TOXICOLOGIE EN TOC.

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

PLAINTE AU DOYEN DES JUGES

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 13:36

En Justice, Le Doyen des Juges d'instruction est un recours après qu'une plainte soit classée sans suite par le Procureur.
La Justice a instauré cette procédure car les Procureurs ne sont pas indépendants de l'Exécutif.
La Justice a donc installé une saisine par le plaignant après un classement sans suite par le Procureur.
(Il me semble que l'Affaire du sang contaminé a été initiée par cette procédure).
Rappel : une plainte contre un service de l'Etat est nécessairement classée sans suite.
Comme ma plainte visait un service de l'Etat (Centre Antipoison), elle a donc été classée sans suite pour cette raison.
Cependant, ma plainte n'indiquait pas encore que le Gouvernement avait demandé à ce que les intoxiqués soient sortis de l'errance médicale par les Centres Antipoison.
Cela renverse la situation car les services de l'Etat qui se moquent du Gouvernement ne bénéficient nécessairement pas de l'impunité des services de l'Etat.


Au Doyen des Juges d'instruction, j' a écrit:
PLAINTE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE



Paris, le lundi 31 janvier 2022.


Madame ou Monsieur le Doyen des Juges d'instruction,
j'ai l'honneur d'exposer les faits suivants :


Suite à ma consultation médicale, le centre antipoison m'a informé que les analyses médicales validées sur lesquelles se fondent l'ensemble de la communauté scientifique sont inopérantes pour exprimer une représentation fiable de la charge corporelle en métaux lourds. Avec les analyses médicales validées (sang, urine, cheveux, ongles et strictement sans traitement), sur lesquelles le Centre antipoison confirme qu'il se base exclusivement, une forte charge en mercure stocké dans les organes, dont le cerveau, passe inaperçue. En dépit que le traitement du mercure traite partiellement le cerveau, les Centres antipoison confirment qu'ils ne traitent jamais les personnes porteuses de symptômes lourds et caractéristiques d'une intoxication au mercure et qui sont porteuses d'analyses biologiques après traitement très inquiétantes car ces analyses ne sont pas validées. En dépit du fait que les traitements existent, c'est au titre de la défaillance des analyses médicales validées (sans traitement) que le Centre antipoison m'informe qu'il ne me traitera pas.

Nota, pour toute information scientifique évoquée dans ce texte, une argumentation détaillée et justifiée est placée à l'annexe Ia : "Obsevations sur les analyses médicales validées mais non fiables".

Je rappelle que les symptômes d'une intoxication aux métaux lourds s'expriment de façon permanente tant que les métaux lourds n'ont pas été excrétés par le traitement. Voici la liste des symptômes caractéristiques : fatigue, insomnie, faiblesse musculaire, douleurs articulaires, éruptions cutanées, dérèglements intestinaux, maux de tête, problèmes de mémoire, difficultés de concentration. Je suis actuellement porteur de ces symptômes.

De plus, en 2015, en dépit du fait que les médecins de ville des pays frontaliers traitent les métaux lourds dans leurs cabinets, les centres antipoison français ont proféré des menaces publiques envers des médecins hospitaliers qui traitaient les intoxications corporelles au mercure suggérées par des analyses biologiques après traitement. Suite à ces menaces, l'unique service conventionnel qui traitait les personnes porteuses de métaux lourds sur le territoire français a fermé. Il est donc impossible de traiter le cerveau et les autres organes par voie conventionnelle sur le territoire français. De plus, en 2015, suite à l’alerte de l’Assemblée Nationale (Question 26233 de la 14è Législature – annexe Aa), le Gouvernement français a demandé à la société de toxicologie domiciliée à l'adresse du Centre antipoison de Paris (STC – annexe Ab) de proposer un traitement pour prendre en charge les personnes fortement imprégnées de mercure. A l'insu du Gouvernement, les centres antipoison ont donc imposé aux Français des pratiques médicales qui évitent soigneusement de traiter 90% du corps. Chez les Centres antipoison, seul le sang est traité. Ce cas de figure apparait, par exemple, pour les personnes qui ont ingéré de l'Arsenic en grande quantité. Cependant, pour les ouvriers qui travaillent durablement dans des usines de recyclage du plomb, le plomb qui s'installe peu-à-peu dans le corps n'est jamais traité en dépit de la mort prématurée de ces ouvriers et en dépit de leurs symptômes très alarmants en fin de vie.

Depuis 2014, j'ai signalé mon état très alarmant auprès du Centre antipoison tous les ans. Le Centre antipoison m'a raccroché au nez à chaque appel. C'est seulement après avoir menacé de porter plainte en 2020 que j'ai pu obtenir une consultation médicale. C'est à l'issue de cette consultation que le Centre antipoison m'a communiqué un article scientifique largement ignoré des professionnels de santé dans lequel ces larges restrictions de traitement sont consignées (annexe Ge). En 2020, j'ai porté plainte pour mise en danger, mais l'instruction du Procureur a abouti à une absence d'infraction (annexe D).

J'ai alerté l'Elysée et de très nombreuses agences de santé françaises, européennes, américaines et onusiennes de ce problème de santé publique (annexes I). En réponse, l'Elysée m'a informé qu'il se saisissait de la question (réponse 1). Les Directions Générales des trois Agences publiques américaines de santé, qui établissent les références médicales que le reste du monde récupère, m'ont également remercié de les avoir alertées. L’Agence américaine de santé publique en charge du contrôle des maladies (CDC) a explicitement reconnu le problème de santé publique dans sa réponse (réponse 8). Le Directeur du National Institute of Health (20.000 salariés) a exprimé ses remerciements sur lettre à en-tête (réponse 2). En outre, la direction de l'Agence onusienne en charge de la dépollution du mercure dans l'environnement (UNEP) m'a informé qu'elle transmettait cette alerte à l'OMS et à l'OIT (réponse 4). Et enfin, de très nombreuses Agences de santé européennes ont également accusé réception de ce problème de santé publique. Les réponses sont placées en annexe Ib.

Cela fait depuis plus d'un an que j'alerte les Institutions françaises de ce problème majeur de santé publique dont le million de Français porteurs d'Alzheimer et des maladies apparentées seraient concernées car les métaux stockés en excès sont retrouvés à l'autopsie du cerveau et car les analyses biologiques validées (sans traitement) sont inopérantes pour les déceler du vivant du patient. Depuis mars 2021, date à laquelle l'Elysée m'a informé que le Ministère de la Santé et des Solidarités me communiquerait les éventuelles suites données à l'alerte, je n'ai pas encore reçu de réponse. Sur les dix mille personnes responsables auxquelles j'ai soumis l'alerte, j'ai certes reçu une centaine d'accusés de réception des plus hautes institutions et organismes gouvernementaux et internationaux, mais, à ce jour, je n'ai reçu aucune confirmation que ce problème de charge corporelle et d'analyses biologiques validées non fiables soit entré à l'ordre du jour.

Faute de mieux pour obtenir des aides sociales, je me suis orienté vers le Centre Médico-Psychologique. Mais le Psychiatre du Centre Médico-Psychologique m'a informé qu'un Psy était interdit de prendre en charge une personne intoxiquée. Quant à l'intoxication, je remue ciel et terre pour que je sois traité. Forcé à l'automédication, je tiens un blog (Forum Mélodie, Pseudo : Sophocle) de traitements personnels dont la longueur s'élève à 500.000 mots car les propositions médicales courantes ont été insuffisantes pour parvenir à un déstockage satisfaisant des métaux lourds organiques et inorganiques. J’estime le nombre de mes traitements contre les métaux inorganiques à 100 doses standards mensuelles avant de parvenir à un seuil de symptômes. J’indique cela pour donner une illustration de la profondeur de mon intoxication. Rappel : les diagnostics biologiques courants sont établis après l’administration d’une dose standard mensuelle.

