'il le désirait, l'intoxiqué peut encore fractionner la présente proposition de posologie. Cependant, il est également possible de les augmenter. Dans ce cas, il convient d'écouter son corps et de suspendre le traitement dès qu'une fatigue apparait.
Le secret de mon protocole général tient dans la pré-solubilisation des principes actifs (solution aqueuse au bon pH et huile végétale). C'est cette solubilisation qui permet d'imbiber directement en profondeur les organes avec les chélateurs. Elle permet également de pré-activer les principes actifs juste avant l’administration de façon à ce que leur efficacité soit tout de suite très élevée dans le sang. Cela permet d'obtenir une désintoxication beaucoup plus efficace, beaucoup plus large et beaucoup plus rapide que des intraveineuses ou que des gélules à avaler. J'ajoute que ces modes d'administration sont ceux de l'Herboristerie et de l'Ayurvéda (Pancha-karma).
Dans ce traité, j’évoque également les techniques des médecines traditionnelles. Ces techniques permettent de traiter l’ensemble des catégories des particules oxydantes. Il existe deux types de matière, inorganique (ex: ml) et organique (ex: pesticides). Des techniques différentes doivent donc être appliquées. Les chélateurs enlèveront tous les cations (ml). Les médecines traditionnelles enlèveront tous les composés organiques (PCB, pesticides, …). En cas d'intoxication au PCB, il faudra appliquer les médecines traditionnelles. Les médecines traditionnelles ne font pas de distinctions, tous les PCB et autres substances organiques seront extraites. Les seuls poisons que je ne sais pas enlever, c'est les anions (Soufre, ….). A ma connaissance, il n'existe pas de traitement contre les excès d'anions.
J'ai lu beaucoup de littérature scientifique. Je ne suis tombé que sur deux causes d'incident de traitement des ml, cardiaque et rénal. Mais les pratiques médicales ne tiennent pas compte des précautions à prendre pour éviter les incidents. J'ai donc établi un protocole qui tient compte des précautions à prendre.
AVERTISSEMENT
-Il est préférable de commencer une campagne de chélation avec un médecin afin de lever toutes les contre-indications (allergies aux métaux, bilans rénaux, …). En dépit de ces bilans, des patients se plaignent de désagréments lors du traitement.
Consultez toujours un médecin, si vous n'êtes pas satisfait, transmettez lui mon traité et mon plaidoyer. Les médecins qui traitent les métaux lourds travaillent dans la clandestinité. Leurs noms ne circulent pas sur internet. Un éditeur d'un livre sur les intoxications envoie une liste de médecins sur demande. Sinon, il faut aller sur les forums et demander. Vous aurez peut-être une réponse par message privé.
-Le patient devra ajuster la concentration, la fréquence, la durée et les pauses de toutes mes posologies selon ses ressentis. N'hésitez pas à augmenter ou à baisser les tendances. Par précaution, j'exprime une faible intensité dans ce traité afin de m'éviter tout problème avec le lecteur. Mais les posologies que j'ai pratiquées personnellement sont 2,5,10,50 fois plus intenses. Cependant, ces posologies ont parfois créé des incidents car j'étais très intoxiqué au mercure. Par chance, je m'en suis toujours sorti d'affaire. Dans ce traité, je donne toutes les solutions que je connais.
J'ai lu que les scientifiques ne savent pas établir si une combinaison de polluants à petite dose peuvent être problématique ou pas. Par exemple, un petit excès de mercure et un petit excès de pesticide pourraient perturber fortement la cellule au microscope. Or, sur les analyses, il n'y a que des petites valeurs non inquiétantes. Dans le doute, il faut donc appliquer toutes les médecines de chaque catégorie de polluant. Cela ne résolvera peut-être pas les symptômes qu'on cherche à éliminer, mais cela protègera de maladies à retardement.
- MINI TRAITE SCIENTIFIQUE DE DESINTOXATION
Le traitement des métaux est très complexe, voici un mini-traité scientifique qui brosse l'ensemble des problèmes :
https://www.researchgate.net/publicatio ... toxicationTraduction en Français :
https://www.forum-depression.com/downlo ... p?id=11821La redistribution des métaux est problématique. Cependant, je prétends que le Bicarbonate de soude à forte dose réduit significativement ce problème. Je ne propose que 3 grammes dans mon traité, mais des études pourront établir si ce sont 6g ou autre qui sont préférables. Il me semble qu'autour de13g par litre, la concentration sera trop forte et que la solution ne pénétrera pas dans la cellule.
2.1.1 TRAITEMENT DES METAUX LOURDS DE L'EXTRA-CELLULAIRE (INORGANIQUE) :Une "Chélasso" hebdomadaire :
-pour un maximum de protection, boire 1/2 heure avant le traitement un grand verre avec trois grammes de bicarbonate de soude mixés, cela protégera les tubules des reins de la précipitation des métaux lourds.
Toujours vider la vessie juste avant de prendre le traitement, y compris lorsqu'il n'y a pas d'analyse. L'urine est peut-être acide, il faut donc l'évacuer avant le traitement.
- dans un grand verre d'eau (1/2 litre ou 1 litre), verser :
• 0,1g de principe actif en poudre de DMSA (environ le contenu d'une gélule)
• 0,25g de principe actif en poudre d'EDTA (environ le contenu d'une gélule)
• environ 3g en poudre de bicarbonate de soude alimentaire (B.C.S.) (ça s’achète en supermarché).
• option : ajouter le jus filtré d'une demi-gousse d'ail fraichement hachée pour traiter les micro-organismes (cela permet de libérer les métaux lourds fichés dans les micro-organismes).
• Mixer avec instance avec un mousseur à lait et boire à jeun en début de matinée
Sans DMSA (soufré), vous passerez à coté du mercure et de nombreux autres métaux.
Sans Edta (azoté), vous passerez à coté du plomb et de nombreux autres métaux.
En cas de réactions passagères, il faut baisser la dose quitte à en prendre tous les jours. Cela n'est pas commode car il faudra s'acheter une balance de précision. Cela se trouve chez un fameux magasin de la cosmétique à faire à la maison.
En cas de réactions chroniques, cela est une mauvaise nouvelle. Il faut absolument arrêter le traitement et lire le reste de ce traité (pH, lavement des muqueuses, ayurveda, ...). Il faudra appliquer toutes les techniques de santé recommandées. Je recommande avec insistance les bains froids car ils rétablissent la tension dans chaque organe. Puis, éventuellement tenter recommencer une campagne de chélation.
Les médecins injectent une forte dose fortement concentrée, cela crée de rares incidents mais violents.
Ici, je propose de faibles doses faiblement concentrée, l'incident est donc ralenti, vous n'avez qu'à suspendre le traitement en cas de fatigue.
La médecine est prisonnière du fil industriel, la forte concentration permet de conditionner le principe actif dans une petite ampoule. Cela est pratique pour le stockage et le transport. Cela semble réduire éventuellement le nombre d'intervention du médecin mais cela est contre-productif. Ce nombre est très élevé, les médecins ont donc forcé les doses.
Mais la contrepartie, c'est que le traitement en iv est très peu efficace et dangereux. Comme l'Intraveineuse (iv) est peu efficace, le médecin appliquera plusieurs dizaines d'iv à 150 euros chacune. De plus, il restera des excès de métaux car l'iv ne percole pas en profondeur. Avec mon protocole, je prétends que les chélateurs percolent en profondeur et que tous les excès seront éliminés.
J'ai repéré deux types d'incidents dans la littérature scientifique, accident cardiaque par décalcification et accident rénal par acidose. J'ai donc adapté le protocole pour prévenir au mieux ces deux types d'accidents.
Voici un post avec une série de propositions alternatives en cas de désagréments passagers :
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 60#p123145Alternative au BCS : le phosphate Na2HPO4, 3grammes, ça s'achète en pharmacie préparatoire. C'est un sel physiologique à ph9, sur moi ça s'est bien passé.
2.1.2 TRAITEMENT DES METAUX LOURDS DE L'INTRA-CELLULAIRE (ORGANIQUE) :Une "Chélalhuile" quotidienne :
-pour un maximum de protection, boire 1/2 heure avant le traitement un grand verre avec trois grammes de bicarbonate de soude mixés, cela protégera les tubules des reins de la précipitation des ml.
Toujours vider la vessie juste avant de prendre le traitement, y compris lorsqu'il n'y a pas d'analyse.
- Dans une bouteille de 25 cl d'huile végétale (ex : noix, sésame, ...), ajouter et secouer :
• 2g en poudre de principe actif d'ALA
• 1g en poudre de principe actif d'EDTA
(il est hautement préférable de ne pas diminuer cette dose de chélateur dans l'huile sous peine d'incident intestinal. L'huile déplacera peut-être les métaux lourds organiques, ces métaux se fixeront dans les intestins)
Acheter une bouteille transparente car il faudra secouer jusqu'à ce que les chélateurs soient dispersés. En effet, au repos, les chélateurs ont tendance à s'accumuler dans le fond de la bouteille.
• Option : Ajouter quelques gouttes d'huiles essentielles anti-micro-organismes (faire tourner les he de bouteilles en bouteilles)
• secouer la bouteille avant usage et prélever +/- 1cl à boire à jeun en début de matinée (c'est sur cette dose que l'intoxiqué pourra faire varier la posologie à la baisse ou à la hausse).
- Nota : La Chélalhuile permet des traiter les métaux lourds organiques (CH3-ml) qui sont présents dans la cellule.
Sans ALA (soufré), vous passerez à coté du mercure et de nombreux autres métaux,
sans Edta (azoté), vous passerez à coté su plomb et de nombreux autres métaux.
Le Dmsa n'est pas lipophile, il ne se mélange donc pas à l'huile et il ne rentre pas dans la cellule.
Comme les chélateurs sont mixés à des liquides (eau, huile), ils vont pénétrer le cerveau aussi profondément que du vin.
Les métaux lourds peuvent pénétrer dans les bactéries sans les endommager. Sous l'effet des ondes, les métaux lourds s'échauffent. C'est une source d'énergie que les bactéries utilisent pour se reproduire. Il est difficile d'accéder aux métaux lourds dans les bactéries car la membrane bactérienne est une barrière. Il est donc difficile pour les chélateurs de pénétrer dans les bactéries. Pour éliminer le mercure, il faut tuer les bactéries.
Je recommande donc de prendre des produits antimicrobiens en même temps que des agents chélateurs, car ces derniers réduisent considérablement les effets nocifs des métaux lourds dès qu'ils se trouvent dans l'organisme.
2.1.3 EXEMPLE D'APPLICATION• lundi : chélalhuile - 1 cl
• mardi : chélalhuile - 1 cl
• mercredi : chélalhuile - 1 cl
• jeudi : chélalhuile - 1 cl
• vendredi : chélalhuile - 1 cl
• samedi : chélalhuile - 1 cl
• dimanche : chélasso
J'ai d'abord appliqué les chélassos sans appliquer les chélalhuiles. Une fois que les chélassos sont arrivé à un plancher de symptômes, je suis passé aux chélalhuiles seules.
Les chélassos ont réduit 85% de mes symptômes. Et les Chélalhuiles ont réduit 15% de mes symptômes. J'estime donc que j'avais 85% de métaux inorganiques et 15% de métaux organiques.
Je ne sais pas si cette répartition est valable chez tous. Mais il semble possible d'arrêter les chélalhuiles et de continuer uniquement avec les chélassos. J'invite l'intoxiqué à séparer les prises (ex, uniquement chélassos pendant un mois) pour voir si cette technique est plus efficace que l'autre.
2.1.4 DUREE D'APPLICATION• A répéter tant que les symptômes baissent
• A répéter tant que des excès de métaux, y compris non toxiques, apparaissent aux analyses après traitement
• Cela peut durer pendant de nombreux mois.
• A répéter annuellement après la première campagne pour traiter le rebond des os
• La moyenne des traitements en milieu médical s'étend à deux ans mais, selon le cas, cela peut-être plus court ou plus long. Comme mon protocole est très efficace, la moyenne du temps de traitement devrait baisser.
