La Justice a instauré cette procédure car les Procureurs ne sont pas indépendants de l'Exécutif.
La Justice a donc installé une saisine par le plaignant après un classement sans suite par le Procureur.
(Il me semble que l'Affaire du sang contaminé a été initiée par cette procédure).
Rappel : une plainte contre un service de l'Etat est nécessairement classée sans suite.
Comme ma plainte visait un service de l'Etat (Centre Antipoison), elle a donc été classée sans suite pour cette raison.
Cependant, ma plainte n'indiquait pas encore que le Gouvernement avait demandé à ce que les intoxiqués soient sortis de l'errance médicale par les Centres Antipoison.
Cela renverse la situation car les services de l'Etat qui se moquent du Gouvernement ne bénéficient nécessairement pas de l'impunité des services de l'Etat.
Au Doyen des Juges d'instruction, j' a écrit:
PLAINTE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE
Paris, le lundi 31 janvier 2022.
Madame ou Monsieur le Doyen des Juges d'instruction,
j'ai l'honneur d'exposer les faits suivants :
Suite à ma consultation médicale, le centre antipoison m'a informé que les analyses médicales validées sur lesquelles se fondent l'ensemble de la communauté scientifique sont inopérantes pour exprimer une représentation fiable de la charge corporelle en métaux lourds. Avec les analyses médicales validées (sang, urine, cheveux, ongles et strictement sans traitement), sur lesquelles le Centre antipoison confirme qu'il se base exclusivement, une forte charge en mercure stocké dans les organes, dont le cerveau, passe inaperçue. En dépit que le traitement du mercure traite partiellement le cerveau, les Centres antipoison confirment qu'ils ne traitent jamais les personnes porteuses de symptômes lourds et caractéristiques d'une intoxication au mercure et qui sont porteuses d'analyses biologiques après traitement très inquiétantes car ces analyses ne sont pas validées. En dépit du fait que les traitements existent, c'est au titre de la défaillance des analyses médicales validées (sans traitement) que le Centre antipoison m'informe qu'il ne me traitera pas.
Nota, pour toute information scientifique évoquée dans ce texte, une argumentation détaillée et justifiée est placée à l'annexe Ia : "Obsevations sur les analyses médicales validées mais non fiables".
Je rappelle que les symptômes d'une intoxication aux métaux lourds s'expriment de façon permanente tant que les métaux lourds n'ont pas été excrétés par le traitement. Voici la liste des symptômes caractéristiques : fatigue, insomnie, faiblesse musculaire, douleurs articulaires, éruptions cutanées, dérèglements intestinaux, maux de tête, problèmes de mémoire, difficultés de concentration. Je suis actuellement porteur de ces symptômes.
De plus, en 2015, en dépit du fait que les médecins de ville des pays frontaliers traitent les métaux lourds dans leurs cabinets, les centres antipoison français ont proféré des menaces publiques envers des médecins hospitaliers qui traitaient les intoxications corporelles au mercure suggérées par des analyses biologiques après traitement. Suite à ces menaces, l'unique service conventionnel qui traitait les personnes porteuses de métaux lourds sur le territoire français a fermé. Il est donc impossible de traiter le cerveau et les autres organes par voie conventionnelle sur le territoire français. De plus, en 2015, suite à l’alerte de l’Assemblée Nationale (Question 26233 de la 14è Législature – annexe Aa), le Gouvernement français a demandé à la société de toxicologie domiciliée à l'adresse du Centre antipoison de Paris (STC – annexe Ab) de proposer un traitement pour prendre en charge les personnes fortement imprégnées de mercure. A l'insu du Gouvernement, les centres antipoison ont donc imposé aux Français des pratiques médicales qui évitent soigneusement de traiter 90% du corps. Chez les Centres antipoison, seul le sang est traité. Ce cas de figure apparait, par exemple, pour les personnes qui ont ingéré de l'Arsenic en grande quantité. Cependant, pour les ouvriers qui travaillent durablement dans des usines de recyclage du plomb, le plomb qui s'installe peu-à-peu dans le corps n'est jamais traité en dépit de la mort prématurée de ces ouvriers et en dépit de leurs symptômes très alarmants en fin de vie.