Emaillés de complications à répétition pendant ces 5 dernières années, les traitements en automédication du mercure organique par les médecines traditionnelles (Ventouses, Ayurvéda) ont réussi à faire baisser mes de maux de tête. Comme les médecins généralistes français ne sont pas formés aux intoxications, je n'ai pas de médecin généraliste. J'obtiens une ordonnance en allant aux urgences et en informant le personnel que je me rends en Allemagne pour me faire enlever les métaux lourds (annexe B). Cela indique que toute la chaine hospitalière est au courant de ce problème de santé publique.

A ce jour, seuls 300.000 soldats américains intoxiqués ont réussi à obtenir des traitements conventionnels. Par imagerie des lésions, ces soldats ont obtenu ces traitements après 25 années de combats juridiques et politiques. Cela étaye que la toxicologie conventionnelle occidentale soit totalement incapable de déceler des intoxications sévères de masse dont la cause native peut être attribuée aux analyses biologiques validées et non fiables et dont les Centres antipoison français se justifient à l'insu du Gouvernement pour ne pas me traiter. Les analyses médicales validées et non fiable sont une faille médicale aux conséquences substantielles.

En dépit de mes signalements aux médecins, sans aucune aide, je me bats nécessairement seul au quotidien contre mes symptômes lourds depuis dix ans. Comme ces carences médicales sont ignorées par les médecins généralistes, j'ai ignoré que j'étais porteur d'une forte intoxication pendant six années. J'ai ignoré cette intoxication car la défaillance des diagnostics validés (sans traitement) a été masquée à l'ensemble du corps médical par les Centres antipoison. Pendant ces six années, l'intoxication n'a cessé de croître et d'infuser dans les recoins du corps. En 2012, le Professeur de médecine Dominique BELPOMME, spécialiste de l'électrosensibilité dont je suis porteur (voir certificat annexe Ca), m'a informé que mon tableau clinique se dirigeait vers Alzheimer. Cela a été confirmé par le rapport de l'Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (ANSES) de 2018 sur les personnes se déclarant électrosensibles (annexe Cb). Ce rapport ajoute également que le tableau clinique des personnes se déclarant électrosensibles est très proche de celui d’une intoxication aux métaux lourds. Cependant, faute de diagnostics fiables, les experts ont donc nécessairement déclaré qu’ils ignoraient les causes natives de l’électrosensibilité. L'absence de recherche de métaux lourds dans le corps par toute la communauté scientifique est le fait direct de la dissimulation de la défaillance des diagnostics validés par les Centres antipoison. Je rappelle que cette défaillance a déjà fait l'objet d'une polémique internationale en 1994 nommée "Polémique de la BBC" suite à un article scientifique nommé "Urinary mercury after administration of 2,3 dimercaptopropane-1-sulfonic acid: correlation with dental amalgame score" (voir références bibliographiques jointes au texte des Observations annexe Ia).

Cela fait maintenant 5 années que je sais que je suis intoxiqué au mercure par une série de diagnostics biologiques après traitements étalés sur quatre années et tous positifs au mercure (annexe F). Mais les traitements lourds et fastidieux ne sont pas encore arrivés à bout de mes symptômes caractéristiques. En dépit d’améliorations significatives, je suis actuellement atteint, entre-autre, de fibromyalgie, de trouble de la concentration et de difficulté de compréhension immédiate du monde et de compréhension des intentions d'autrui. Cela ressemble à un trouble autistique modéré. Cependant, mon apparente normalité de façade est un reste de la période d’avant intoxication. Autrement dit, y compris avec des personnes très compréhensives, je suis devenu peu capable d'initier ou d'entretenir des échanges sociaux. Les émotions et l’expression des émotions sont également très diminuées par l’intoxication ou par les séquelles de l’intoxication. De cela naît des agacements et des complications infinies avec les rares personnes avec lesquelles j’échange. Depuis dix ans, je ne peux donc pas travailler à cause de mes symptômes. Pour tenter d’obtenir des aides sociales dont l’examen est en cours, le Psychiatre qui a établi le dossier médical m’a informé qu’il était nécessaire que je retire définitivement mon certificat d’électrosensibilité ainsi que mes diagnostics inquiétants de mercure du dossier de soumission car ces pièces annulent la procédure d’attribution des aides sociales.

Concernant les Centres antipoison,
  • il est attendu qu'ils s'intéressent pleinement à la charge corporelle,
  • il est choquant qu'ils aient nié la charge corporelle
      à l'insu de la communauté scientifique,
      à l'insu du Gouvernement,
      et à l'insu de l’Assemblée Nationale qui signale la permanence de l'absence de traitement des intoxications chroniques,
  • il est choquant qu’ils aient fait la chasse aux hôpitaux qui traitaient la charge corporelle en mercure,
  • il est choquant qu'ils aient préféré laisser les intoxiqués en errance médicale avec des symptômes lourds et des analyses biologiques inquiétantes au lieu d'alerter les pouvoirs publics. Il est à noter que les personnes laissées en errance par les Centres antipoison sont celles-là mêmes que l’Assemblée Nationale avait souhaité les en sortir dès 2013. Il est également à noter que c’est avec les pratiques officielles établies par la Société de Toxicologie Clinique à la demande du Gouvernement pour sortir les personnes de l’errance médicale que les Centres antipoison se justifient à l’insu du Gouvernement pour laisser ces personnes en errance médicale. Les Centres antipoison ont donc fait valider par le Gouvernement des pratiques de prise en charge qui se dirigent diamétralement à l'opposé des intentions du Gouvernement,
  • il est choquant qu’ils aient laissés passer les intoxiqués pour des affabulateurs,
  • et, il est écœurant qu'ils aient entravé les traitements des éventuels co-facteurs des maladies neurodégénératives.
Par la confiscation du diagnostic, par la confiscation du traitement, et par la confiscation de la prévention des intoxications, ces Centres antipoison m’ont infligé une peine très lourde aux allures définitives.

En m'invitant à me rapprocher d'un médecin généraliste qui pourra utilement m'orienter vers une structure adaptée à ma pathologie, le Procureur de la République qui a instruit ma plainte de mise en danger de 2020 dévoile qu'il ignore que les Centres antipoison ont obtenu que le traitement des métaux lourds sur le territoire français soit totalement confisqué. En février 2021, j'ai certes soumis l'alerte à ce Procureur (annexes E), mais je n'ai pas reçu de réponse. En l'état actuel des choses, j'ai l'impression que les Centres antipoison peuvent sacrifier ma santé et celle des Français. J'ai également l'impression que ces Centres antipoison peuvent interdire le traitement sur le territoire à l'insu des efforts répétés des institutions ; le tout sous les yeux de la Justice.

Comme les médecins et des thérapeutes (naturopathes, …) Allemands traitent les métaux lourds dans leurs cabinets (voir site https://www.metallausleitung.de), j'insiste auprès de vous pour que la Justice se saisisse de la question du zèle des Centres antipoison et des analyses médicales validées non fiables car le déni de la charge corporelle en métaux lourds par la toxicologie conventionnelle est éligible aux conséquences les plus funestes de l’histoire de l’humanité.