2.2 ANALYSES BIOLOGIQUES
2.2.1 LABORATOIRESLes laboratoires suivants proposent des analyses biologiques à 100 euros environ pour 30 métaux. Les laboratoires français proposent des analyses métal par métal entre 10 et 50 euros l’unité. Le prix de 30 métaux dans un laboratoire français s'élève donc à 1500 euros environ. Les laboratoires allemands sont donc bien plus économiques et pertinents.
Laboratoires allemands :
• Microtrace Minérals (Allemagne et Etats-Unis)
• Medizinsches Labor Bremen.
Nota : Ces laboratoires ne sont pas listés sur la fiche BIOTOX de l’INRS. Ils ne sont donc pas reconnus par la Justice française mais ils proposent des prestations (analyses multi-métaux) que les laboratoires français n’offrent pas. Les laboratoires validés sont soumis à des normes drastiques, suivi de l'étalonnage des machines, nettoyage de la verrerie, transport dans le froid, ... C'est de la haute précision, donc les perturbations sont pourchassées. Les machines analysent tous les métaux d'un coup, les analyses métal par métal est donc une disposition commerciale. De plus, elles entretiennent le flou en population générale car la totalité des excès n'apparait jamais.
Ces laboratoires sont préférables pour la première analyse car 30 métaux sont analysés. Pour les analyses suivantes, il est possible de sélectionner les quelques métaux qui sont en excès et de les faire analyser dans votre laboratoire. La captation individuelle des métaux est un peu aléatoire, il est donc préférable d'analyser tous les métaux en excès car un métal peut baisser d'une analyse à l'autre et un autre métal peut augmenter d'une analyse à l'autre. Le total des excès est donc une information qui corrige la fluctuation individuelle des métaux.
2.2.2 PROTOCOLE POST-CHELATIONPratiquer cette analyse en hiver car le froid va conserver l'urine pendant le trajet par la poste. La température de conservation en vigueur dans les laboratoires est de 3 degrés Celsius.
Commander un kit auprès du laboratoire, cela est gratuit.
Les doses suivantes sont à un quart des doses standards. De plus, j'ai ajouté une chélahluile par rapport aux pratiques médicales. Les doses standards posent problème car elles sont élevées. J'ai moi-même de forts désagréments pendant plusieurs heures (mal être). Cependant, avec les doses que je recommande, 4 fois moins de métaux sortiront. L'intoxication paraîtra donc 4 fois moins intense. Mais avec la solubilisation, beaucoup plus de métaux sortiront. Le problème, c'est que si on change le protocole d'une analyse à l'autre (chélateur, dosage, concentration, temps de recueil), on ne peut plus comparer une analyse à l'autre car les paramètres auront changé. Cependant, il est préférable de prendre de petites doses. Il faudra que les Agences de santé établissent des références sur les petites doses que je recommande.
Pratiquer un traitement un lundi matin (éviter les semaines avec jour férié car il faut que l'échantillon arrive rapidement au laboratoire pour conserver la créatinine. Mais les laboratoires corrigent ce problème) :
• Vider la vessie
• prendre une chélasso avec ou 0,125g DMSA et 0,25g EDTA
• Prendre chélalhuile avec 0,25g ALA et 0,25g EDTA
• 1h30 après le traitement, prélever un échantillon d'urine
• Payer le laboratoire et envoyer l'échantillon par la poste avec son bon de commande.
Selon les études, le pic de métaux se trouve 1h30 après la prise du traitement.
Il faut également être consciencieux sur la verrerie (nettoyage à l'eau distillée) et l'eau qui sert à diluer car des traces de polluants (plomb,...) corrompront les analyses en présentant des faux positifs.
Selon les territoires et l'état de la tuyauterie, il est préférable de ne pas prendre de l'eau du robinet.
Il est préférable de passer par de l'eau distillée (sans aucun minéral) mais les eaux minérales peuvent éventuellement convenir. L'eau minérale la moins minéralisée, c'est la Mont Roucous. Ensuite, c'est la Volvic. Les autres eaux sont fortement minéralisées.
Il s'agit de la très haute précision.
Quant aux traitements sans analyses, il n'est pas nécessaire d'être aussi consciencieux.
Il y a un problème d'analyses avec les métaux organiques. En théorie, ces métaux devraient être éliminés par les intestins. Mais les analyses de selles sont difficiles car l'échantillon qui sera prélevé ne sera peut-être pas placé dans la zone de selles où les ml auront été évacués. De plus, le cycle de selles dure trois jours. Je ne sais donc pas dire s'il faut prélever l'échantillon le jour même, ou le lendemain, ou le surlendemain. Les analyses de selles me semblent donc très aléatoires. Je me suis donc débarrassé du problème en limitant les analyses à l'urine.
Le laboratoire de Bremen propose des analyses de métaux organiques. Cela est intéressant mais encore faut-il savoir quel échantillon prélever (urine ou selles).
2.2.3 FREQUENCEEn milieu médical, il convient de pratiquer une analyse biologique une à deux fois par an afin de décider de s’il faut continuer le traitement ou pas (car il coûte très cher). Pour ma part, une seule par an suffit car le protocole que je propose n'est pas cher du tout. Chaque analyse coute 100 euros. Il est donc préférable de gaspiller un peu de chélateur que de multiplier les analyses onéreuses.
2.2.4 INTERPRETATIONIl convient de pratiquer les chélations tant que les excès de métaux (y compris non toxiques) apparaissent aux analyses. Je rappelle que les excès de fer et de cuivre (trois fois la dose d’un cerveau sain) apparaissent aux autopsies des cerveaux des personnes qui ont porté la maladie d'Alzheimer.
En théorie, il convient également de comparer les analyses post-chélation à des analyses pré-chélation. Pour se lancer dans une chélation, il convient que les analyses pré-traitement soient négatives. Mais, dans la pratique, cela ne se fait pas. Il peut arriver que des ouvriers qui travaillent dans des usines de recyclage de plomb présentent des taux pré-chélation très très élevés. Dans ce cas, il convient de faire cesser l'exposition au plomb car l'interprétation des analyses post-chélation serait totalement faussée.
Les laboratoires proposent des références. Je ne sais pas d'où viennent ces références. Est-ce après traitement ou sans traitement ? Selon moi, les stocks de métaux ne doivent pas exister dans le corps. Il est donc sain d'éliminer les métaux jusqu'à ce que le taux revienne dans la norme sans traitement. Pour traiter, les toxicologues veulent des références en population générale saine. On prend certes quelque un de sain pour faire la référence, mais rien ne dit qu'il ne tombera pas malade 5 ans après suite à 10 ans d'exposition aux excès de métaux. De plus, des maladies apparaissent après que les stocks de métaux soient éliminés. Selon moi, il est préférable que les taux après traitement redescende au taux sans traitement y compris chez des personnes qui sont sans symptômes.
Il est impossible de prédire le nombre de traitements qu'il faudra appliquer car les analyses ne donnent pas la profondeur de l'intoxication. Les analyses annoncent seulement s'il y a des excès. De mémoire, la moyenne du nombre de traitement chez un médecin est de 25, soit 2 ans.
2.2.5 AFFINITEIl existe une affinité des métaux avec les chélateurs. Le cuivre est un métal prioritaire. Il diminue donc l'excrétion des métaux toxiques. Une analyse multi-métaux permet donc de déceler des métaux qui en cachent d'autres.
2.3 INCIDENTS Les chélateurs font polémiques. Les incidents de traitements sont rares mais ils sont minimisés par les médecins et par les patients eux-mêmes.
Stéphane Tétart, nathuropathe, donne ses préconisations à un cycle de chélation :
https://www.youtube.com/watch?v=me_gq2hqvzo.
Les patients de Stéphane Tétart rapportent que les iv ont empiré leur état. Il faut savoir que la dose de l'iv est très élevée. Le problème vient peut-être de cette forte dose.
2.3.1 FORTES DOSES FORTEMENT CONCENTREESLa culture médicale pratique l'administration mensuelle d'une forte dose de chélateur fortement concentrée par intraveineuse, soit une dose mensuelle dans une seringue de 5ml. Cela est une hérésie médicale qui parvient de la pratique des situations aigües. Il convient de pratiquer quotidiennement de faibles doses faiblement concentrées (fortement diluées dans un demi-litre ou dans litre d’eau environ). Il est cependant possible de prendre de fortes doses mais il convient de les diluer fortement dans au moins un litre d'eau.
Dans mon plaidoyer, je demande à ce que des cachets effervescents soient inventés. Cela permettra de débarrasser de la manipulation de la poudre et du mousseur à lait.
Pour augmenter la sécurité, il convient donc de pratiquer des mini-doses fortement diluées quitte à ce que la prise soit quotidienne.
Lors de mes traitements en milieu médical, le médecin actionnait le piston de la seringue pour n'injecter qu'un millilitre (sur les 5ml) de la seringue toutes les 5 minutes. Une seringue de 5 ml était donc injectée en 20 minutes environ. Cela indique qu'il existait un protocole qui préconisait de réduire la dose administrée d'un coup. Je soupçonne donc que les fortes doses fortement concentrées se fixaient dans le cœur et le vidait de son calcium de façon à provoquer un accident cardiaque.
De mémoire, selon l'association allemande KMT de toxicologie, il y aurait 2 accidents sur 20.000 injections. Mais, selon KMT, cela est à démêler avec l'effet nocebo. KMT déclare donc qu'il n'y a pas d'incident de traitement. Mais, en cas de doute, il est préférable de prendre des petites doses et d'ajuster le bon pH.
Il me semble que le compromis le plus simple et le plus raisonnable est de pratiquer une posologie hebdomadaire. Mais, pour les personnes qui ont des réactions au traitement, il est encore possible de diminuer la dose. En cas de réaction, il me semble qu'il convient également de remonter l'hygiène de vie de façon à ce que le pH du corps soit proche de celui du pH de la solution alcaline. Ainsi, les réactions sont prévenues.
Je confirme que, sur moi, les fortes doses fortement concentrées en intraveineuse étaient beaucoup moins efficaces que cette même dose fortement diluée en oral. Il semble donc que les chélateurs très dilués soient bien plus efficaces pour pénétrer dans la profondeur des tissus. Je prétends que mon protocole est 20 à 100 fois plus sur et plus efficace que les iv pratiquées en milieu médical.
2.3.2 pHLes traitements provoquent des redéposes lors d'une acidose.
Question : Comment peut-on savoir que le corps est alcalin ?
Réponse : Il est absolument impossible de mesurer le pH du corps. Il ne faut surtout pas se fier aux bandelettes pH pour mesurer l'urine. Cela est une photographie non représentative de la totalité du corps ou de l'état du cerveau. Cela est une photographie du sang qui est majoritairement influencé par l'alimentation. Cependant il existe de nombreuses préconisations pour remonter le pH général et local. En devant végétarien, on voit le pH de l'urine remonter.
Le régime cétogène va désacidifier le corps car le sucre est un acide. En ôtant le sucre (pain, pâtes, …) de l'alimentation, le pH général du corps va mécaniquement remonter. De plus, les légumes vont renflouer le corps en minéraux essentiels que le traitement va tarir à vitesse grand V. Pour remonter le pH, il est également possible de pratiquer quelques bains froids (5 bains froids à 15° pendant 15 min) car cela va multiplier les capillaires de façon à renvoyer immédiatement les acidités vers la circuiterie générale. Les acidités du cerveau vont donc être éliminées avant même qu'elles ne puissent stagner dans une nappe perchée. Pour remonter le pH, il est également possible de prendre le traitement après la première urine du matin car les acidités migrent la nuit jusqu'à la vessie. Quotidiennement, l'ensemble du corps se retrouve donc le plus alcalin possible après la première urine du matin. Pour remonter le pH, il est également possible de mixer les chélateurs dans un grand volume (1/2l) d'eau alcaline (2 à 3 g de bicarbonate de soude à mixer) à boire. Ce volume d'eau va imbiber les régions du corps dans lequel circulera le chélateur. Cela va augmenter la sureté et l'efficacité du traitement. En buvant 1/2 litre d'eau à pH 8, on fait ensuite pipi à pH8. Cela indique que la lymphe est passée à pH8 pendant le temps du traitement. L'idéal est de ne pas manger le matin de façon à demeurer à jeun et de façon à permettre au chélateur de demeurer à pH8 lors du pic de chélateurs. Pour remonter le pH, on peut également pratiquer quotidiennement la marche la plus rapide possible (ou autre activité) pendant 3/4 d'heure. Cela va faire tourner le circuit lymphatique de façon à renvoyer les acidités vers l'extérieur.