Depuis 2014, j'ai signalé mon état très alarmant auprès du Centre antipoison tous les ans. Le Centre antipoison m'a raccroché au nez à chaque appel. C'est seulement après avoir menacé de porter plainte en 2020 que j'ai pu obtenir une consultation médicale. C'est à l'issue de cette consultation que le Centre antipoison m'a communiqué un article scientifique largement ignoré des professionnels de santé dans lequel ces larges restrictions de traitement sont consignées (annexe Ge). En 2020, j'ai porté plainte pour mise en danger, mais l'instruction du Procureur a abouti à une absence d'infraction (annexe D).
J'ai alerté l'Elysée et de très nombreuses agences de santé françaises, européennes, américaines et onusiennes de ce problème de santé publique (annexes I). En réponse, l'Elysée m'a informé qu'il se saisissait de la question (réponse 1). Les Directions Générales des trois Agences publiques américaines de santé, qui établissent les références médicales que le reste du monde récupère, m'ont également remercié de les avoir alertées. L’Agence américaine de santé publique en charge du contrôle des maladies (CDC) a explicitement reconnu le problème de santé publique dans sa réponse (réponse 8). Le Directeur du National Institute of Health (20.000 salariés) a exprimé ses remerciements sur lettre à en-tête (réponse 2). En outre, la direction de l'Agence onusienne en charge de la dépollution du mercure dans l'environnement (UNEP) m'a informé qu'elle transmettait cette alerte à l'OMS et à l'OIT (réponse 4). Et enfin, de très nombreuses Agences de santé européennes ont également accusé réception de ce problème de santé publique. Les réponses sont placées en annexe Ib.
Cela fait depuis plus d'un an que j'alerte les Institutions françaises de ce problème majeur de santé publique dont le million de Français porteurs d'Alzheimer et des maladies apparentées seraient concernées car les métaux stockés en excès sont retrouvés à l'autopsie du cerveau et car les analyses biologiques validées (sans traitement) sont inopérantes pour les déceler du vivant du patient. Depuis mars 2021, date à laquelle l'Elysée m'a informé que le Ministère de la Santé et des Solidarités me communiquerait les éventuelles suites données à l'alerte, je n'ai pas encore reçu de réponse. Sur les dix mille personnes responsables auxquelles j'ai soumis l'alerte, j'ai certes reçu une centaine d'accusés de réception des plus hautes institutions et organismes gouvernementaux et internationaux, mais, à ce jour, je n'ai reçu aucune confirmation que ce problème de charge corporelle et d'analyses biologiques validées non fiables soit entré à l'ordre du jour.
Faute de mieux pour obtenir des aides sociales, je me suis orienté vers le Centre Médico-Psychologique. Mais le Psychiatre du Centre Médico-Psychologique m'a informé qu'un Psy était interdit de prendre en charge une personne intoxiquée. Quant à l'intoxication, je remue ciel et terre pour que je sois traité. Forcé à l'automédication, je tiens un blog (Forum Mélodie, Pseudo : Sophocle) de traitements personnels dont la longueur s'élève à 500.000 mots car les propositions médicales courantes ont été insuffisantes pour parvenir à un déstockage satisfaisant des métaux lourds organiques et inorganiques. J’estime le nombre de mes traitements contre les métaux inorganiques à 100 doses standards mensuelles avant de parvenir à un seuil de symptômes. J’indique cela pour donner une illustration de la profondeur de mon intoxication. Rappel : les diagnostics biologiques courants sont établis après l’administration d’une dose standard mensuelle.
Emaillés de complications à répétition pendant ces 5 dernières années, les traitements en automédication du mercure organique par les médecines traditionnelles (Ventouses, Ayurvéda) ont réussi à faire baisser mes de maux de tête. Comme les médecins généralistes français ne sont pas formés aux intoxications, je n'ai pas de médecin généraliste. J'obtiens une ordonnance en allant aux urgences et en informant le personnel que je me rends en Allemagne pour me faire enlever les métaux lourds (annexe B). Cela indique que toute la chaine hospitalière est au courant de ce problème de santé publique.
A ce jour, seuls 300.000 soldats américains intoxiqués ont réussi à obtenir des traitements conventionnels. Par imagerie des lésions, ces soldats ont obtenu ces traitements après 25 années de combats juridiques et politiques. Cela étaye que la toxicologie conventionnelle occidentale soit totalement incapable de déceler des intoxications sévères de masse dont la cause native peut être attribuée aux analyses biologiques validées et non fiables et dont les Centres antipoison français se justifient à l'insu du Gouvernement pour ne pas me traiter. Les analyses médicales validées et non fiable sont une faille médicale aux conséquences substantielles.