Il s'agit de l'infraction prévue par l'article 223-1 du Code Pénal. C'est pourquoi, je dépose plainte contre "X" pour les faits de mise en danger de la vie d'autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement.
Je me constitue partie civile entre vos mains. Conformément à l'article 88 du code de procédure pénale, compte tenu de mes faibles ressources, (incapacité à travailler depuis 2012 et donc aucune ressource professionnelle – voir certificat électrosensibilité à l’annexe Ca et mes diagnostics biologiques à l’annexe F), et eu égard à l'importance de l'affaire, je vous demande d'être dispensé de payer une consignation à verser au greffe. Quant à l'aide juridictionnelle, j'envisage de la soumettre prochainement.

Je vous prie d’accepter, Madame ou Monsieur le Doyen des Juges d'instruction près le Tribunal Judiciaire de Paris, l’expression de mes respectueuses et sincères salutations.

(Sophocle)

Annexes :
    A. Archives des Institutions
      a. Question-Réponse de l'Assemblée Nationale des 7 mai 2013 et 11 octobre 2016 (1 feuille avec 2 pages sur le recto)
      b. Extrait du PNSE3 2015 (1 feuille avec la page de garde et 1 feuille avec l'action 21 sur 2 pages)
    B. CR des Urgences (Ordonnance en ville délivrée)- Novembre 2019
    C. Electrosensibilité
      a. Certificat d’électrosensibilité délivré par le Professeur Dominique BELPOMME – Novembre 2012
      b. Extrait du Rapport de l’ANSES sur l’électrosensibilité (chap. Métaux lourds ; p202 à 204) – Mars 2018
    D. Avis de Classement sans suite par le Procureur (3 fév 2021) & plainte et compléments (à partir du 4 fév 2020)
    E. Correspondance au Procureur
      a. dans laquelle est exprimé que les Observations sur les analyses médicales validées mais non fiables lui sont soumises (12 fév 2021) (1 feuille avec 2 pages sur le recto)
      b. Tampon SAUJ (12 fév 2021) (1 feuille avec 1 page)
    F. Diagnostics biologiques post-traitement
      a. Récapitulatif avec les excès en nombre de fois la base
      b. Diagnostic biologique post-traitement - Septembre 2014
      c. Diagnostic biologique post-traitement - Octobre 2015
      d. Diagnostic biologique post-traitement - Avril 2016
      e. Diagnostic biologique post-traitement - Décembre 2018
    G. Dossier de consultation au Centre antipoison
      a. Transmission des diagnostics allemands au Centre antipoison (mai 2019)
      b. Confirmation de rendez-vous – (Mars 2020 - reporté en juin cause covid)
      c. Liste des appels 2014 à 2020
      7 tentatives d'alertes :
        Juillet 2014 – avorté dès l'appel
        Aout 2014 – avorté dès l'appel
        Avril 2016 – avorté dès l'appel
        Novembre 2018 – avorté dès l'appel
        Mai 2019 – consultation téléphonique sommaire qui a avorté dès que j'ai évoqué les amalgames dentaires comme cause.
        Octobre 2019 – avorté dès l'appel
        Janvier 2020 – J'ai entamé la discussion par des menaces de plainte, la consultation a été accordée sur le champ
      d. CR de consultation (notes manuscrites de la main du médecin)
      e. Article des Bonnes pratiques de la STC cité dans le CR de consultation
    H. Avis d'imposition 2018, 2019, 2020
    I. Observations scientifiques générales
      a. Texte des Observations (ANALYSES MEDICALES VALIDEES MAIS NON FIABLES (12pages) + Références bibliographiques (31 pages)
      b. Réponses aux Observations (110 réponses – 49 pages )
    J. Carte d’identité
Présenté en un exemplaire au SAUJ du Tribunal Judiciaire de Paris.


EDIT 1
ACCUSE DE RECEPTION
2022-03-04-AR-PLAINTE.jpg
2022-03-04-AR-PLAINTE.jpg (105.32 Kio) Vu 16780 fois


Dans le Complément n°1, j' a écrit:Dans la plainte du 31 janvier 2022, j'évoque une décision en attente de la M.D.P.H. Cette décision a été attribuée le 9 février 2022. Au dépôt de plainte du lundi 31 janvier 2022, je remets donc un complément concernant la décision de la M.D.P.H. de m'attribuer un taux d'incapacité compris entre 50% et 79%.

Dans le Complément n°2, j' a écrit:J'ai transmis une copie de la plainte à Madame RATIGNIER-CARBONNEIL, Directrice Générale de l'A.N.S.M. Dans sa réponse, Madame la Directrice m'indique que les informations que je rapporte seront instruites par ses services et qu'elle me remettra les conclusions de l'instruction. Dès réception de ces conclusions, je vous les remettrai.

Dans le Complément n°3, j' a écrit:Afin de vous soumettre une proposition de durée du préjudice que je prétends subir, je souhaite vous remettre une copie d'un récent rapport d'analyses biologiques des métaux corporels. Ces analyses ont été réalisées après un traitement des métaux. Ces analyses sont un complément aux analyses (2014, 2015, 2016, 2018) qui ont déjà été déposées en annexe de la plainte du 31 janvier 2022.
Les valeurs indiquées sur ce rapport suggèrent que l'intoxication aux métaux lourds (Mercure, Plomb, Arsenic) dont je me plains court encore à ce jour. Cela fait donc huit années que, lors des traitements des métaux, j'excrète des métaux lourds. J'ajoute que cela fait quatorze années que je me plains de symptômes caractéristiques d'une intoxication aux métaux lourds. Pour bien encadrer le contexte, je rappelle que, en dépit de mes très nombreux signalements et en dépit de médecines efficaces, aucun médecin conventionnel français n'a pu ou voulu m'aider pour extraire les métaux lourds dont je suis porteur.

Dans le complément n°4, j' a écrit:Je souhaite vous informer que, le 12 mai 2021, j'ai soumis un commentaire à la consultation publique de l'ANSES sur la 5G. Ce commentaire dénonçait des analyses médicales validées mais non fiables qu'utilise l'ensemble de la communauté scientifique pour établir les conclusions des études de santé. Or, cette défaillance est peut-être la cause du refus de traitement de la majorité des maladies chroniques dont celle de l'électrosensibilité.
Or, lors de la publication au 17 février 2022 des commentaires soumis à la consultation publique sur la 5G, les équipes de l'ANSES n'ont pas retenu mon commentaire. De plus, la communication publique des commentaires par l'ANSES se veut rassurante.
Je souhaite vous exprimer que l'absence de publication de ce commentaire par l'ANSES est un refus délibéré de traiter des problèmes de santé publique liés aux analyses médicales validées mais non fiables.
J'ai souhaité vous informer de cela pour vous indiquer que vous êtes le dernier recours pour sortir les personnes intoxiquées d'une errance médicale inextricable.
En pièce jointes, sont placés :
o l'accusé de réception automatique que l'ANSES délivre par courrier électronique lors des soumissions,
o l'accusé de réception de ce commentaire par la Cheffe de Cabinet du Directeur Général de l'ANSES après que j'ai adressé ce texte aux membres de la Direction Générale par courrier électronique,
o la communication publique de l'ANSES sur les commentaires reçus,
o une copie du commentaire que j'ai soumis via la page internet de l'Anses sur la consultation publique de l'ANSES sur la 5G.