Quand on est atteint d'une fatigue passagère, cela indique une éventuelle poche d'acidité. Il convient donc de suspendre le traitement tant qu'on n'est pas au mieux de sa forme. Il faut donc éviter les chélateurs quand on est atteint d'un rhume, d'une maladie passagère, ou d'une fatigue quelconque, ...
A pH acide, le traitement est inefficace et éventuellement dangereux. Il est dangereux car il peut relâcher les métaux lourds dans un organe parfois acide (reins, cerveau, os). Il est modérément efficace et modérément sûr à pH neutre. Et, il est très efficace et très sûr à pH alcalin car il attrape préférentiellement les métaux lourds. Il faut donc que tout le corps soit à pH alcalin pour que le traitement demeure totalement sûr. Il est également à noter que de faibles doses ne préviennent pas nécessairement d'un incident de redépose au ralenti. Dans un cerveau quotidiennement acide, les faibles doses au quotidien vont donc "gentiment" intoxiquer le cerveau petit-à-petit. En cas d'inquiétude, il faut passer la tête sous le jet d'eau froide de la douche du matin, cela va évacuer les acidités du cerveau.
Je ne dis pas qu'il faut pratiquer toutes ces préconisations, mais plus on en fait, plus le traitement sera sûr et très efficace. En généralité, je dirai que le pH alcalin est une affaire d'hygiène de vie. La solution alcaline à boire n'est pas à considérer comme une solution magique qui permet d'éviter la mise en place de l'hygiène de vie. Elle est plutôt une mesure de précaution supplémentaire qui permet de compenser une acidité imprévue. Autre exemple : les personnes âgées qui demeurent alitées au quotidien sont dans une situation acidifiante car les acidités produites au quotidien ne sont pas drainées vers les émonctoires. Il convient donc de se rabattre sur des solutions autres que l'activité physique : alimentation, thalasso dans l'eau froide, solution alcaline, ... Cependant, la solution alcaline me semble indispensable car elle permet de décupler l'efficacité du traitement.
La devise est la suivante : une solution alcaline (bicarbonate de soude) dans un corps alcalin.
Je rappelle que la majorité des patients ne pratique certes aucune de ces préconisations. Je rappelle également que les incidents sont rares mais minimisés par les médecins et par les patients eux-mêmes. Comme des personnes craignent tant les incidents, elles préfèrent donc renoncer aux chélateurs chimiques. Je dresse donc cette longue liste de préconisations pour qu'elles retrouvent une confiance dans les chélateurs chimiques. Et j'ajoute que les chélateurs naturels, s'ils étaient efficaces, répondent aux mêmes comportements ioniques que les chélateurs chimiques. S'ils étaient efficaces, les chélateurs naturels ne sont donc pas moins dangereux que les chélateurs chimiques. Les chélateurs naturels ne présentent qu'un seul groupe THIOL (R-SH). Les chélateurs chimiques présentent 2 groupes THIOL, ils sont donc plus puissants. Cependant, les chélateurs chimiques ne produisent pas de réactions chimiques dans le corps. Ils s'appellent chimiques car ils sont créés par la chimie. Les chélateurs chimiques sont majoritairement éliminés en 24h par les reins.
L'acidose (forte acidité d'un organe) est le risque le plus insidieux de la chélation. La dynamique est assez simple. La population de molécules actives chélatrices se charge peu-à-peu et abondamment en métaux lourds en circulant dans le corps ; ensuite, en traversant un organe parfois très acide (reins), toute a population de molécules actives relâche ses métaux lourds dans l'organe acide car ces molécules sont sensibles au pH. Le rein est donc détruit par les ml. En milieu alcalin, le chélateur se lie à des métaux lourds ; en milieu acide, il se lie avec l'Hydrogène et se délie du métal lourd avec lequel il était lié. Les fortes acidités créent donc un incident. Ils sont rares mais minimisés. Cependant, ce risque peut être prévenu, et, les incidents peuvent se guérir par les mêmes actions que la prévention. Le rein est l'organe le plus exposé car il recueille les acidités que produit tout le corps tout au long de la journée. Les acidités sont ensuite stockées dans la vessie. L'urine du matin est toujours très acide car les acidités migrent pendant le sommeil. Le pH du sang est finement contrôlé, il est rapidement rétabli aux alentours de 7.3, et le pH de l'urine du matin est d'environ 5.5. Cependant, il est possible de fixer provisoirement le pH du rein et de l'urine à pH8 en buvant une solution à pH8 après la première urine du matin. Cela s'obtient avec un sel physiologique abondamment présent dans le corps : le bicarbonate de soude. De plus, les molécules actives se dissolvent à pH8 et elles floculent à pH acide. Le pH8 permet donc de solubiliser les molécules actives de façon à ce qu'elles soient efficaces pour se lier aux métaux lourds. Cependant, par précaution, il est nécessaire que tout le corps soit alcalin. Il suffit d'un organe acide pour créer un incident. Tous les organes doivent donc être alcalins pour passer une campagne de chélation la plus sereine possible. Les bains froids permettront de prévenir au mieux ce problème d’acidité des organes.`
Chaque organe possède son pH, le bicarbonate de soude n'est certes donc pas la panacée mais il diminuera la redépose par rapport à un traitement sans bicarbonate de soude.
2.3.3 BAINS FROIDSJ'ajoute que les bains froids vont également multiplier les mitochondries. Cela va mécaniquement provoquer une combustion complète des chaines carbonées. Ainsi, le corps ne sera pas chargé des nombreux morceaux d'acides issus d'une combustion incomplète. De plus, cela va aplanir le chemin vers la rémission des cancers car le cancer nait, entre-autre, d'un défaut des mitochondries.
De plus, cela devrait également aplanir le chemin vers la rémission de Parkinson car, selon le Collège de France, les mitochondries deviennent trop grandes avec le temps et elles ne peuvent plus entrer dans les compartiments des synapses des neurones. Les Bains froids créent donc de petites mitochondries fraiches qui peuvent justement se rendre dans les synapses ; cela permet donc d'aplanir le chemin vers l'arrêt de la progression de la maladie. Et, comme les bains froids activent le sang et la neurogenèse, les bains froids sont donc éligibles pour retaper un cerveau qui a dégénéré.
Les bains froids vont également activer fortement les capillaires. Les acidités sont donc recyclées en masse vers les émonctoires de façon à désacidifier le corps.
Des professionnels des bains froids appliquent des bains très froids (4°C). Mais le temps du traitement est court (4 minutes me semble-t-il). Je préconise des bains à 10-12 °C comme les Romains pour y rester 10 à 12 minutes. A 4 ou 12 °C, la réaction du corps sera la même. Cependant, à 12° les bénéfices seront très profonds car la durée d'application sera plus longue. La règle, c'est une minute par degré.
2.3.4 DMPSSelon sa courbe de pH, le DMPS serait stable en milieu acide. Cela préviendrait les redépose, et donc, les incidents. Cela donne également éventuellement la raison de son prix exorbitant. Cependant, je ne sais pas dire s'il est efficace pour se lier à des ml en milieu acide.
De plus, pour une chélation à large spectre, il convient de combiner le DMPS à un chélateur azoté (qui est nécessairement instable en milieu acide), ex DTPA ou EDTA.
En l'état de mon savoir, l'exigence de précaution par l'alcalinisation du corps demeure donc en dépit de l'avantage du DMPS.
2.3.5 GENERALITESComme le sucre est un acide (pain, pâtes, céréales, féculents, ...), l'éviction du sucre de l'alimentation est donc un levier majeur pour éliminer l'acidose.
Comme les bains froids multiplient les capillaires de façon significative, les bains froids préviennent des incidents car les acidités ne peuvent donc pas demeurer stockées durablement dans les organes.
Comme les bains froids multiplient également les jeunes et fraiches mitochondries, les bains froids préviennent également des incidents de chélation car la combustion des chaines carbonées sera donc complète de façon à éviter les acidités liées aux combustions incomplètes.
Comme elle fait circuler la lymphe, la marche à pied participe à la prévention des incidents car les acidités ne peuvent pas s'accumuler dans le corps. Pour les personnes à mobilité réduite, les bains froids sont une alternative beaucoup plus efficace que la marche à pied.
5 bains froids à 15° pendant 15' rehaussent significativement les mitochondries et les capillaires de l'ensemble du corps pendant un an. Ces bains froids conforteront donc significativement la prévention des incidents.
De plus, lors de la douche quotidienne, il est aisé de passer juste la tête sous la douche froide. Cela confortera également une physiologie qui participera à la sécurité et à l'efficacité du traitement au niveau du cerveau.
2.3.6 MALADIELes épisodes de maladie (rhume, infection, gueule de bois, ...) sont également risqués car ils présentent des fortes acidités. Il faut donc suspendre le traitement chélateur tant qu'on n'est pas au mieux de sa forme. Il convient également de régler tous les petits maux (constipation, ...) avant de prendre le traitement chélateur.
2.3.7 DEMINERALISATIONLe traitement des métaux lourds force l'excrétion de tous les métaux (calcium, zinc, fer, cadmium, …). Il convient donc de reminéraliser le corps. Cela se fait par un régime riche en légume frais. Une complémentation en multi-minéraux peut également être envisagée. Des troubles digestifs peuvent survenir suite à une reminéralisation intensive (notamment en fer).
Je recommande de dissoudre les cachets et poudres dans un grand verre d'eau, puis de boire à jeun. Cela garantit que les minéraux vont percoler jusqu'au plus profond du cerveau.
Il est rapporté qu'il faut reminéraliser en zinc.
2.4 CONTRE INDICATIONS
2.4.1 SELON LES MEDECINSSelon l'association allemande de toxicologie KMT, site : metallausleitung.de : valeurs rénales élevées (créatinine >1,6), infections aiguës (traitement par antibiotiques), insuffisance cardiaque décompensée (non traitée), grossesse, démence.
2.4.2 SELON MOILes fortes doses fortement concentrées sont à éviter. Seule l'acidose me semble être la seule contre-indication. Ce cas se pose particulièrement avec les personnes alitées et avec les personnes très âgées. Les bains froids et autre préconisation anti-acidité peuvent être un déverrouillage.
La grossesse peut peut-être provoquer des acidités. Quant à la démence, je ne comprends pas pourquoi elle est une contre-indication.
2.5 SCHEMA DU COLLEGE DE FRANCE• Il n'existe pas de symptôme spécifique d'une intoxication aux Pollutions.
• Cancer
• Alzheimer
• Parkinson
• Athérosclérose
• Fatigue chronique
• Fibromyalgie
• Sclérose en plaque
• Allergies
• Autisme
• Troubles neurologiques (mémoire, psy, …)
• Electrosensibilité
• Troubles digestifs
• Problèmes de peau
• …
A ce jour, aucun de ces symptômes ne fait l’objet d’un traitement des stress environnementaux et métaboliques par la médecine conventionnelle. Or, selon le Collège de France, ce sont ces causes qui contribuent à ces symptômes.
2.5.1 STRESS ENVIRONNEMENTALCe schéma du Collège de France indique que les pollutions (ex : pesticides) et les nanoparticules (Nps, métaux lourds en nuage) participent aux maladies chroniques et dégénératives (Cancers, Alzheimer, …). Même si les pollutions ne sont pas la cause principale des maladies, il est sain de les éliminer, y compris chez les personnes qui sont sans symptômes.
2.5.2 STRESS METABOLIQUECe schéma du Collège de France indique que le stress métabolique participe aux maladies chroniques et dégénératives (Cancers, Alzheimer, …).
Le métabolisme est la combinaison du noyau et de la mitochondrie dans la cellule. Or, l’Adn du noyau est traduit en protéines avec un régime cétogène et la mitochondrie est générée par l’exposition au froid. Les mitochondries vielles et oxydantes sont éliminées par le jeûne.
Les infections sont également une cause des maladies liées au Stress oxydant. Il existe dons des solutions pour chacune des causes listées par le Collège de France.