En dépit de mes signalements aux médecins, sans aucune aide, je me bats nécessairement seul au quotidien contre mes symptômes lourds depuis dix ans. Comme ces carences médicales sont ignorées par les médecins généralistes, j'ai ignoré que j'étais porteur d'une forte intoxication pendant six années. J'ai ignoré cette intoxication car la défaillance des diagnostics validés (sans traitement) a été masquée à l'ensemble du corps médical par les Centres antipoison. Pendant ces six années, l'intoxication n'a cessé de croître et d'infuser dans les recoins du corps. En 2012, le Professeur de médecine Dominique BELPOMME, spécialiste de l'électrosensibilité dont je suis porteur (voir certificat annexe Ca), m'a informé que mon tableau clinique se dirigeait vers Alzheimer. Cela a été confirmé par le rapport de l'Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (ANSES) de 2018 sur les personnes se déclarant électrosensibles (annexe Cb). Ce rapport ajoute également que le tableau clinique des personnes se déclarant électrosensibles est très proche de celui d’une intoxication aux métaux lourds. Cependant, faute de diagnostics fiables, les experts ont donc nécessairement déclaré qu’ils ignoraient les causes natives de l’électrosensibilité. L'absence de recherche de métaux lourds dans le corps par toute la communauté scientifique est le fait direct de la dissimulation de la défaillance des diagnostics validés par les Centres antipoison. Je rappelle que cette défaillance a déjà fait l'objet d'une polémique internationale en 1994 nommée "Polémique de la BBC" suite à un article scientifique nommé "Urinary mercury after administration of 2,3 dimercaptopropane-1-sulfonic acid: correlation with dental amalgame score" (voir références bibliographiques jointes au texte des Observations annexe Ia).
Cela fait maintenant 5 années que je sais que je suis intoxiqué au mercure par une série de diagnostics biologiques après traitements étalés sur quatre années et tous positifs au mercure (annexe F). Mais les traitements lourds et fastidieux ne sont pas encore arrivés à bout de mes symptômes caractéristiques. En dépit d’améliorations significatives, je suis actuellement atteint, entre-autre, de fibromyalgie, de trouble de la concentration et de difficulté de compréhension immédiate du monde et de compréhension des intentions d'autrui. Cela ressemble à un trouble autistique modéré. Cependant, mon apparente normalité de façade est un reste de la période d’avant intoxication. Autrement dit, y compris avec des personnes très compréhensives, je suis devenu peu capable d'initier ou d'entretenir des échanges sociaux. Les émotions et l’expression des émotions sont également très diminuées par l’intoxication ou par les séquelles de l’intoxication. De cela naît des agacements et des complications infinies avec les rares personnes avec lesquelles j’échange. Depuis dix ans, je ne peux donc pas travailler à cause de mes symptômes. Pour tenter d’obtenir des aides sociales dont l’examen est en cours, le Psychiatre qui a établi le dossier médical m’a informé qu’il était nécessaire que je retire définitivement mon certificat d’électrosensibilité ainsi que mes diagnostics inquiétants de mercure du dossier de soumission car ces pièces annulent la procédure d’attribution des aides sociales.
Concernant les Centres antipoison,Par la confiscation du diagnostic, par la confiscation du traitement, et par la confiscation de la prévention des intoxications, ces Centres antipoison m’ont infligé une peine très lourde aux allures définitives.
- il est attendu qu'ils s'intéressent pleinement à la charge corporelle,
- il est choquant qu'ils aient nié la charge corporelle
à l'insu de la communauté scientifique,
à l'insu du Gouvernement,
et à l'insu de l’Assemblée Nationale qui signale la permanence de l'absence de traitement des intoxications chroniques,- il est choquant qu’ils aient fait la chasse aux hôpitaux qui traitaient la charge corporelle en mercure,
- il est choquant qu'ils aient préféré laisser les intoxiqués en errance médicale avec des symptômes lourds et des analyses biologiques inquiétantes au lieu d'alerter les pouvoirs publics. Il est à noter que les personnes laissées en errance par les Centres antipoison sont celles-là mêmes que l’Assemblée Nationale avait souhaité les en sortir dès 2013. Il est également à noter que c’est avec les pratiques officielles établies par la Société de Toxicologie Clinique à la demande du Gouvernement pour sortir les personnes de l’errance médicale que les Centres antipoison se justifient à l’insu du Gouvernement pour laisser ces personnes en errance médicale. Les Centres antipoison ont donc fait valider par le Gouvernement des pratiques de prise en charge qui se dirigent diamétralement à l'opposé des intentions du Gouvernement,
- il est choquant qu’ils aient laissés passer les intoxiqués pour des affabulateurs,
- et, il est écœurant qu'ils aient entravé les traitements des éventuels co-facteurs des maladies neurodégénératives.