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ANNEXE A : ARCHIVES DES INSTITUTIONS

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 19:15

a) Question-Réponse de l'Assemblée Nationale des 7 mai 2013 et 11 octobre 2016 :
    L'Assemblée Nationale a écrit:QUESTION : M. Yves Nicolin interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'intoxication chronique aux métaux lourds qui, contrairement à la forme aiguë, n'est pas reconnue en France. Phénomène de plus en plus fréquent, l'intoxication aux métaux lourds se manifeste par une cohorte de pathologies en recrudescence. Dans la plupart des cas, le lien entre toxiques et morbidité est insoupçonné et les victimes, ni diagnostiquées ni soignées, errent dans le monde médical, avec un coût dramatique pour la société. L'effet cumulatif des métaux toxiques à faibles doses se conjugue au mélange des nombreux toxiques environnementaux qui s'accumulent au fil du temps dans nos cellules et se potentialisent les uns les autres. Si l'on persiste à écarter ces deux paramètres, la France risque fort de détenir encore longtemps son record d'utilisation de psychotropes et du nombre de maladies étiquetées « psy ». Dans ce contexte, il aimerait savoir pourquoi ces intoxications chroniques ne sont pas encore reconnues officiellement et si, par ailleurs, le remboursement partiel ou total des soins n'est pas envisageable à terme.
    En réponse, la Ministre de la Santé a écrit:L'appellation métaux lourds n'a pas de définition scientifique ou juridique précise. Elle inclut couramment trois métaux qui présentent une certaine toxicité pour l'homme et qui n'ont, par ailleurs, aucune utilité dans le processus biologique : le plomb, le cadmium et le mercure. Les effets de l'exposition chronique à ces métaux sont connus : il peut s'agir, en fonction du métal, d'atteintes de la fonction rénale, d'atteintes du système nerveux central, de troubles de la reproduction, de fragilité osseuse, de maladies cardiovasculaires, de cancers… Les enquêtes de biosurveillance permettent d'estimer l'exposition de la population à ces métaux par leur dosage dans le sang, l'urine ou les cheveux, sur un échantillon représentatif de participants. L'étude nationale nutrition santé (ENNS) publiée en 2011 par l'Institut de veille sanitaire a permis ainsi de constater une forte baisse de la concentration sanguine en plomb de la population adulte, confirmée par l'étude Saturn-Inf menée chez les enfants et publiée la même année et par les premiers résultats du volet périnatal du programme national de biosurveillance sur les plombémies de femmes enceintes et de leurs enfants in uteroen 2011. La prévalence du saturnisme infantile est ainsi passée de 2 % en 1995 à 0,1 % en 2009 soit une division par vingt. Cette forte baisse est liée aux nombreuses actions menées pour diminuer l'exposition de la population : suppression de l'essence au plomb, amélioration de l'habitat (peintures anciennes à base de plomb), suppression de canalisations en plomb, amélioration du traitement des eaux de distribution, diminution des teneurs en plomb des aliments. Pour le cadmium, les niveaux d'imprégnation observés dans ENNS sont assez similaires à ceux observés dans des études françaises précédentes et dans d'autres études conduites en Europe et aux États-Unis. Pour le mercure, les concentrations dans les cheveux sont supérieures à celles des allemands et des américains mais inférieures à celles des espagnols, ces résultats traduisant probablement la différence de consommation de poisson dans ces pays. L'alimentation reste actuellement la source principale d'apport en métaux pour la population générale. L'étude de l'alimentation totale (EAT2) publiée en 2011 par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, montre une diminution de l'apport alimentaire pour le plomb et le mercure mais une augmentation pour le cadmium, du fait de concentrations qui seraient plus élevées dans les produits céréaliers. Outre l'alimentation, certaines populations peuvent être exposées à des sources particulières de métaux lourds : activités professionnelles ou de loisir, peintures et poussières de l'habitat ancien (plomb), fumée de cigarette (cadmium, plomb), sols pollués (plomb, cadmium), plats traditionnels en céramique artisanale (plomb) … Le suivi médical des personnes exposées dans leur activité professionnelle est organisé dans le cadre de la médecine du travail, et les pathologies induites par le plomb, le cadmium, le mercure ou leurs composés sont reconnues et indemnisées comme maladies professionnelles. En revanche, hors contexte professionnel, la surexposition aux métaux lourds n'est pas facile à repérer, du fait des symptômes tardifs et non spécifiques. L'épidémie de saturnisme infantile mise en évidence au milieu des années 1980 a entrainé la mise en place d'un dispositif de dépistage et de prise en charge médicale et environnementale basé sur l'analyse du plomb sanguin, prise en charge à 100 % par l'Assurance maladie. Le dépassement d'une valeur de plombémie de 50 microgrammes par litre chez une personne mineure est obligatoirement déclaré au médecin de l'agence régionale de santé (ARS) désigné par le directeur général de l'agence. L'ARS ou, le cas échéant, le service communal d'hygiène et de santé procède immédiatement à une enquête afin d'identifier les sources d'exposition. Selon les résultats de cette enquête, l'ARS fait réaliser des actions pour les supprimer et, lorsque des peintures sont à l'origine de l'intoxication, le préfet met en œuvre une procédure administrative d'urgence ayant pour but de soustraire l'enfant à la source de plomb. La prise en charge médicale a été définie de façon précise en fonction de la plombémie, suite aux recommandations de la Haute autorité de santé. Les situations de forte exposition environnementale au cadmium sont plus rares. Leur prise en charge médicale n'est pas définie précisément et leur dosage dans les matrices biologiques ne figure pas sur la liste des actes de biologie médicale pris en charge par l'assurance maladie. Le mercure et ses composés sont toxiques pour le cerveau, le système nerveux, la vision, l'ouïe, les reins, les poumons, le système immunitaire et le système cardio-vasculaire. On ne connaît pas de niveau d'exposition au mercure élémentaire qui soit sans risque pour le corps humain, des effets pouvant être constatés même à de très faibles concentrations. Des situations d'exposition au mercure sont connues en Guyane, compte tenu d'une activité d'orpaillage. Des travaux en cours qui doivent aboutir à la fin de l'année 2016, s'inscrivant dans le cadre du PNSE 3 (2015 -2019), doivent permettre d'évaluer l'intérêt d'étendre le dépistage de l'imprégnation au mercure chez les femmes en âge de procréer voire chez les enfants de moins de 7 ans dans l'ensemble des zones à risque en Guyane et d'élaborer des recommandations de bonnes pratiques pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure.

    Source : http://questions.assemblee-nationale.fr ... 6233QE.htm, COPIE PDF

b)Extrait du P.N.S.E.3 2015 PLAN NATIONNAL DE SANTE ENVIRONNEMENTALE
Dans le PNSE, il y a écrit:Action n°21 : élaborer des recommandations de bonnes pratiques pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure.
La découverte de forts taux de mercure chez des femmes enceintes peut nécessiter une prise en charge médicale, pour la mère et l’enfant.
Pilote : DGS
Partenaires : Société de toxicologie clinique (STC), HAS
Indicateur de moyens de l’action : saisine de la STC
Indicateur de réalisation de l’action : publication des recommandations d’ici fin 2015

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ANNEXE B : CR DES URGENCES

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 19:48

Image


(Ce CR rapporte que les urgences délivrent des ordonnances aux Français qui se présentent comme étant traitées en Allemagne pour une intoxication aux métaux lourds.
Rappel : lors de l'un de mes incidents, je m'étais amusé à me rendre aux urgences.
En échange, le médecin des urgences m'a gentiment donné un compte-rendu dans lequel il octroie une ordonnance en ville aux patients qui prétendent être intoxiqués aux ml...
De plus, les relevés (rythme cardiaque, oxygénation) sont très inquiétants.
J'ai donc placé ce document dans la plainte pour illustrer les actions compensatoires que déploient les Urgences aux défaillances des Centres Antipoison.
Il est nécessaire que je précise que le Centre Antipoison qui m'ont laissé pour mort pendant 10 ans et les Urgences auxquelles je me suis rendu sont hébergées au même Hôpital : Lariboisière. [img]smile/hapface01.gif[/img] )