2.5.3 SYNTHESELe traitement des stress environnementaux et métaboliques est donc utile pour traiter les maladies chroniques. De plus, les témoignages de rémission du cancer par des régimes alimentaires ou par des jeûnes ne sont donc pas farfelus.
2.6 AMALGAMES DENTAIRESLes amalgames dentaires font polémique. Ils sont accusés de provoquer des intoxications au mercure. Les médecins qui traitent les métaux lourds par la chélation recommandent de faire enlever les amalgames dentaires (avant même le traitement). Selon moi, il n'y a pas d'urgence à enlever les amalgames avant chélation. Il est mille fois préférable de réaliser des bains salins de bouche car le mercure est déjà en nuage dans les muqueuses. Les protocoles sécurisés de dépose des amalgames sont dressés dans le livre de Françoise CAMBAYRAC : " La vérité sur les maladies émergentes".
Une étude scientifique compare les taux avant et après chélation chez 2000 personnes porteuses d’amalgames dentaires. Les résultats avant traitement ne sont pas inquiétants et les résultats après traitement sont inquiétants. De plus des pays (Norvège, Suède, Danemark) ont décidé d’interdire les amalgames dentaires à cause de leur toxicité.
Cependant, le mercure qui a déjà migré dans la mâchoire peut être enlevé par des bains de bouche au sel de cuisine (solution hyper-tonique).
• Dans une bouteille d'eau d'un litre, ajouter 100g à 200 g de sel de cuisine (NaCl)
• Secouer jusqu'à dissolution totale du sel
• Tous les jours pendant un mois, prélever une dose à garder dans la bouche
• Faire tourner la solution dans la bouche pendant 10 minutes, Gargariser
• Recracher (surtout ne pas avaler), rincer à l'eau claire.
• Cela peut se faire pendant la douche ou le bain
Cout : 1 centime d'euro pour toute la bouteille.
Après dix minutes de traitement, le volume d'eau recraché devrait être supérieur au volume d'eau inséré dans la bouche. Ce phénomène parvient de l'osmose. Au contact d'une solution fortement salée, la cellule va se vider son eau et de son mercure. Des analyses sont envisageables. En France, ces analyses sont interdites car le prélèvement doit se faire selon un protocole certifié en laboratoire. Mais en Allemagne, les laboratoires prennent tous les échantillons qu'on leur envoi.
En cas de réaction, il convient de baisser la concentration en ajoutant un peu d'eau.
A 200g/l, la très fine peau de ma muqueuse a été brulée. Elle pelait lorsque je mangeais des légumes très chauds. Ca s'est résolu en 10 jours. Je ne sais pas dire si c'est le sel ou le mercure qui été évacué qui ont brulé la fine peau, ou les 2. En cas de problème, il suffit de baisser la posologie et de rallonger la durée.
2.7 CHELATEURS
2.7.1 GENERALITESIl existe trois types de métaux : des durs (Li+, Na+, K+, Be2+, Mg2+, Ca2+, Sr2+, Mn2+, Al3+, Ga3+, Cr3+, Fe3+, Sn4+, (CH3) 2Sn2+, UO22+, VO2+), des mous (Cu+, Ag+, Au+, Hg+, Pd2+, Cd2+, Pt2+, Hg2+, CH3Hg+, Pt4+) et des intermédiaires (Co2+, Ni2+, Cu2+, Zn2+, Pb2+, Sn2+, Sb3+, Bi3+).
Il existe donc deux types de chélateurs, des azotés et de soufrés qui s'associent selon le type de métal. Une chélation complète associe donc les deux types de chélateurs.
Il existe également deux types de matière, hydrophile (eau) et lipophile (huile). Une chélation complète travaille donc sur les deux types de matière avec les deux types de chélateurs. Ces deux types de matière ne se mélangent pas mais il existe des ponts entre ces deux matières. Il convient donc d’administrer les chélateurs dilués dans de l’eau puis dans de l’huile végétale.
2.7.2 MARCHANDSIl est possible d'acheter les chélateurs chez des vendeurs de compléments alimentaires. Ils sont souvent disponibles en poudre dans des gélules. Il conviendra de transformer cette poudre dans une solution afin de rendre le principe actif efficace.
• supersmart.com (Edta, Dmsa, Ala)
• myprotein.com (Ala)
Il faut vérifier que les produits ont fait l'objet d'un contrôle post-production de façon à vérifier qu'il n'existe aucune trace de polluant (mercure, plomb, arsenic, ...) sinon les analyses seraient faussées et présenteraient des taux positifs.
2.7.3 DMPSAcide 2,3-dimercapto-1-propanesulfonique. Soufré. Ce chélateur n'est pas disponible en vente libre car il ne dispose pas d'autorisation de mise sur le marché. Il était vendu en vente libre en pharmacie en Allemagne. Il coute très cher. Son point fort, c'est qu'il ne provoquerait pas de redépose en cas d'acidose. Ce chélateur est utilisé en milieu médical et il est référencé dans la littérature scientifique.
2.7.4 DMSAAcide meso-2,3-dimercaptosuccinic. Soufré, hydrophile exclusivement. Ce chélateur est utilisé en milieu médical et il est référencé dans la littérature scientifique.
Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPIE, les médecins ne se plaignent pas du DMPS et du DMSA. Ces derniers ont supplanté le BAL (British antilewiste) qui était toxique.
2.7.5 EDTAEthylène diamine tétra-acétique. Azoté, hydrophile et lipophile. Ce chélateur est utilisé en milieu médical et il est référencé dans la littérature scientifique. Ce chélateur est extrêmement peu cher.
Il convient d’acheter du « Calcium disodique EDTA ». Cela n’est pas nécessairement écrit sur l’étiquette de la boite, il faut donc contacter le fournisseur. L’EDTA pur est accusé de décalcifier le cœur car des accidents cardiaques auraient eu lieu lors d’intraveineuse. Pour pallier au problème, les fournisseurs ont donc rajouté du calcium. A faible dose fortement diluée, ce problème disparait complètement. Il convient de suspendre le traitement tant que des fatigues sont ressenties.
2.7.6 ALAAcide alpha-lipoïque. Soufré, hydrophile et lipophile. Ce chélateur est disponible en vente libre. Ce chélateur n'est pas référencé dans la littérature scientifique mais il est réputé efficace.
2.7.7 DTPADiethylenetriamene pentaacetate. Azoté. Ce chélateur n'est pas disponible en vente libre. Ce chélateur est utilisé en milieu médical et il est référencé dans la littérature scientifique.
- Il existe toute une gamme de chélateurs. Après une première analyse, les toxicologues se rabattent sur tel ou tel chélateur pour améliorer l'efficacité du traitement selon l'éventail de métaux en excès. Mais à la maison, il suffira d'appliquer un peu plus longtemps les chélateurs que je propose.
2.7.8 CHELATEURS NATURELSLes chélateurs naturels n'ont eu absolument aucun effet sur moi. Il n'existe pas d'étude qui rapporte que ces chélateurs augmentent l'excrétion des métaux lourds. Cependant, même s'ils étaient efficaces, les risques seraient les mêmes que les chélateurs chimiques car ils sont soumis aux mêmes effets chimiques et physiques. Par contre, je dénonce tous les cachets et gélules car c'est inefficace pour que ça percole dans le corps. Il faut transformer le produit en solution.
On peut s'injecter de la zéolite sous la peau, cela serait très efficace. Mais je n'en vois pas l'intérêt car mon protocole est cent fois plus efficace et car il faut se trouer la peau soi-même.
2.7.9 DISSOLUTION GRACE AU BICARBONATE DE SOUDEJ'ai fait une vidéo avec la solubilisation de l'Ala à pH3 (vinaigre) et pH8 (phosphate) :
https://www.youtube.com/watch?v=OSwH3bLPtUM de 07:40 à 08:40.
On y voit que l'Ala fait des grumeaux à pH3 et qu'il est translucide à pH8.
Le bicarbonate de soude et le phosphate ont le même pH (pH8).
J'ai donc opté pour le bicarbonate de soude alimentaire car ça se trouve en supermarché ou internet.
A jeun, l'estomac est vide, les liquides le traversent directement, puis ils sont immédiatement imbibés dans le sang.
Si l'on prend une gélule, on active l'estomac à pH2, l'intestin à pH4, il n'y a donc aucune chance que les chélateurs en gélule soient dissous dans le sang.
2.8 MODES D'ADMINISTRATION
2.8.1 INTRAVEINEUSEElles ont été peu efficaces sur moi. Cependant, lors des analyses, elles ont été suffisantes pour révéler un fort excès de métaux. Ce mode d'administration nécessite de payer un médecin et de se faire trouer la peau. De plus, le médecin ne donne pas la préconisation contre l'acidose. De plus, les médecins ne traitent pas l'intra-cellulaire organique. Les chélations sont donc très chères et très peu efficaces. Cependant, le médecin peut prescrire un bilan de sensibilité aux métaux et il garantit la non pollution des analyses.
2.8.2 SOLUBILISE PAR ORALSolubilisé dans une solution (eau et huile), ce mode d'administration a été très efficace sur moi. Ce mode se pratique à jeun le matin.
2.8.3 GELULE OU POUDRE PAR ORALLes gélules de DMSA, d'EDTA et d'ALA à avaler n'ont eu aucun effet sur moi. J'en ai pris pendant deux mois.
2.8.4 ENFANTSLes enfants sont sensibles au goût. Ils ne peuvent éventuellement pas prendre les chélateurs en oral. Il faut donc demander à un médecin qu'il pratique une perfusion avec un chélateur fortement dilué et au bon pH.
2.9 PRIXChez un médecin, une séance mensuelle de chélation coute entre 120 et 150 euros. En oral à domicile, une dose similaire coute 5 euros maximum. Dans mon plaidoyer, je recommande qu'un médecin généraliste pilote à distance une chélation à la maison avec des cachets effervescents.
2.10 PROTOCOLE CUTLERCe protocole préconise une prise continue de chélateurs toutes les 6 heures pendant 3 jours de façon à ce que la dose de chélateur demeure stable dans le corps. Cela prémunirait la redépose. Selon moi, c'est le pH qui pose problème. Selon moi, à pH acide, une dose continue serait donc vaine et ne prémunirait pas d'une redépose.
De plus, les doses préconisées sont très élevées. Cependant, comme les intoxiqués prennent des gélules, aucune molécule chélatrice ne rentre dans le corps car l'intestin ne fait pas le travail de solubilisation ni de mixage des molécules. La gélule ressort telle quelle.
3 SUBSTANCES ORGANIQUES ET TECHNIQUES DE DETOXIl existe de multiples catégories de particules oxydantes. Les métaux lourds ne sont qu’une catégorie parmi d’autres. A chaque catégorie, il existe une technique. Par exemple, les vieilles organelles (= organes de la cellule) oxydantes sont éliminées par le jeûne (Collège deFrance). Les particules organiques oxydantes sont traitées par l’Ayurvéda. La transcription de l’Adn en protéine se traite par un régime alimentaire. Et la création de jeune mitochondrie se réalise par l’exposition au froid. L’exposition au froid permet donc d’éliminer les acidités de façon durable. Le jeûne et les ventouses traitent également les particules organiques.
Mon traité n'est pas exhaustif car je n'ai pas exploré l'ensemble des médecines traditionnelles. Si vous le désiriez, communiquez-moi les protocoles de médecine qui prétendent éliminer les particules oxydantes, et je les citerai dans ce traité.
3.1 PRÉALABLE : LE TERRAIN
3.1.1 BAISSE DE L'EXPOSITIONAvant de déstocker les particules oxydantes, il convient d'identifier les sources d'exposition afin de les faire cesser. Par exemple, une alimentation en poisson contaminé peut provoquer une intoxication ; un bijoutier peut être exposé à une intoxication à l'or. Un changement de source de poisson ou une ventilation du local du bijoutier permettra donc éventuellement de faire cesser tous les symptômes par une baisse de l'exposition. Dans ce cas, la chélation n’est pas préconisée. Cependant, une analyse après traitement est prudente pour vérifier si des excès ne trainent pas.
Il est préférable de faire cesser une exposition au lieu de traiter une exposition à vie.
De plus, chez la majorité des personnes, les métaux stockés seront éliminés après la fin de l’exposition.