En m'invitant à me rapprocher d'un médecin généraliste qui pourra utilement m'orienter vers une structure adaptée à ma pathologie, le Procureur de la République qui a instruit ma plainte de mise en danger de 2020 dévoile qu'il ignore que les Centres antipoison ont obtenu que le traitement des métaux lourds sur le territoire français soit totalement confisqué. En février 2021, j'ai certes soumis l'alerte à ce Procureur (annexes E), mais je n'ai pas reçu de réponse. En l'état actuel des choses, j'ai l'impression que les Centres antipoison peuvent sacrifier ma santé et celle des Français. J'ai également l'impression que ces Centres antipoison peuvent interdire le traitement sur le territoire à l'insu des efforts répétés des institutions ; le tout sous les yeux de la Justice.
Comme les médecins et des thérapeutes (naturopathes, …) Allemands traitent les métaux lourds dans leurs cabinets (voir site https://www.metallausleitung.de), j'insiste auprès de vous pour que la Justice se saisisse de la question du zèle des Centres antipoison et des analyses médicales validées non fiables car le déni de la charge corporelle en métaux lourds par la toxicologie conventionnelle est éligible aux conséquences les plus funestes de l’histoire de l’humanité.
Il s'agit de l'infraction prévue par l'article 223-1 du Code Pénal. C'est pourquoi, je dépose plainte contre "X" pour les faits de mise en danger de la vie d'autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement.
Je me constitue partie civile entre vos mains. Conformément à l'article 88 du code de procédure pénale, compte tenu de mes faibles ressources, (incapacité à travailler depuis 2012 et donc aucune ressource professionnelle – voir certificat électrosensibilité à l’annexe Ca et mes diagnostics biologiques à l’annexe F), et eu égard à l'importance de l'affaire, je vous demande d'être dispensé de payer une consignation à verser au greffe. Quant à l'aide juridictionnelle, j'envisage de la soumettre prochainement.
Je vous prie d’accepter, Madame ou Monsieur le Doyen des Juges d'instruction près le Tribunal Judiciaire de Paris, l’expression de mes respectueuses et sincères salutations.
(Sophocle)
Annexes :A. Archives des Institutions
Présenté en un exemplaire au SAUJ du Tribunal Judiciaire de Paris.a. Question-Réponse de l'Assemblée Nationale des 7 mai 2013 et 11 octobre 2016 (1 feuille avec 2 pages sur le recto)
B. CR des Urgences (Ordonnance en ville délivrée)- Novembre 2019
b. Extrait du PNSE3 2015 (1 feuille avec la page de garde et 1 feuille avec l'action 21 sur 2 pages)
C. Electrosensibilitéa. Certificat d’électrosensibilité délivré par le Professeur Dominique BELPOMME – Novembre 2012
D. Avis de Classement sans suite par le Procureur (3 fév 2021) & plainte et compléments (à partir du 4 fév 2020)
b. Extrait du Rapport de l’ANSES sur l’électrosensibilité (chap. Métaux lourds ; p202 à 204) – Mars 2018
E. Correspondance au Procureura. dans laquelle est exprimé que les Observations sur les analyses médicales validées mais non fiables lui sont soumises (12 fév 2021) (1 feuille avec 2 pages sur le recto)
F. Diagnostics biologiques post-traitement
b. Tampon SAUJ (12 fév 2021) (1 feuille avec 1 page)a. Récapitulatif avec les excès en nombre de fois la base
G. Dossier de consultation au Centre antipoison
b. Diagnostic biologique post-traitement - Septembre 2014
c. Diagnostic biologique post-traitement - Octobre 2015
d. Diagnostic biologique post-traitement - Avril 2016
e. Diagnostic biologique post-traitement - Décembre 2018a. Transmission des diagnostics allemands au Centre antipoison (mai 2019)
H. Avis d'imposition 2018, 2019, 2020
b. Confirmation de rendez-vous – (Mars 2020 - reporté en juin cause covid)
c. Liste des appels 2014 à 2020
7 tentatives d'alertes :Juillet 2014 – avorté dès l'appel
d. CR de consultation (notes manuscrites de la main du médecin)
Aout 2014 – avorté dès l'appel
Avril 2016 – avorté dès l'appel
Novembre 2018 – avorté dès l'appel
Mai 2019 – consultation téléphonique sommaire qui a avorté dès que j'ai évoqué les amalgames dentaires comme cause.