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ANNEXE C : ELECTROSENSIBLILTE

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 20:14

CERTIFICAT EHS
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EXTRAIT DU RAPPORT DE L'ANSES
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ANNEXE D : PLAINTE ET CLASSEMENT SANS SUITE

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 20:21

CLASSEMENT SANS SUITE
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PLAINTE :
    Depuis 2008, j'ai eu plusieurs symptômes telles que fatigues maux de tête, insomnies, apraxie, aphasie, agnosie, hypo-tension, électro-sensibilité de manière chronique. Ces symptômes se sont aggravés depuis 2008. J’ai dû arrêter de travailler en 2011. J'al consulté plusieurs médecins généralistes, mais je n'ai eu aucun diagnostique. En 2012, Un médecin cancérologue, le Docteur BELPOMME m'a diagnostique comme électro-sensible. En 2014, une amie m'a contacté pour me dire que son dentiste lui avait dit que les symptômes que j'avais pouvaient venir des amalgames. Elle m'a conseillé d'acheter un livre "la vérité sur les maladies émergentes" de Françoise CAMBEYRAC. Dans ce livre, tous mes symptômes correspondent à une intoxication aux métaux-lourd. Dans ce livre, il écrit de contacter l'éditeur pour avoir une liste de médecins qui sont sensibilisés aux questions relatives à l'intoxication aux métaux lourds. J'ai contacté le premier médecin que j'ai pu consulter. Il m'a expliqué que pour révéler une intoxication tissulaire chronique il fallait faire un test de provocation. Une intoxication tissulaire chronique ne peut pas être révélé par une prise de sang classique. Il faut prendre un traitement Chélateur avant de faire des tests. Ce traitement permet de faire sortir les métaux lourd des tissus. J'ai pris ce traitement puis j'ai fait un test urinaire. Ce test a été fait dans un labo en Allemagne. Ils font une analyse de 30 métaux et sur les résultats, j'ai un taux trop élevé de mercure, de plomb, d'arsenic et de cuivre. Le mercure et le cuivre proviennent des amalgames. Lorsque j'ai eu ces résultats en septembre 2014. J'ai contacté le centre antipoison ils m'ont indiqué qu'ils allaient me recontacter, ce qu'il n'ont jamais fait. J'ai pris le traitement pendant 2 ans. Il s'agit du DMPS. En 2015. J’ai rappelé le centre anti poison suite à de nouvelle analyse. Mais de nouveau ils m'ont dit qu'ils allaient me rappeler, ce qu'ils n'ont jamais fait. J'ai appelé 3 ou 4 fois de nouveau le centre antipoison, à chaque fois on m'indique que l'ont va me recontacter mais cela n'abouti jamais. En mai 2019, j'ai de nouveau appelé j'ai pu leur envoyer mes analyses par mail. Un médecin m'a appelé, et pendant 20 min, il m'a demandé de lui expliquer. Le médecin m'a demandé si j'étais chasseur ou fumeur, ce à quoi j'ai répondu non. J'ai alors dit au médecin que cela provenait des amalgames le médecin m'a alors répondu "vous êtes sur une ligne d'urgence, au revoir''. Le 30/12/2019, j'ai fait des analyses d'urines dans un labo Français. Mon taux de cuivre est trois fois plus élevé que la normale. J'ai rappelé le centre antipoison. Ils m'ont demandé de transmettre la copie des analyses par mail et ils m'ont dit qu'il allait me rappeler, ce qu'ils n'ont Jamais fait. Le 27/01 vers 18h00. J'ai de nouveau appelé le centre antipoison. Je les ai menacé de déposer plainte et on m'a alors communiquer le numéro des consultations. Le 28/01 vers 8h30. J'ai appelé le numéro des consultations pour avoir un rendez-vous, mais la secrétaire m'a indiqué que je n'avais pas de dossier chez eux. Elle m'a indiqué qu'elle allait me rappeler. Lorsqu'elle m'a rappelé plusieurs heures après, elle m'a indiqué que j'avais rendez-vous le 17/03/2020 à 10h00. Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24h sans avoir pris le traitement, ce qui va faire un faux négatif.

    Je voudrais modifier certaines déclarations. à savoir : Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24 heures, sans avoir précisé de prendre le traitement. Ce qui va faire un faux négatif. Je voudrais aussi rajouter des déclarations. à savoir : qu'en novembre 2018. Je consulte un médecin. Le docteur X qui appelle le centre antipoison Pour qu'ils prennent contact avec moi afin de convenir d'un rendez vous. Ce centre antipoison me rappel pour prendre rendez vous. J'indique que j'ai une intoxication aux métaux lourds, et que mes analyses sanguines sont négatives. La secrétaire me répond qu'il n'y aura pas de traitement. Je demande, à ce qu'un médecin confirme cela. Après un moment d'attente. Elle me dit qu'un médecin a confirmé. La discussion prend fin.

    Le février 2020, je suis venu à votre service afin de déposer plainte contre le centre Antipoison qui n'a pas voulu faire l'examen de mon intoxication des métaux-lourds et qui refuse de prendre en charge mon dossier. Suite à mes démarches j'ai réussi à obtenir un rendez-vous téléphonique auprès du Docteur X le 17/03/2020. La consultation téléphonique a eu lieu le 16/06/2020. Durant notre conversation téléphonique, je lui ai annoncé que j'ai une intoxication des métaux lourds, il avait mon dossier sous les yeux, j'ai demandé une reconnaissance et le traitement. Le médecin a répondu par la négative.

    Je veux joindre à ma procédure, une prise de note et une argumentation, établi par le médecin, qu'il m'a envoyé à ma demande. Dont je vous remets copie. Je précise que dans son argumentation, le médecin refuse de me traiter, en précisant qu'il agit conformément aux recommandations de bonne pratique. J'ai donc demandé les informations sur les recommandations de bonne pratique. Le médecin m'en a envoyé suite à ma demande. Ces recommandations stipulent explicitement le contraire de ce qu'il affirme. Je joins également la liste de mes 13 appels depuis le 21-07-2014, au centre antipoison de l'hôpital SAINT LOUIS. Au cours desquels ils ont refusé de me prendre, et en dépits des recommandations de bonnes pratiques qui recommandaient de me prendre. 
    [img]images/icones/icon2.gif[/img] COPIE PDF
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ANNEXE E : CORRESPONDANCE AVEC LE PROCUREUR

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 20:27

À : Madame X, vice-procureur
COUR D’APPEL DE PARIS
TRIBUNAL JUDICIAIRE DE PARIS
PARQUET DU PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE
4ème DIVISION
SECTION SI – Pôle santé publique
Parvis du Tribunal – 75859 PARIS Cedex 17



Paris, le 12 février 2021.

Madame le Procureur,
Dans votre information du 3 février 2021 (Parquet n°X, copie jointe), vous m’invitez à me rapprocher d’un médecin généraliste.
Or,
le 21 septembre 2020, j’ai soumis un complément d’infraction (P.V. : n°X copie jointe), dans lequel j’ai déclaré, citation :

« Je vous précise que depuis 2015, pour poser un diagnostic d'intoxication aux métaux lourds, il faut faire le traitement au souffre (traitement chélateur). Or il n'existe pas de service médical en France qui pratique ce genre de traitement. J'ai donc un diagnostic médical d'intoxication aux métaux lourds posé suite à des analyses effectuées en Allemagne. Je vous précise que le Centre Antipoison de Marseille a fait fermer un service de chélation du CHR d'Orléans, suite à ce que j'assimile à des menaces publiques, publiées sur le site "Sciences directes", titre de l'article "Dosage urinaire post-chélation des métaux lourds et pseudosciences : il faut agir !". Il est donc impossible d'effectuer des analyses conventionnelles à ce jour en France, mais en automédication, c'est possible ».