Chez certaines personnes très sensibles, des résidus de lessives commerciales (donc très puissantes) sur des vêtements peuvent provoquer des irritations sur une peau chargée de particules oxydantes dont la présence à elle-seule demeure silencieuse. En attendant d'éliminer ces particules oxydantes, il convient donc de remplacer les produits ménagers par des produits plus doux.
Les amalgames dentaires sont également une source d'exposition. Il est donc préférable de pratiquer des bains salins de bouche afin d'extraire le mercure qui a déjà diffusé dans la cavité buccale avant qu'elle ne diffuse vers le reste du corps.
Mais parfois, en dépit de la baisse de l'exposition et selon la doxa, les particules oxydantes demeurent stockées dans le corps chez une minorité de personnes. L’origine de cette particularité serait génétique. En cas de persistance des symptômes, il convient donc de déstocker les métaux par les chélateurs. Mais les cerveaux des Alzheimer présentent des taux inquiétants des métaux post-mortem. Les excès de métaux peuvent donc être généralisés. En l'état de la littérature, il est impossible de trancher car les charges organe par organe n'ont jamais été dressées.
3.1.2 RÉGIME CÉTOGÈNELe régime cétogène est un régime sans sucre (sans pain, sans pâtes, …). Avec ce régime sans sucre, le métabolisme va se rabattre sur les lipides dont la combustion dans la mitochondrie libère des corps cétogènes. Le régime cétogène est composé à majorité de légumes verts, et d'un peu de viandes. Les produits gras sont admissibles (charcuterie, fromage, beurre, huiles).
Avec le régime cétogène, l'Adn du noyau se déplie. Il est donc ensuite transcrit en protéines. La cellule peut donc réagir aux agressions qu’elle subit. Parfois, la cellule se suicide (apoptose) préventivement pour éviter qu'elle dégénère en cancer. Avec un régime sucré, l'Adn se replie sur lui-même, le noyau ne transcrit donc peu l'Adn en protéines, la cellule demeure donc passive aux agressions. Le cancer n'est donc pas prévenu.
Comme la combustion du sucre libère de nombreux acides, un régime sucré acidifie donc fortement le corps. En éliminant le sucre de l'alimentation, le corps va donc retrouver un état le plus alcalin possible. Les acides étant inflammatoires, l'éviction du sucre et des acides va donc désenflammer le corps.
Cependant, quelques bains froids vont multiplier les jeunes mitochondries dont l'effet sera d'aboutir à une combustion complète des sucres. Ainsi, les acidités parvenant du sucre peuvent être éventuellement prémunies.
Il est possible de faire des écarts avec ce régime tant que ces écarts ne produisent aucune fatigue ou aucun désagrément. Les bains froids permettront d’augmenter significativement ces écarts.
Cependant, les produits transformés et industriels contiennent des additifs et des conservateurs qui peuvent acidifier les légumes. Les bienfaits du régime cétogène ne peuvent donc parfois parvenir uniquement qu'en achetant des légumes frais qu'il faudra cuisiner.
Dans le cancer, il est recommandé un régime cétogène hypo-calorique. Ce régime serait très efficace contre les cancers du cerveau, mais peu efficace sur les cancers du sang.
3.1.3 ACTIVITÉS PHYSIQUESIl est préférable de pratiquer une activité physique régulière, non intense et durable de façon à faire circuler les humeurs. Ainsi, les stases sont prévenues, les acidités sont recyclées et les cellules sont oxygénées. Pour cela, la marche, de préférence rapide, est une activité physique très efficace.
3.1.4 - 2 REPAS PAR JOUR, MIDI ET SOIRLa combustion des lipides corporels (qui ne parviennent pas du système digestif) commence 12 heures après le dernier repas. En prenant un repas le midi et un repas le soir, cela dégage un créneau de quatre heures quotidiennes pendant lesquelles les lipides corporels (dont les lipides toxiques) sont brûlés et éliminés peu à peu. Les plaques coronariennes et autres amas de graisses placés à des endroits indésirables sont ainsi prévenus et éventuellement peu-à-peu résorbés. Ce rythme permettrait d’éviter d’avoir à recourir à des jeûnes longs.
3.1.5 LÉGUMES CRUS ET ÉLECTRONSUn régime alimentaire riche en légumes cuisinés apporte certes en abondance la grande variété de minéraux essentiels que le corps nécessite. Cependant, seuls des légumes crus en salade apportent les électrons nécessaires aux réactions chimiques.
3.1.6 PENDULE SAISONNIER ACIDO-BASIQUEPour maintenir son équilibre, le corps se construit et se déconstruit en permanence. Le corps se déconstruit pour sculpter sa construction. Dans un milieu basique, le corps se construit (ex: consolidation des os) ; dans un milieu acide, le corps se déconstruit (ex: sculpture de la forme des os, vide à l'intérieur des os). Or, les saisons sont polarisées, l'hiver est alcalin et l'été est acide. En appui des saisons, une alimentation acide (fruits) en été aidera le corps à se sculpter, et une alimentation alcaline (légumes verts) en hiver aidera le corps à se consolider.
3.1.7 QUELQUES BAINS FROIDS5 bains froids à 15°C pendant 15 minutes restaurent durablement une grande quantité de jeunes mitochondries et de capillaires. Ces bains froids peuvent se pratiquer une fois par jour ou une fois par semaine. Avec ces mitochondries en grand nombre, le système immunitaire sera endurant. Avec ces capillaires en grand nombre, la tension sera à son optimum et la circulation des humeurs sera nettement améliorée.
Les bains froids ont été généralisés dans les termes romaines. Cela indique la valeur que les romains attribuaient aux bains froids. Cela était une politique de santé publique. Les bains froids sont reconnus pour accélérer massivement la cicatrisation.
J’invite le lecteur à visionner les témoignages de guérison publiés sur la chaine Youtube de Wim HOF. Sur moi, les bains froids m’ont permis de retrouver une endurance et d’améliorer significativement ma tension. Wim Hof fait également pratiquer de l’hyper-respiration à ses stagiaires. Des stagiaires rapportent des améliorations de leurs symptômes chroniques avec cette pratique.
3.2 DÉSTOCKAGE DES COMPOSÉS ORGANIQUESContrairement aux métaux inorganiques, les composés organiques (dont les toxiques, pesticides) ne peuvent pas être ciblés par des molécules. Mais, heureusement, les médecines traditionnelles traitent ces particules. Malheureusement, les analyses et les références seront difficiles à réaliser. Il existe des milliers de catégories de particules oxydantes. Il faudra les tester unes à unes. Cela est impensable. De plus, pour chacune d'entre-elles, il faudra établir des références. Il faudra donc tester des milliers de personnes saines...
Les composés organiques s'éliminent par les selles. Contrairement à l'urine qui est une mixture homogène, les selles ne sont pas homogènes. Les analyses et les références sont donc éventuellement peu fiables.
3.2.1 VENTOUSESLes ventouses sont couramment pratiquées chez les chinois et chez les musulmans. Il s’agit donc d’une médecine qui s’étend de continents en continents.
Par succion, les ventouses aspirent la lymphe et le contenu des cellules sous la ventouse vers la sous face de la peau. Tout ce qui n'est pas indispensable à la cellule est aspiré. Comme la sous face de la peau est tapissée de capillaires, les matériaux (dont les particules organiques et oxydantes) mobilisés par la ventouse sont donc ensuite recyclés vers le circuit général, puis vers les émonctoires.
Une ventouse sur les foramens pariétaux va aspirer le liquide contenu dans la boîte crânienne via ces foramens. Ce contenu va sortir de la boite crânienne, il va franchir l'os du crâne par ces foramens et il va se retrouver ensuite dans la sous face de la peau du côté extérieur du crâne. Ce contenu sera enfin recyclé vers les émonctoires. Ultérieurement, l'organisme va synthétiser à nouveau du liquide céphalo-rachidien pour combler le volume qui a été extrait. De ventouses en ventouses sur ces foramens, une majorité du liquide céphalo-rachidien sera renouvelée et débarrassée de ses particules oxydantes. Pour que la ventouse adhère aux cheveux, il convient de placer du miel sur les bords de la ventouse et sur zone des foramens pariétaux.
Comme tout médicament, un excès de ventouse cause des incidents intestinaux par un excès de particules oxydantes mobilisées. Par précaution, il convient de s'orienter vers un professionnel. Pour éviter les incidents, les premières ventouses doivent être peu pompées et être espacées les unes des autres (quelques semaines jusqu'à un mois). Au début, un coup de pompe pendant 5 minutes. Plus tard, on peut pomper au max pendant 15 minutes.
Sur les femmes, les professionnels appliquent des ventouses dans la zone du ventre pour tenter de résoudre des migraines chroniques.
Les ventouses humides sont des ventouses posées après que des microcoupures soient appliquées sur la peau. Les matériaux toxiques mobilisés par les ventouses seront donc extraits hors du corps par ces microcoupures de façon à réduire significativement le risque d'incident intestinal. De plus, des analyses biologiques de ces matériaux extraits par les microcoupures permettront de sonder l'état d'intoxication de la boite crânienne sans intrusion lorsque les ventouses sont posées sur les foramens pariétaux. Tant que des particules oxydantes en excès sont décelées, il conviendra de répéter les ventouses.
J’ai pratiqué de très nombreuses ventouses. Sur moi, les ventouses sur les foramens pariétaux ont enlevé 10% de mes maux de tête et 50% de mes maux à l'épaule. J'ai trop forcé sur la ventouse. J'ai donc eu des troubles digestifs. 6 mois ont été nécessaires pour m'en défaire.
J'avais des douleurs au niveau de l'épaule. Je soupçonnais le mercure qui migré depuis le cerveau suite aux jeûnes secs. Au bout de 6 mois, j'ai appliqué 10 grosses ventouses dans la zone, pompée au maximum, puis j'ai fait 15 minutes de sauna. La sauna active le sang, cela va démultiplier l'effet de la ventouse. Le mercure est enfin sorti. De grosses cloques sont apparues, je les ai percées. Le corps inonde le mercure d'eau pour baisser la concentration et donc la toxicité. Puis, ces cloques se sont transformées en croutes. Cela montre la puissance dévastatrice du mercure. J'ai résorbé la majorité de mes symptômes.
Les ventouses seraient efficaces sur les composés toxiques dispersés en nuage.
Il est possible de réaliser des analyses sur des ventouses humides. Mais je ne sais pas s'il sera possible d'extraire des références.
Vidéo du principe de la ventouse sur la tête :
https://www.youtube.com/watch?v=s4cWZ8r9GRI à partir 09:18.
3.2.2 PANCHA-KARMA (AYURVEDA)Il est impossible de résumer l’Ayurvéda. Il s’agit d’une médecine complète pratiquée à l’hôpital en Inde.
Cependant, il existe une pratique de détox de l’Ayurvéda qui s’appelle la Pancha-karma (traduction : cinq actions).
L’une des 5 actions de la Pancha-karma consiste en une ingestion d'huile végétale pure à jeun. L'huile va circuler dans tout le corps, y compris dans le cerveau. Les particules organiques oxydantes fixées dans le corps vont être solubilisées dans cette huile en circulation. L'huile se charge donc en de nombreuses particules organiques dont les particules organiques toxiques. Ensuite, cette huile circule. Des activités physiques (sauna, marche, …) permettront d'augmenter l'efficacité du traitement. Et enfin, l'huile sera filtrée par les intestins et par le foie.
Cette technique est pratiquée dans les hôpitaux indiens. Dans de courts séjours, la dose d'huile ingérée quotidiennement à l'hôpital pourrait s'élever jusqu'à 30 cl par jour. Cette dose peut provoquer de forts désagréments (maux de tête, fatigue intense, vomissements, diarrhées) car les émonctoires se chargent abondamment en particules oxydantes. Cependant, il est possible de pratiquer cette technique sans désagréments avec une faible quantité (deux cuillères à soupe par jour ou 1cl) dont la réussite nécessite une application continue et prolongée (plusieurs mois).
Les quatre autres actions sont la purge, le massage intensif à l’huile chaude, le sauna, et le lavement. Ces actions sont ensuite agencées selon le profil du patient.