Octobre 2019 – avorté dès l'appel
Janvier 2020 – J'ai entamé la discussion par des menaces de plainte, la consultation a été accordée sur le champ
e. Article des Bonnes pratiques de la STC cité dans le CR de consultation
I. Observations scientifiques généralesa. Texte des Observations (ANALYSES MEDICALES VALIDEES MAIS NON FIABLES (12pages) + Références bibliographiques (31 pages)
J. Carte d’identité
b. Réponses aux Observations (110 réponses – 49 pages )
EDIT 1
ACCUSE DE RECEPTION
Dans le Complément n°1, j' a écrit:Dans la plainte du 31 janvier 2022, j'évoque une décision en attente de la M.D.P.H. Cette décision a été attribuée le 9 février 2022. Au dépôt de plainte du lundi 31 janvier 2022, je remets donc un complément concernant la décision de la M.D.P.H. de m'attribuer un taux d'incapacité compris entre 50% et 79%.
Dans le Complément n°2, j' a écrit:J'ai transmis une copie de la plainte à Madame RATIGNIER-CARBONNEIL, Directrice Générale de l'A.N.S.M. Dans sa réponse, Madame la Directrice m'indique que les informations que je rapporte seront instruites par ses services et qu'elle me remettra les conclusions de l'instruction. Dès réception de ces conclusions, je vous les remettrai.
Dans le Complément n°3, j' a écrit:Afin de vous soumettre une proposition de durée du préjudice que je prétends subir, je souhaite vous remettre une copie d'un récent rapport d'analyses biologiques des métaux corporels. Ces analyses ont été réalisées après un traitement des métaux. Ces analyses sont un complément aux analyses (2014, 2015, 2016, 2018) qui ont déjà été déposées en annexe de la plainte du 31 janvier 2022.
Les valeurs indiquées sur ce rapport suggèrent que l'intoxication aux métaux lourds (Mercure, Plomb, Arsenic) dont je me plains court encore à ce jour. Cela fait donc huit années que, lors des traitements des métaux, j'excrète des métaux lourds. J'ajoute que cela fait quatorze années que je me plains de symptômes caractéristiques d'une intoxication aux métaux lourds. Pour bien encadrer le contexte, je rappelle que, en dépit de mes très nombreux signalements et en dépit de médecines efficaces, aucun médecin conventionnel français n'a pu ou voulu m'aider pour extraire les métaux lourds dont je suis porteur.
Dans le complément n°4, j' a écrit:Je souhaite vous informer que, le 12 mai 2021, j'ai soumis un commentaire à la consultation publique de l'ANSES sur la 5G. Ce commentaire dénonçait des analyses médicales validées mais non fiables qu'utilise l'ensemble de la communauté scientifique pour établir les conclusions des études de santé. Or, cette défaillance est peut-être la cause du refus de traitement de la majorité des maladies chroniques dont celle de l'électrosensibilité.
Or, lors de la publication au 17 février 2022 des commentaires soumis à la consultation publique sur la 5G, les équipes de l'ANSES n'ont pas retenu mon commentaire. De plus, la communication publique des commentaires par l'ANSES se veut rassurante.
Je souhaite vous exprimer que l'absence de publication de ce commentaire par l'ANSES est un refus délibéré de traiter des problèmes de santé publique liés aux analyses médicales validées mais non fiables.
J'ai souhaité vous informer de cela pour vous indiquer que vous êtes le dernier recours pour sortir les personnes intoxiquées d'une errance médicale inextricable.
En pièce jointes, sont placés :
o l'accusé de réception automatique que l'ANSES délivre par courrier électronique lors des soumissions,
o l'accusé de réception de ce commentaire par la Cheffe de Cabinet du Directeur Général de l'ANSES après que j'ai adressé ce texte aux membres de la Direction Générale par courrier électronique,
o la communication publique de l'ANSES sur les commentaires reçus,
o une copie du commentaire que j'ai soumis via la page internet de l'Anses sur la consultation publique de l'ANSES sur la 5G.