En dépit de mes diagnostics très inquiétants, je fais donc l’objet d’un refus de traitement de la part de l’ensemble de la médecine conventionnelle.



Cependant, j’ai récemment compris les motifs précis et celés pour lesquels je ne suis pas traité par la médecine conventionnelle : les valeurs de références de la charge corporelle des métaux stockés en population générale n’ont pas encore été établies par la toxicologie conventionnelle. Faute de références officielles, mes diagnostics inquiétants sont scientifiquement frappés de nullité. En dépit que cela est ubuesque, pour ces mêmes motifs, une personne qui excrèterait 1 kg de mercure au cours d’un unique traitement ferait l’objet du même refus. C’est la guérison qui fait que les médecins sont glorifiés, mais les refus de traitement pour motif d’absence de norme suscitent la stupeur. Interdire de remplir le réservoir d’essence parce que la jauge fait défaut relève de l’idiosyncrasie dont le monde entier s’en passe. Quant à interdire le traitement des métaux, parce que la jauge fait défaut, fait que les métaux en excès sont retrouvés post-mortem chez tous les Alzheimer. Entre 30 millions de français souffrants de maladies chroniques et entre l’incapacité de la science à produire une jauge, les médecins ne jouent donc pas leur rôle de pallier aux carences de la science.

Étayés par des références issues d’un traité de toxicologie, je vous soumets le détail de ces motifs sous forme d’observations jointes.

J’ai récemment soumis ces observations au délégué de la Défenseure des Droits.
En réponse, ce dernier a proposé à la Défenseur des Droits de se saisir du problème de santé que je soulève (voir correspondances jointes). Le bureau de la direction m’a récemment informé qu’il procédait à l’examen de ma réclamation.

J’ai également soumis ces observations à des élus ou à des responsables.
En réponse, des députés, un Président de collectivité, une conseillère territoriale, l’attachée de la Présidente de la commission des affaires sociales au Sénat, un secrétariat de mairie et un professeur du Collège de France ont bien voulu témoigner d’un accusé de réception. Ces accusés sont joints.

Si vous estimiez que mes diagnostics associés à ces observations ouvraient le droit à un recours, je vous prie de bien vouloir m’en informer.

Avec mes respectueux hommages, je vous prie d’accepter, Madame Le vice-procureur de la République près le Tribunal judiciaire de Paris, l’expression de ma considération la plus distinguée.

(Sophocle)

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ANNEXE F: DIAGNOSTICS BIOLOGIQUES POST-TRAITEMENT

Messagede Sophocle » Lun 31 Jan 2022 20:30

Diagnostiques personnels des métaux en excès en nombre de fois la norme
(exemple : x2 = 2 fois la norme)
Nota : les valeurs représentent des flux et non des stocks. Les valeurs n’indiquent donc pas une quantité totale du métal dans le corps.

EDIT1 : RECAPITULATIF
ANNEXE Fa - RECAP MICROTRACE.jpg
Cliquer pour agrandir
ANNEXE Fa - RECAP MICROTRACE.jpg (106 Kio) Vu 16577 fois




Décembre 2018 :
• mercure x30
• cuivre x10
• arsenic x8
• manganèse x3
• plomb x3
• nickel x2.5
• argent x2
• étain x2
Image

Avril 2016 :
• mercure x30
• cuivre x17
• plomb x8
• arsenic x6
• nickel x4
• manganèse x3
• strontium x2
Image

Octobre 2015 :
• mercure x30
• cuivre x12
• arsenic x8
• plomb x6
• manganèse x3
• nickel x2
Image

Septembre 2014 :
• mercure x30
• cuivre x8
• plomb x6
• arsenic x2
• étain x2
• manganèse x2
Image
Dernière édition par Sophocle le Mer 16 Mar 2022 20:53, édité 2 fois.
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ANNEXE G: DOSSIER DE CONSULTATION AU CENTRE ANTIPOISON

Messagede Sophocle » Mar 1 Fév 2022 12:23

CONFIRMATION DE RDV
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LISTE DES APPELS
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CR DE CONSULTATION
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ARTICLE DES BONNES PRATIQUES
Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs
CONSENSUS
MOTS CLÉS Mercure ; Métal ; Empoisonnement ; Agent chélateur
Mercure, plomb, arsenic, aluminium, cadmium, cobalt, chrome... L’inquiétude sur la présence dans notre environnement d’éléments approximativement désignés sous l’intituléde « métaux lourds » est de plus en plus répandue, relayée et amplifiée par les médiaset par internet. Cette peur est exploitée, y compris parfois dans la communauté médicale, chez un nombre croissant de patients en errance thérapeutique et sert de prétexte à de pseudo-diagnostics d’intoxication puis à divers et coûteux traitements non validés voire dangereux. Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.

Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le PLOMB, le MERCURE et l'ARSENIC. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :
    • de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;
    • et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la doseinterne du métal.

L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdesest associée à un risque élevé de certains cancers (parexemple, l’exposition à l’arsenic est associée à une augmentation des risques de carcinomes cutanés, de cancerbroncho-pulmonaire, de cancer des voies urinaires et deplusieurs types de tumeurs hépatiques), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, àce jour, de preuve qu’elle les prévienne. Contrairement à ce qu’affirment certaines publications para-scientifiques (et avec elles, certains praticiens), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, tellesque l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ouplusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

Les indicateurs biologiques d’exposition ou de la dose interne utilisés pour le diagnostic de l’intoxication par un élément métallique sont des paramètres scientifiquement validés. Des indicateurs de référence sont identifiés pourla surveillance des expositions et le diagnostic des intoxications par les principaux métaux et métalloïdes(1). Des bases de données nationales et internationales permettent d’identifier ces indicateurs et les valeurs de référence utilisables pour chacun d’entre eux (par exemple, en France, la base Biotox, publiée par l’Institut national de recherche etde sécurité [INRS]).

Les indicateurs biologiques d’exposition ou de dose interne qui ne sont pas validés ne peuvent être utilisés pour le diagnostic d’une contamination par un métal. Leur emploi dans ce but par un praticien ne peut traduire que l’ignorancede ce dernier [2]. Les exemples les plus fréquents de tests non validés improprement employés pour démontrer une contamination par un élément métallique sont la mesure de concentrations salivaires (éventuellement, après mastication), le dosage simultané d’un grand nombre d’éléments dans divers milieux et les tests de provocation. Ces derniers consistent à mesurer la quantité ou la concentration d’un élément dans les urines après l’administration d’un chélateur. Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie). La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée. Plusieurs sociétés savantes nord-américaines ont publié des mises au point destinées aux praticiens et au public sur l’emploi abusif de ces tests prétendument diagnostiques[3—5].

Pour que les résultats des analyses soient interprétables, les dosages de métaux doivent être réalisés dans le respect de règles strictes visant les conditions du prélèvement, de son transport et de sa conservation, ainsi que la qualité de l’analyse par le laboratoire. Celui-ci doit se conformer aux bonnes pratiques de laboratoire et avoir mis en place des procédures de contrôle de qualité internes et externes [6]. Le prescripteur doit s’assurer du respect de l’ensemble de ces procédures de contrôle de qualité. Une dizaine de laboratoires français des secteurs public et privé répartis sur le territoire national sont en capacité d’effectuer des dosages de qualité de tous les éléments métalliques d’intérêt. Le choix d’un laboratoire doit toujours être motivé et le recours à un laboratoire situé en dehors du territoire national doit être fondé sur des arguments techniques et/ou économiques précis.
Le dépassement de la valeur de référence en population générale d’un indicateur biologique d’exposition (ou de la dose interne) n’implique pas automatiquement l’indication d’un traitement chélateur. Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.