Ces cinq actions sont toutes destinées à ôter les particules oxydantes. La détox intensive est donc abondamment pratiquée en Inde. Les médecins indiens préconisent deux applications préventives par an. Cela me semble un peu excessif car ces médecins ont besoin de faire tourner leur boutique mais il me semble prudent de ne pas négliger cette technique avec l'âge.
Sur moi, les saunas et l’ingestion d’huile pure (sans chélateur) n’ont eu aucun effet sur mes maux de tête. C’est seulement en mélangeant les chélateurs dans l’huile végétale que cette huile a significativement participé à l’effacement de mes maux de tête permanents. C’est grâce à la pratique de l’ingestion d’huile végétale que j’ai eu l’idée de mélanger les chélateurs à l’huile.
La Pancha-Karma serait efficace sur les composés toxiques dispersés en nuage.
Quant aux analyses, il faut analyser les selles. Cela n'est pas commode. De plus, pour que les toxines apparaissent en fort nombre, il faudrait administrer une forte dose d'huile. Mais cela provoque des désagréments. De plus, les toxines se dispersent, elles mettront plusieurs jours à rejoindre la sortie. La question des analyses et des références est donc difficile. Le malade est donc condamné à juger ses ressentis sur plusieurs séances.
3.2.3 JEÛNE HYDRIQUE ET JEÛNE SECLors d'un jeûne hydrique, la matière organique corporelle est déstockée pour être brulée dans les mitochondries. Tout ce qui n'est pas indispensable est brûlé pour chauffer le corps (cancer, organelles vieilles ou anormales, mitochondries vieilles et oxydantes, …). Il y a eu un prix nobel de médecine sur le sujet. En médecine, le jeûne s'appelle "autophagie", la cellule mange son contenu. Selon le Collège de France, la cellule marque (ubiquitination) tout ce qui est défaillant, puis elle détruit ce qui est marqué par la mitochondrie ou par de l'acide chlorhydrique dans le lysosome. La mort de l'individu ne parvient qu’après le déstockage de toutes les matières organiques stockées. Il conviendra donc de cesser le jeûne avant des limites inquiétantes de sous poids. Lors d'un jeûne, de nombreuses particules oxydantes organiques sont donc brûlées et éliminées. Les plaques de graisses coronariennes sont également dissoutes pour être brûlées. Ces plaques sont très fortement oxydantes. Elles activent donc le système inflammatoire de façon intensive, durable et en vain. Le jeûne élimine donc de nombreuses particules oxydantes organiques qui créent des inflammations durables tant qu'elles sont présentes. Le jeûne long prévient donc des AVC.
Lors des premiers jeûnes, les processus d'élimination sont très inflammatoires. Il convient donc que les premiers jeûnes soient courts quitte à les répéter. Quant un jeûne part en inflammation, il faut le cesser et le recommencer. Pendant le jeûne, il convient parfois de renflouer le corps en minéraux (jus de légumes, compléments alimentaires) au moins deux fois par semaine avec un fond de verre. Avant le jeûne, il convient de pratiquer des bains froids afin de restaurer l’endurance et la robustesse aux épreuves.
Cependant, un régime cétogène et intermittent bien mené (avec des périodes de carences caloriques) parviendra sur le long terme à des vertus similaires que celles d'un jeûne long.
J’ai pratiqué une demi-douzaine de jeûnes hydriques de 7 à 15 jours max. Lors de mon tout premier jeûne, la couleur de l’urine était noire pendant trois jours. Cela indique que des matériaux inutiles et éventuellement toxiques trainaient dans mes cellules. Je rappelle que les molécules peu toxiques et en grand nombre et que les molécules fortement toxiques en petit nombre créent des désordres sur le long terme. Ces jeûnes n’ont eu aucun effet sur mes maux de tête. Cependant, je me sentais un peu mieux après mes jeûnes. J’ai également pratiqué de nombreux jeûnes secs. Ces jeûnes secs provoquaient une amélioration de mes maux de tête mais ils ne font que déplacer le problème des métaux lourds cérébraux vers le reste du corps. De plus, je n’ai trouvé aucune littérature scientifique sur le jeûne sec.
La référence littéraire est le livre de
Shelton : « le jeûne ».
Le jeûne serait efficace sur les amas de graisses inflammatoires.
Il est impossible d'analyser les vertus du jeûne car les toxines sont brûlées en CO2 et H2O à l'intérieur de la cellule. Comme nous vivons dans la religion de la science et que seul ce qui est mesurable existe, le jeûne et 95% duc corps ont donc été évincés de la médecine conventionnelle. En Allemagne, il existe des maisons de jeûne avec médecins. De mémoire, 17% des cancéreux allemands pratiquent le jeûne sur recommandation de leur oncologue. La thérapie serait remboursée. Cependant, je n'ai jamais trouvé de communication sur les résultats. Le jeûne serait efficace sur certains cancer et moins sur d'autres.
3.2.4 EXEMPLE D'APPLICATION : - Pour retaper les reins, je propose le programme suivant :
Trois petites ventouses un lundi, une sur le ventre, une sur la hanche, une dans le dos. Un petit jeûne intermittent le mardi (16h), cad pas de petit dèj. Deux cuillères à soupe d'huile le mercredi. Une chélation le jeudi. Une marche rapide 1h le vendredi. 4 gouttes d'huiles essentielles le samedi. Petit bain froid de 5 minutes le dimanche. Puis, petit à petit, on monte si tout se passe bien. 6 ventouses le lundi. Puis un jeûne de 24h (pas de petit dèj, ni de déjeuner) le mardi. Puis 3 cuillères à soupe d'huile le mercredi. Une chélation le jeudi. Une grosse marche rapide le vendredi. Et ainsi de suite pendant 2 mois. Il faudra mixer toutes les techniques que je propose, régime alimentaire cétogène, … Quant aux petits poisons du quotidien, alcool, drogue, il faut essayer d'inverser la tendance jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de désagréments. Ensuite, il faut sélectionner et insister sur les techniques qui sont payantes.
Il faut encore que je me penche sur les calculs rénaux. Il s'agit d'une sédimentation. Intuitivement, le pH joue un rôle. A premier vue, il faudra inverser le mode de vie. Je reviendrai ici quand j'aurai fait le tour de la question.
Ce programme est valable pour tous les organes. Par exemple, pour le diabète, les ventouses devront être placées dans la zone du pancréas, ventre et dos. Les ventouses dans le dos sont efficaces pour les poumons, à tenter en cas d'asthme chronique.
3.3 DÉSTOCKAGE DES MICRO-ORGANISMES
3.3.1 NOMBRELes micro-organismes inoffensifs peuvent parfois se multiplier de façon à ce que leur grand nombre devienne chroniquement pathologique. Ces micro-organismes peuvent également séquestrer les métaux lourds. En tuant un micro-organisme, une volumineuse quantité de particules oxydantes très inflammatoire peut donc être libérée. Le traitement des micro-organismes est donc le traitement le plus délicat de tous les traitements. Pour passer un traitement contre les micro-organismes sans encombre, il convient donc de s'installer dans la durée avec des doses les plus faibles possibles.
Cependant, les molécules ne font pas de distinctions, les micro-organismes pathogènes seront également tués. Par exemple, les huiles essentielles ont un large spectre pour tuer les virus. Or, aucune étude n'a recherché l'effet des huiles essentielles sur le VIH. Une herboristerie a proposé son mélange d'huiles essentielles pour lutter contre le VIH, elle a donc été condamnée à 15.000 euros par la justice car les remèdes doivent parvenir de la science.
Pour ma part, j'ai crée un fort incident intestinal en abusant des huiles essentielles. Je l'ai résolu en prenant le traitement des métaux lourds. L'hypothèse, c'est que les micro-organismes ont libéré une grosse quantité de métaux lourds suite à leur destruction massive par les huiles essentielles.
Dans QUITA PARASITOS (
https://www.facebook.com/groups/2387122038069749), on y trouve de nombreuses recettes contre les micro-organismes avec des médicaments contemporains.
3.3.2 ACTIVATIONPrendre toujours un produit anti-micro-organisme solubilisé dans un grand volume d'eau. Pour les produits liposolubles, le placer dans un peu d'huile végétale. Boire toujours ce produit à jeun, une fois ou deux par jour (le matin, et/ou ½ heure avant le diner). Ce n'est pas la forte dose qui aura raison des micro-organismes, c'est la régularité dans la durée. C'est également la variété des produits qui aidera à éliminer un large spectre de micro-organismes.
3.3.3 RÉGIME ALIMENTAIREPour se multiplier, les micro-organismes se nourrissent de sucre. Il convient donc d'observer le régime cétogène pour empêcher ce qui conforte la multiplication des micro-organismes.
3.3.4 BAINS FROIDSLes bains froids vont multiplier les mitochondries et les capillaires. Cela permettra de muscler le système immunitaire et donc de lutter efficacement contre les micro-organismes avec les ressources corporelles.
3.3.5 PLANTES AROMATIQUESPour se protéger des micro-organismes, les plantes aromatiques ont développé de nombreuses molécules qui tuent les micro-organismes. Le traitement des micro-organismes par les plantes aromatiques est donc très efficace.
3.3.6 HERBESLes infusions de plantes fraiches (origan, …) traitent également les micro-organismes. Il conviendra de boire l'infusion à jeun afin de ne pas altérer les principes actifs par le processus de digestion.
3.3.7 HUILES ESSENTIELLESUne huile essentielle est un concentré de plante aromatique. Les molécules actives de cent feuilles peuvent se retrouver dans une seule goutte d’huile essentielle. La charge de produit toxique d’une seule goutte d’huile essentielle peut donc être très élevée. Il convient donc de toujours diluer de l'huile essentielle irritante dans de l’huile végétale. Les huiles essentielles sont une médecine et une pharmacie. La vertu principale des huiles essentielles est la lutte contre les micro-organismes. La grande variété des huiles essentielles permet donc de lutter contre toute la gamme de micro-organismes (bactéries, virus, vers, parasites, protozoaires, champignons, …).
Voici tous les secrets de la Fédération française d'aromathérapie d’où je tire mes sources :
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... php?id=826. Ces sources étaient disponibles en 2018 sur le site, mais elles ont disparu du site.
Dans une bouteille d'huile végétale de 25 cl, verser :
• 17 gouttes (1ml) maximum d'huiles essentielles irritantes (exemples : cannelle, origan, …)
• 70 gouttes (4ml) d'huiles essentielles non irritantes (exemples : tea tree, ravintsara, niaouli, …)
• Prélever un centilitre à boire par jour à jeun.
• De bouteille en bouteille, il conviendra de faire tourner les huiles essentielles et de surveiller la causticité de l'huile essentielle.
Le mode d'administration que je préconise n'est pas référencée sur par la Fédération française d'aromathérapie mais cette voie monte au cerveau.
Huiles essentielles : ravintsara, tea tree, naouli, origan, menthe poivrée, lavande, cannelle, eucalyptus, clou de girofle, cèdre de l'atlas.
Il faut vérifier les contre-indications, elles sont très nombreuses, ex : menthe chez la femme enceinte. Tester l'allergie avec une goutte dans le pli du coude, attendre 15 minutes. Ne pas appliquer à longueur d'année sous peine d'intolérance.
Posologie max de la Fédération française d'aromathérapie :
Chez l'adulte, 3 gouttes, 4 fois par jour sur des durées n'excédant pas 3 semaines.
Pour les HE irritantes, il faudra se limiter à une goutte, 4 fois par jour.
Il me semble, que selon la fédération, il faut faire une pause d'une semaine et on peut recommencer pour 3 semaines et ainsi de suite.
La posologie que je propose est bien inférieure aux recommandations de la Fédération car je propose 1 goutte irritante par jour et 3 gouttes non irritantes par jour, c'est 4 fois moins. Comme je ne suis pas aromathérapeute, je baisse drastiquement les doses car il faut demeurer prudent en cas d'intoxication.
3.3.8 ALLICINEL'allicine est une molécule anti-micro-organisme très efficace qui se crée lorsque l'ail est broyé. Cette molécule est certes très puissante mais elle est très fragile. Elle ne supporte aucune transformation (cuisine, chaleur, digestion) et, en seize heures, elle se transforme naturellement en une autre molécule qui perd toutes ses propriétés.
o Dans un mini hachoir électrique, placer un peu d'eau et un quart de gousse d'ail fraiche.
o Hacher, filtrer, verser le liquide filtré dans un demi litre d'eau, mélanger, boire à jeun.
o Répéter cette action une fois par semaine pendant plusieurs mois.
J'ai pratiqué cette méthode avec 1 à 3 gousses d'ail par jour pendant une semaine, sans encombre, mais mes posologies personnelles sont un peu trop excessives. Il faudra commencer avec la posologie que je recommande, puis il sera possible d'augmenter la posologie si des désordres n'apparaissaient pas.
Les personnes qui portent énormément de micro-organismes souffriront des conséquences des doses élevées de soufre contenues dans l’ail. Dans ce cas, il convient de baisser la dose d’ail.
3.3.9 LARGE SPECTREIl existe de nombreux produits pour lutter contre les micro-organismes (Propolis, Extrait de pépins de pamplemousse, origan, …). En variant et en alternant de nombreux produits, la campagne de lutte contre les micro-organismes possède le plus de chances de réussir. Il convient de solubiliser tous ces produits (eau ou huile végétale) et de les boire à jeun.
3.4 TRAITEMENT DES ORGANES A MUQUEUSESLes muqueuses sont des lieux d’échanges intensifs. Il est donc possible de les désintoxiquer par des techniques naturopathiques. Cependant, la médecine conventionnelle ne prétend pas désintoxiquer le corps car elle ne dispose d'aucune solution. Je rappelle que le seul pays au monde ou les intoxications chroniques n'existent pas, c'est la France. Et cela, en dépit que les traités de toxicologie consacrent des centaines de pages aux intoxications chroniques.
3.4.1 LES PRINCIPES ACTIFS
3.4.1.1 L'OSMOSEL'osmose est un phénomène de transfert d'eau au travers de la paroi cellulaire. En plaçant de l'eau hautement saline sur une cellule, la cellule va se vider en cinq minutes de son eau et de ses minéraux. Les métaux lourds vont donc sortir de la cellule.
En plaçant de l'eau saline sur les muqueuses, il est donc possible de les désintoxiquer de leurs métaux lourds.
Il est également possible de recueillir l'eau qui sort et de l'analyser.
Cette méthode est rapportée dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY. Les médecins s'en servent sur les personnes qui ont cherché à se suicider en ingérant de l'arsenic. Les médecins font avaler de l'eau saline au patient, le poison ressort du tube digestif puis il est évacué sous forme de diarrhée.
3.4.1.2 L’HUILE VÉGÉTALEEn imbibant les cellules d’huile végétale, les particules oxydantes organiques sont soulevées, diluées, et dispersées jusqu’à revenir à basse concentration vers les émonctoires.
Il ne sera pas possible de faire des analyses car l'huile va circuler par les tissus pour s'orienter vers les émonctoires.
3.4.1.3 HUILES ESSENTIELLESPour traiter les micro-organismes, les huiles essentielles sont sous forme aisée d'application (huile). Il convient toujours d’appliquer de faibles doses diluées dans l’huile végétale de façon chronique.
3.4.1.4 L’EXPOSITION AU FROIDL'exposition au froid fait entrer les capillaires en forte activité. Les échanges locaux sont multipliés. Le sang est apporté en abondance au plus près de la cellule. Les particules en suspension entre les cellules sont renvoyées vers le système général.
En répétant l'exposition au froid, les capillaires se multiplient en grand nombre. L’exposition au froid permet donc d’affermir les muqueuses. Or, les muqueuses sont des tissus très exposés aux échanges. Elles nécessitent donc beaucoup de puissance en permanence. Le froid permet donc aux cellules des muqueuses de se muscler et de répondre durablement aux répétitions de sollicitations intensives.
Le froid permet également aux principes actifs d'imbiber profondément les tissus. Il permet également de renvoyer les principes actifs et leurs toxines vers le sang. Il est donc intéressant de combiner un bain froid en même temps qu'un traitement des métaux lourds ou qu'un traitement à base d'huile végétale.
3.4.1.5 COMBINAISON ET REPETITIONParfois, seule une combinaison de ces pratiques permettra de restaurer la fonctionnalité de l’organe. Par exemple, une goutte d’huile essentielle tuera une bactérie à l’intérieur d’une cellule. Des particules oxydantes sont donc libérées en grande quantité dans la cellule par la mort du micro-organisme. Ces particules vont demeurer en suspension dans la cellule. De l’huile végétale et une solution saline permettra ensuite de mettre en mouvement les particules oxydantes libérées. Ensuite, l’exposition au froid va activer intensément les capillaires de façon à renvoyer les particules soulevées vers le circuit général. Sans cette combinaison, la fonctionnalité de l'organe peut ne pas reprendre.
Une seule application est très partielle. Seule une répétition d'application permettra donc dépurer une majorité de particules oxydantes indésirables.
Quant au temps de traitement, c'est à chaque personne d'évaluer les résultats dont l'évolution des signaux est très discrète. C'est donc à la longue en écoutant les moindres signaux qu'on peut se faire un avis. Pour une première campagne de traitement, il ne faut pas hésiter à appliquer des rotations quotidiennes de traitement pendant deux mois. Ensuite, selon l'évolution des symptômes, la durée peut être rallongée de deux mois et ainsi de suite.
3.4.2 INTESTINS
3.4.2.1 COLONLe colon filtre le sang de façon à écrêter toutes les particules, y compris les particules non-oxydantes. Lors des débordements, il prend régulièrement le relai du foie et des reins dont le rôle est de sélectionner les particules oxydantes avec précision. Quand le volume de particules oxydantes dépasse les capacités du colon, le colon entre en dysfonctionnement. Il ne parvient plus à se désintoxiquer. En cas de dysfonctionnement, des symptômes intenses à distance peuvent apparaitre (fatigue, maux de tête, boulimie). Chez les personnes intoxiquées aux métaux lourds ou aux pesticides, le colon est donc un organe qui est souvent intoxiqué et dysfonctionnel. Les lavements permettent de le désintoxiquer en profondeur et lui permettent de retrouver sa fonctionnalité. De plus, les cures régulières de déstockage des particules oxydantes (ventouses, pancha-karma) mobilisent des quantités significatives de particules oxydantes. En cas de forte intoxication et en cas de traitements intensifs des particules oxydantes sur le reste du corps, des lavements seront donc occasionnellement à prévoir. Il faut donc appliquer des doses peu intensives mais chroniques pour éviter d'avoir à faire un lavement du colon.
o Séance de lavements :
Durée totale environ : 2 à 4 heures environ
- 1,5 à 2 litres avec une eau de 20 à 40g/l de sel de cuisine de façon à extraire les métaux lourds
(en cinq minutes, la lumière va entrer en surpression, libérer l’eau à ce moment). Faire deux passages à l’eau saline.
- 1 à 2 litres d'huile végétale fluide (tournesol), l’huile peut être conservée pendant plusieurs dizaines de minutes. Chauffer les intestins avec une bouillote et masser les intestins. Libérer l'huile.
Mettre une huile épaisse autour de la canule (olive)
Pratiquer d'abord le lavement au sel car cela va enlever le mucus. Ensuite, il faut pratiquer le lavement à l'huile car l'huile pénètrera mieux dans les tissus.
- 2 litres d'eau claire pour rincer et réduire les désagréments post-lavement.
Répéter la séance une semaine après si les troubles n'ont pas été résorbés.
Les passages salins peuvent être éprouvants. Cela indique que des métaux lourds sont déstockés de la muqueuse du colon de façon significative. Une campagne de chélation peut être prévue, elle peut être courte et intense (4x la dose quotidienne) de façon à compléter le travail du lavement.
3.4.2.2 GRÊLELa purge yogique consiste en l'ingestion d'une eau saline (1 litre à 40g/l de Mg-SO4). L’intestin grêle sera donc essoré de ses métaux-lourds de tout son long. Le détail de cette technique est disponible sur les sites de naturopathie. Cette purge est à envisager pour les personnes qui portent des amalgames dentaires car le mercure se charge dans les aliments mâchés et se décharge dans tout le système digestif.
De plus, le Mg-SO4 va circuler dans le corps. Or, ce sel est un sel physiologique, il est présent en abondance dans le corps. Comme les métaux lourds, les 2 ions de ce sel sont bivalents, Mg2+ et SO42-. Ces ions permettent donc d'entrer en compétition avec les métaux lourds et de les drainer jusqu'aux émonctoires. Mais cette technique est moins efficace que les chélateurs.
3.4.3 BOUCHE
3.4.3.1 Déstockage de l'eau des muqueuses et de ses métaux lourdsPréparer une bouteille d'un litre d'eau avec 100 g à 200 g de sel de cuisine et mixer
Placer 5cl de la solution dans la bouche
Faire circuler l'eau pendant 10 minutes (le temps de la douche)
Recracher (surtout ne pas avaler), rincer à l'eau claire
Répéter le bain salin tous les jours pendant un mois
Afin d’éliminer le mercure en cours de diffusion, cette cure est opportune en cas d’amalgames dentaires y compris s'ils ont déjà été ôtés des années auparavant.
J’ai réalisé des bains de bouche à 200g/l pendant 16 jours mais la peau des muqueuses a été un peu brulée vers la fin du traitement. En 10 jours, la peau s'est reconstruite. Cependant, j’ai effacé tout mon électro-galvanisme (courants électriques dans la bouche). Lors des 15 premiers jours, des picotements se sont fait ressentir au niveau de la bouche. Le seizième jour, ces picotements ont cessé. Je suppose donc que le mercure qui était extrait provoquait ces picotements.
3.4.3.2 Déstockage des particules oxydantes organiquesPlacer 2,5, ou 10cl d'huile végétale fluide (tournesol, sésame, …) dans la bouche
Faire circuler pendant 10 minutes
Recracher
Placer de l’eau froide pour activer les capillaires et chasser l’huile chargée de particules oxydantes
Répéter le bain d'huile tous les jours pendant un mois
3.4.3.3 Restructurer les muqueusesPlacer une bouteille d'eau minérale au frigidaire
Verser de 2 à 10 cl d'eau froide dans la bouche
Verser 2 cl lors des premières séances, puis 5, puis 10
Faire circuler l'eau
Répéter ce bain froid tous les jours pendant un mois
J’avais une infection de la racine des dents. Avec les bains froids de bouche et avec les huiles essentielles, j’ai réussi à de me débarrasser de cette infection.
3.4.3.4 Éliminer les micro-organismesSur un coton, verser deux gouttes d'huile essentielle non irritante, (ou une huile irritante diluée à 90% dans l'huile végétale)
Placer le coton en fond de gencive (entre la joue et la gencive)
Garder le coton pendant une heure
Répéter l'action tous les jours pendant un mois en variant l'huile essentielle
3.4.4 YEUXAcheter du collyre hypertonique en pharmacie, verser la dose indiquée tous les jours
Verser tous les jours une goutte d'huile végétale dans l'œil, masser sur la paupière
Acheter un masque en gel à placer au congélateur, placer le masque tous les soirs pendant un mois.
Diluer de l'huile essentielle non irritante à 5% dans de l'huile végétale, masser autour des yeux
Ne jamais verser d'huile essentielle dans les yeux ou sur les muqueuses.
3.4.5 OREILLEUn professionnel peut percer le tympan pour y verser une solution saline hypertonique puis de l'huile végétale.
Masser l'arrière de l'oreille (coté crâne) avec de l'huile végétale et une goutte d'huile essentielle non irritante.
Répéter tous les jours
Ne jamais placer de l'huile essentielle dans le canal auriculaire
Placer un bloc de froid sur l'arrière de l'oreille tous les jours pendant un mois
3.4.6 PEAUDans 10 ml de crème hydratante, verser 0,5g de sel de cuisine, mixer, masser la zone.
Le sel va faire l'effet inverse, les cellules de la peau seront déshydratées. Les toxines sortiront en masse. Des rougeurs apparaitront éventuellement. Du froid peut être appliqué pour faire circuler les toxines et éliminer les plaques.
La dose de sel peut être significativement augmentée, ce sera au patient de l'ajuster. Le plus simple, c'est de mettre 5g de sel dans un pot, et de prélever un peu tous les jours.