L’usage abusif de chélateurs, en l’absence d’indication validée, est une pratique rapidement croissante en Europe et en Amérique du Nord. Qu’elle traduise une dérive commerciale exploitant l’anxiété et la fragilité de certains patients ou seulement l’ignorance de l’état actuel des connaissances par les prescripteurs, c’est une conduite inacceptable. Elle est assez souvent aggravée par le fait que les mêmes praticiens proposent de fournir à leurs patients (et à des prix prohibitifs) :
    • des médicaments qui ne sont pas commercialisés enFrance, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;
    • des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues,coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline,vitamine C.
Aux États-Unis, après des essais inefficaces d’information des prescripteurs au cours des années 2000, certains organismes professionnels recommandent de pénaliser les prescriptions abusives [7].

(1) Par exemple, pour :
  • le plomb : la plombémie ;
  • le mercure inorganique, la concentration sérique ou urinaire du métal;
  • le mercure organique, la concentration du mercure dans le sang total ou dans les cheveux ;
  • l’arsenic inorganique, la somme des concentrations urinaires d’arsenic inorganique, d’acide mono-méthylarsonique et d’acide diméthylarsinique ou d’arsenic dans les cheveux.

Références
[1] McKay Jr CA. Introduction to special issue: use and misuse ofmetal chelation therapy. J Med Toxicol 2013;9(4):298—300.
[2] Seidel S, Kreutzer R, Smith D, McNeel S, Gilliss D. Assessment ofcommercial laboratories performing hair mineral analysis. JAMA2001;385:67—72.
[3] Ruha AM. Recommendations for provoked challenge urine testing. J Med Toxicol 2013;9:318—25.
[4] American college of medical toxicology. American college ofmedical toxicology position statement on post-chelator challenge urinary testing. J Med Toxicol 2010;6:74—5.
[5] Goldman RH, Woolf A. http://www.pehsu.net/documents/chelation therapy guidance general public goldman woolf2012.pdf
[6] Wang RY, Caldwell KL, Jones RL. Analytical considerations inthe clinical laboratory assessment of metals. J med toxicol2014;10:232—9.
[7] Burton BT. ACMT chelation position adopted by Oregon medicalboard. J Med Toxicol 2014;10:244.

COMMENTAIRE SOPHOCLE :
Page web : https://www.em-consulte.com/article/100 ... aux-ou-des
(non publique, article payant 30e en 2020, puis sur abonnement 55e 2021 - achat à l'unité indisponible)
Archive de la page web 25 mars 2021 : https://web.archive.org/web/20210325102 ... aux-ou-des
Le fait que cet article soit payant le rend invisible sur internet.
page web des CAP : http://www.centres-antipoison.net/
Webarchive : https://web.archive.org/web/20210227070 ... oison.net/


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ANNEXE I : OBSERVATIONS

Messagede Sophocle » Mar 1 Fév 2022 12:23

OBSERVATIONS
TITRE : ANALYSES MEDICALES VALIDEES MAIS NON FIABLES
RÉSUMÉ
En 2010, suite à la pratique croissante et non-conventionnelle des analyses post-traitements, dans un article dans lequel il laisse entendre que le sang n'est jamais représentatif du corps, un collège américain de toxicologie rappelle et confirme que, pour des raisons de rigueur scientifique, seul le sang doit être pris en compte pour évoquer un empoisonnement. En application stricte de ce consensus en place depuis de nombreuses décennies, la médecine conventionnelle américaine a donc durablement adressé une fin de non-recevoir, tant que le Congrès n'était pas intervenu en 2016, de leurs très nombreux et très lourds symptômes caractéristiques aux 300.000 soldats américains revenus empoisonnés de la guerre du Golfe de 1991.
D’un côté, les conséquences des particules oxydantes sont donc certes connues, cancers, Alzheimer, … Mais de l’autre côté, les cancéreux, les Alzheimer et les porteurs de symptômes d’empoisonnement font donc l’objet d’un refus définitif de traitement de ces particules.
Question, quels mécanismes sont-ils donc au travail pour que des millions de malades soient laissés sans l’encadrement de l’élimination des causes possibles de leurs maladies ?
Réponse, comme elle ne connaît pas la distribution exacte des particules oxydantes chez une personne précise, la médecine occidentale ne traite donc, chez personne, aucune cause possible. De plus, l’absence de traitement des causes possibles laisse entendre une prétendue absence de cause chez tous. En conclusion, par manichéisme dans le cabinet de consultation, les causes possibles de sa pathologie virent donc, analyses sanguines à l'appui, à l’absence de cause en face du patient.

NOTE LIMINAIRE
Cet article est donc composé en deux parties. La première partie traite le cas spécifique des métaux corporels. La deuxième partie traite de toutes les catégories de particules oxydantes en synergie. Cet article a certes été écrit dans son contexte français, mais, en raison des limites que la biologie impose à la science, son cadre général est valable pour tous les pays.

1 RÉFÉRENCES CORPORELLES DES MÉTAUX
1.1 ABSENCE DE RÉFÉRENCES CORPORELLES
Les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale demeurent, à ce jour, encore ignorées par la toxicologie conventionnelle [1]. De cela, il en découle que la charge toxique en métaux stockés (dont les métaux lourds) dans le corps n'existe officiellement pas. Faute de valeurs de référence, une personne porteuse d'un inquiétant stock corporel de métaux en excès par rapport à une personne en bonne santé n'est donc pas considérée comme intoxiquée.

1.2 RÉFÉRENCES DES ANALYSES BIOLOGIQUES
Afin de donner une existence officielle à une analyse médicale biologique, il est indispensable que des valeurs de référence de la charge corporelle en population générale soient dressées. Par exemple, une concentration en globules rouges relevée chez un individu est appréciée en comparaison à une fourchette de valeurs de référence issues d'une population générale en bonne santé. Sans référence spécifique en population générale, le relevé d'un examen chez un individu est non interprétable. Or, les valeurs de référence de la charge corporelle pour tout métal stocké dans la population générale n'ont pas encore été établies. Faute de valeurs officielles de référence, la comparaison est impossible. Faute de comparaison, une personne qui excrète une valeur inquiétante de mercure corporel par le traitement des métaux n'est pas considérée comme intoxiquée par exigence scientifique. Par la même occasion, chez un patient, les stocks de métaux en excès sont officiellement acquittés de toute accusation de cofacteur de ses maladies chroniques, autisme, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, fibromyalgie, addictions, diabète… Sur les 118 éléments du tableau périodique des éléments, seuls trois métaux ont fait l'objet de références corporelles validées en population générale, cuivre (maladie de Wilson), fer (hémochromatose), plomb (saturnisme). Cependant, sans des symptômes pré-caractérisés par une clinique, les excès de ces trois métaux ne sont pas considérés comme pathologiques [2].

1.3 INTOXICATION PASSÉE ET ANALYSES POST-TRAITEMENT
Il existe certes un diagnostic validé pour les métaux (calcium, sodium, cuivre, mercure, et les quatre-vingt-dix autre métaux et métalloïdes). En analysant le sang, l'urine, les ongles ou les cheveux, ce diagnostic se cantonne à une partie dont il n'a pas été prouvé qu'elle était représentative de la charge corporelle. Lors d'un diagnostic validé, les métaux en excès, indésirables, stockés en nuage dans un organe, passent tous inaperçus. Comme les matrices validées (sang, urine, ongles, cheveux) sont filtrées ou rapidement renouvelées, le diagnostic validé ne décèle qu'une exposition transitoire ou durable. Le diagnostic validé ne décèle absolument pas une charge corporelle. Le traitement permet justement de chasser peu à peu une partie de ce nuage stocké et d'excréter la partie chassée par voie naturelle. À ce jour, seules des analyses biologiques post-traitements permettent de déceler un inquiétant stock de métaux sédimentés par des années d'intoxication douce et passée dont les symptômes se manifestent par des moindres changements [3] jusqu'à éventuellement des phases aigües tardives ou durablement installées ou par des troubles neuro-comportementaux [4].