Répéter tous les jours pendant un mois
Masser avec de l'huile végétale et verser une goutte d'huile essentielle dans la crème hydratante
Répéter tous les jours pendant un mois
3.4.7 FOSSES NASALESLes fosses nasales peuvent également être désintoxiquées par du sérum physiologique hypertonique.
3.4.8 GYNÉCOLOGIE Le traitement du vagin serait à l’identique de celui du colon. Il conviendra d’adapter le volume de liquide injecté. Une patiente m'a informé que les cures thermales proposent ces techniques. Cependant, la concentration en sel est bien plus élevée (jusqu'à 300g/l). C'est donc à la patiente d'ajuster la concentration, la fréquence, la durée.
La médecine conventionnelle devrait savoir opérer des lavements de l’utérus. Il conviendra de veiller à la sécurité des trompes suite à la surpression consécutive à l’eau saline.
3.4.9 POUMONSA l'hôpital, les poumons peuvent être désintoxiqués par des lavages broncho-alvéolaires.
Des saunas humides et des marches dans le froid permettront également d'activer le drainage des poumons. Il serait préférable de réaliser ce lavage en cas de cancer du poumon. Ces techniques seront utiles pour les fumeurs.
En cas de cancer et de maladies chroniques (asthme, …), cette technique est à envisager. La tumeur ne sera certes pas éliminée, mais cela préviendra la rechute par élimination des toxines. En alternative, des ventouses dans le dos baissement également la charge dans les poumons.
Les poumons sont très exposés à l'extérieur. Une étude post-mortem de la charge montre que beaucoup de cadmium demeure dans les poumons. Une chélation est donc envisager.
3.5 RESTRUCTURATION DES TISSUS
3.5.1 EXPOSITION AU FROIDL'exposition au froid crée une intense vascularisation sanguine pendant laquelle les capillaires se multiplient. Les cellules proactives des tissus exposés au froid sont stimulées, développées et renforcées. Cette intense vascularisation pousse à la division cellulaire jusqu'à éventuellement la neuro-genèse.
Une douche écossaise en finissant par le froid juste avant le bain froid permettra de rentrer dans le bain froid tout en diminuant fortement la sensation de froid au cours du bain.
3.6 EXEMPLES D'APPLICATION
3.6.1 CANCERLe cancer parviendrait d'une dysfonction de la mitochondrie. Faute de mitochondrie fonctionnelle, des molécules de sucre sont cassées en deux morceaux dans la cellule de façon à créer l’énergie dont la cellule a besoin. Cependant, ces deux morceaux de demi-sucre demeurent dans la cellule et s'accumulent. La cellule augmente donc anormalement en taille. Dès que sa taille double, elle se divise. Le cancer est donc un emballement de ce processus.
Pour empêcher la cellule de grossir et de se diviser, il convient certes de cesser le sucre. Comme le jeûne élimine les mitochondries défaillantes, il aide donc à la résolution des cancers dans la durée. Mais, avec des bains froids, il est possible de relancer la biogenèse mitochondriale de façon à opérer une combustion complète du sucre. La cellule n'augmentera donc pas en taille et elle n'aura pas besoin de se diviser y compris en présence de sucre.
Cependant, il n'est pas inutile de traiter les autres catégories de particules oxydantes.
Dans le cancer, il est recommandé un régime cétogène hypo-calorique.
En cas de cancer des muqueuses, les lavements ne traiteront pas les tumeurs mais ils diminueront le risque de récidive.
Le cancer est une prolifération de cellules. Mes préconisations diminueront le risque de récidive. Cependant, le jeûne baisse la multiplication des cellules. Cela se voit chez les hommes car la barbe cesse de pousser. Lors du jeûne, le système immunitaire dispose de plus de temps pour réduire la tumeur. J'estime la réussite de mes préconisations entre 0 et 100% avec une moyenne à 20%. Mes préconisations sont basées sur mes recherches. Elles ne sont pas basées sur des analyses en population générale. Les études en population générales contrediront certainement mes estimations.
Une fois que le cancer est installé, il existe une spirale de causes. Par l'action des poisons, les gènes sont ensuite détériorés. Le traitement des causes primaires ne seront donc pas suffisants pour remédier aux causes du cancer. Les préconisations que je recommande pourront peut-être baisser les chirurgies et les applications de la médecine conventionnelle.
Le cancer est le contraire de l'Alzheimer. Dans le cancer, les cellules se multiplient. Dans l'Alzheimer les cellules meurent. Or, il est plus facile de détruire des cellules que de les régénérer. La rémission du cancer est donc plus élevée que celle de l'Alzheimer. Cependant, il existe 5 fois plus de personnes atteintes de l'Alzheimer que du cancer.
Je recommande la chaine Youtube de Guy Tenenbaum, Cancer Thérapy. Il est un miraculé du cancer. Il invite d'autres miraculés du cancer à témoigner sur sa chaine. Ces miraculés ont appliqué le régime alimentaire strict alcalinisant (juste des légumes). Ils ont éliminé tout ce qui était acidifiant de leur alimentation.
Le Dr Schwartz a indique que ce régime a sauvé 6 personnes porteuses du cancer du cerveau. L'une de ces personnes a repris un régime acidifiant et elle a rechuté.
Ce ne sont certes pas des cohortes, mais cela montre qu'il existe des solutions complémentaires à la médecine conventionnelle.
Comme les toxines se potentialisent les unes les autres, je recommande d'appliquer mon traité. Cela permettra peut-être de ne pas avoir à suivre un régime aussi strict.
Un cancéreux du colon a appliqué toutes les techniques anti-cancer (chimio, jeûne, bains froids, alimentation …). La très grosse tumeur a totalement disparu mais il se plaignait encore de troubles digestifs et d'inflammation à l'intestin après la disparition de la tumeur. Il a rechuté. Un lavement du colon aurait peut-être évité la rechute car il aurait enlevé les substances toxiques et l'inflammation.
3.6.2 MALADIES NEURO-DÉGÉNÉRATIVESLes maladies neuro-dégénératives proviendraient d'une ambiance délétère liée à l'excès de multiples particules oxydantes dans le cerveau. Un déstockage de l'ensemble des particules oxydantes est donc pertinent pour traiter ces maladies. Toutes les actions citées dans ce traité seraient donc appropriées.
Comme du cuivre et du fer est retrouvé en excès (trois fois la valeur d’un cerveau sain) dans les autopsies des cerveaux des personnes porteuses de la maladie d’Alzheimer, il convient de pratiquer le traitement chélateur jusqu’au déstockage complet de tous les métaux. Des ventouses sur les foramens pariétaux et la Pancha-karma compléteront le travail de déstockage des particules oxydantes par les chélateurs.
Ensuite, pour restructurer les tissus du cerveau, placer une bouteille d'eau au frigidaire et la verser sur la tête tous les jours
Le cerveau se régénère très peu. Il est donc impossible de remédier à une maladie neuro-dégénérative. Cependant, l'élimination des particules oxydantes permettra de réduire ou de stopper définitivement l'aggravation de la maladie. Les bains froids reconstruiront les tissus de 0% à 10%.
Quelques organes (intestins, cheveux, globules rouges, ...) sont régénérés à une très fortes intensité et à vitesse très élevée. Sur ces organes, mes préconisations pourront donner une réussite à 100%.
3.6.3 AUTRES MALADIES CHRONIQUESIl existe de nombreuses maladies aux causes prétendument inconnues (autisme, sclérose en plaque, maladie de Crohn, arthrose, asthme, …). J’invite donc le malade à pratiquer toutes les techniques listées dans ce traité afin de ne laisser la place à aucun doute.
Toutes ces techniques ne prétendent pas traiter une crise. Elles ne sont donc pas à appliquer en cas de crise. Cependant, elles prétendent diminuer la fréquence et l'intensité des crises sur le long terme.
3.6.4 ORDONNANCEMENTAfin de minimiser la mobilisation de particules oxydantes aux étapes suivantes, les campagnes de déstockage doivent être menées dans l’ordre suivant :
1. rétablissement du terrain et rétablissement de la fonctionnalité des organes
2. chélation (déstockage des métaux inorganiques)
3. déstockage des micro-organismes
4. déstockage des particules organiques
Cependant, il conviendra de pratiquer plusieurs passes car les cures (ex: micro-organismes, ventouses) vont libérer des métaux lourds qu'il conviendra d'éliminer avec les chélateurs.
3.6.5 MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE de 1991Une coalition de pays s'est déployée dans la guerre du golfe. Les soldats ont été exposés à un cocktail de toxiques (Brome, uranium, vaccins, puits de pétrole en feu, gaz sarin,...). La moitié des soldats de tous les pays sont revenus avec des symptômes chroniques (Maux de tête, troubles digestifs, fatigue, problème de peau, problème de respiration, troubles digestifs, ...). 30 ans après, les symptômes persistent. Seuls les Etats-Unis mènent des études. Or, ces études se cantonnent au sang. Seuls des signaux inflammatoires sont détectés. Les études suggèrent donc qu'il s'agit d'un délire du système inflammatoire. L'armée américaine annonce donc qu'elle veut inventer une technique qui fait un RESET du système immunitaire. Je ne suis pas convaincu. L'armée ferait mieux d'appliquer ce traité. Pour justifier leurs salaires, les médecins proposent de l'acuponcture aux soldats. Les soldats sont polis car ils disent que cela leur fait un peu de bien mais ils ajoutent qu'il faut continuer à faire des recherches car leurs problèmes ne sont pas résolus.
Les traitements des poisons dans les organes ne seront jamais appliqués par les médecins pour trois raisons chacune suffisante :
1 : Les études post-traitement n'ont jamais été faites
2 : Les références n'ont pas été réalisées
3 : Ces études contrediraient les analyses de sang. Si le sang est défaillant, il s'agit d'un scandale mondial. Pour que les traitements soient appliqués, il faut que tous les acteurs y trouvent leurs intérêts. Or, si le sang est défaillant, toutes la chaine médico-politique sera discréditée car le médecin a été le bourreau.
Il me semble que l'intoxication de ces soldats soit majoritairement d'origine organique. Il faudra donc insister sur les traitements avec l'huile végétale, sur les ventouses, sur les lavements des poumons et des intestins, et peut-être le jeûne. Puis il faudra appliquer des bains froids pour régénérer les tissus qui ont été brûlés.
4 CONCLUSIONPour des raisons techniques (limitations du nombre de caractère dans un post), le chapitre 4 est placé dans le post suivant :
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 33#p1230335 COMPLEMENTS
5.1 ARTICULATIONSLes articulations peuvent être traitées par HYDROTOMIE PERCUTANÉE.
Le médecin injecte une solution saline et des chélateurs localement par des aiguilles.
La solution saline extrait les métaux lourds de la cellule et les chélateurs captent ces métaux lourds de façon à les envoyer jusqu'aux émonctoires.
Pour les toxines organiques, il faudra injecter de l'huile végétale fluide (sésame, noix,...).
Il faudra placer l'articulation dans le froid pour évacuer les toxines de façon énergétique.
5.2 REINS/FOIEIl existe des cures pour traiter les calculs des reins et du foie. Ces cures se nomment les cures Clark. Le détail de ces cures se trouve sur Internet.
La cure du foie est envisageable quand les selles sont durablement blanches car les calculs entravent la libération de la bile. Cependant, deux repas par jour (midi et soir) prémuniraient des calculs hépatiques. Cela évitera une ablation de la vésicule biliaire par une médecine conventionnelle un peu trop hâtive.
5.3 ANGOISSESSelon le Collège de France, les angoisses participent au stress oxydant.
Pour ma part, je me suis traité avec Shakespeare.
Wim Hof recommande la méditation.
C'est à chacun de trouver sa voie pour traiter ses angoisses.
Les médocs des psys ne sont que des béquilles.
JULIEN PERRINAdressez-moi vos réclamations : iipn(at)free.fr. Demeurez courtois, sil vous plaît.
car je ne pas là pour me faire engueuler. Je publierai vos commentaires anonymement.
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Dans le post suivant, des questions/réponses avec des internautes sur la posologie :
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 10#p123110Complément :
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 20#p123120Proposition d'alternative en cas de désagréments aux chélateurs:
https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... e2#p123145