1.4 RÉFÉRENCES ORPHELINES ET PREUVE
Selon les sociétés françaises de toxicologie (Société de Toxicologie Clinique (STC) et Société Française de Toxicologie Analytique (SFTA)), l'administration du traitement des métaux augmente l'excrétion des métaux chez tous. Comme les conditions d'analyses sont différentes, les références du diagnostic validé (sans traitement) ne peuvent donc pas être reconduites pour l'interprétation des analyses biologiques post-traitements. Selon ces sociétés de toxicologie : "La comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée" [2]. Faute de références spécifiques, les analyses post-traitements se retrouvent donc orphelines de valeurs de référence pour tous les métaux. Par voie de conséquence, la référence de mercure urinaire ne peut donc pas être utilisée pour une analyse d'urine post-traitement. Cependant, la STC et la SFTA indiquent certes que c’est parce que les valeurs augmentent chez tous lors d’un traitement que les références du test validé (sans traitement) ne sont pas réutilisables pour interpréter le relevé post-traitement, mais, ce faisant, c’est pour la même raison que le diagnostic validé devient impropre à la destination d'évaluation de la charge corporelle, car les métaux augmentent chez tous.

1.5 NON RECONNAISSANCE
Faute de valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale et en dépit de la toxicité intrinsèque du métal, le mercure stocké, l'arsenic stocké, l'aluminium stocké, le cadmium stocké et tant d'autres métaux stockés décelés uniquement par le diagnostic post-traitement chez un individu ne sont donc pas officiellement reconnus par la toxicologie conventionnelle comme toxiques ni à n'importe quelle dose, ni à long terme, ni à retardement, ni dans l’immédiat. Cela est un effet direct et implacable de l'absence des valeurs de référence spécifiques aux analyses biologiques post-traitements. Comme le sang est négatif, les causes des symptômes sont donc officiellement non reconnues.

1.6 ILLUSTRATION : AMALGAMES DENTAIRES
Bien que la concomitance entre la charge corporelle de mercure stocké et entre les amalgames dentaires présents en bouche ait été rapportée par des études scientifiques [5], la toxicologie conventionnelle conclut que, à cause de l'absence de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en mercure stocké, les amalgames dentaires ne provoquent officiellement pas d’intoxication au mercure. Faute de valeurs de référence officielle, il n'existe officiellement pas d’intoxication. Une intoxication est une valeur au-dessus de la référence officielle. Sans référence officielle à partir de laquelle une charge toxique est définie, et en dépit que la documentation scientifique sur la haute toxicité du mercure à très faible concentration soit abondante, un préoccupant milligramme de mercure stocké dans le corps est officiellement non toxique. Faute de référence officielle, il est donc vain d'accuser les amalgames ou les métaux. Seul l'établissement de ces valeurs de référence permettra donc d'affirmer si les amalgames provoquaient des intoxications chroniques au mercure. Cela est également valable pour toute sorte d'exposition (alimentation, vaccin, environnement, radioéléments). Cependant, il est scientifiquement impossible d'affirmer que les amalgames ne provoquent pas d'intoxication car les références adéquates demeurent manquantes.

1.7 ACQUITTEMENT
En dépit du fait que, pour Alzheimer, l'excès de métaux stockés soit diagnostiqué post-mortem à l’autopsie du cerveau [6], la toxicologie conventionnelle conclut que, faute de valeurs de référence de la charge corporelle des métaux stockés dans la population générale, les excès de métaux relevés post-mortem ne sont pas des cofacteurs de ces dégénérescences du vivant du patient. Selon la toxicologie conventionnelle, ces malades, dont le nombre atteint 15 % d'une génération, ne sont donc pas à désintoxiquer. Le sursis du traitement aboutit donc à ce que les métaux en excès soient retrouvés post-mortem chez tous les Alzheimer. La sclérose en plaques, l'arthrose, l'électrosensibilité, et tant d'autres maladies chroniques aux origines prétendument inconnues sont frappées de la même sanction.
Les accidents nucléaires et les expositions professionnelles sont également concernés par une intoxication chronique non diagnostiquée (uranium, césium, recyclage du plomb, ...).

1.8 CENTRES ANTIPOISON FRANÇAIS
Parce qu'elle apparaît dans le sang, une intoxication par une ingestion accidentelle de métaux lourds est traitée par les centres antipoison. Mais, en dépit de symptômes caractéristiques d'une forte intoxication aux métaux lourds assortis d'un diagnostic validé négatif, les centres antipoison français concluent que la nécessité de traitement n'est pas établie. Y compris avec des valeurs post-traitements très inquiétantes, les centres antipoison, qui sont les seuls services français à pratiquer un traitement des intoxications des métaux lourds, appliquent légitimement un refus de soins aux personnes qui présentent des analyses biologiques post-traitements. En dépit du fait qu'ils participent à l'enseignement et à la recherche de la toxicologie clinique, à la prévention des intoxications et à l'éducation sanitaire des populations (Article D6141-41 du code de la Santé publique), l'urgence n'étant pas établie, les centres antipoison refusent donc de traiter.
Sous condition de renoncement à la reconnaissance de l’intoxication, les centres antipoison ont certes parfois admis quelques cas. Cependant, ces centres refusent l’accès aux soins aux malades qui, pensant bien faire, prétendaient que la source de l’intoxication proviendrait de dispositifs médicaux (amalgames, vaccins) [7].

1.9 ZÈLE
En 2015, en dépit que les analyses post-traitements soient envisagées comme un diagnostic potentiel par la littérature scientifique [4], l’un des huit centres antipoison français a proféré des menaces publiques [8] à un médecin hospitalier qui traitait officiellement les personnes dont l'intoxication était suggérée par des analyses biologiques post-traitements. Suite à cela, le médecin menacé a fermé son service dans la précipitation [9]. Encore à ce jour, ces menaces demeurent sur la plateforme scientifique en ligne commune aux centres antipoison fédérés en association. C'est donc avec zèle que les centres antipoison rappellent que seul le diagnostic validé, avec lequel les stocks inquiétants de métaux passent inaperçus, fait foi d’intoxication. Pour départager cette polémique [2], les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) confirment l'exclusivité du test validé dans leur mise au point scientifique [2] en arguant que les valeurs des analyses biologiques post-traitements augmentent chez tous.

1.10 SOCIÉTÉ AMÉRICAINE DE TOXICOLOGIE ET GOUVERNEMENT FRANÇAIS
En dépit que l’action 21 du Plan National Santé-Environnement 2015 (PNSE3) demandait à la STC d’élaborer les recommandations de bonne pratique pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure, la STC a préféré maintenir les recommandations de 2010 des toxicologues américains. Selon l’American College of Medical Toxicology, 2010 [10], cité par la STC et la SFTA : "les données scientifiques disponibles ne fournissent pas un soutien adéquat pour l'utilisation des tests de métaux urinaires post-traitement comme moyen précis ou fiable d'identifier les personnes qui tireraient un bénéfice thérapeutique de la chélation" (Chélation : traitement des métaux). En effet, selon le laboratoire d'analyses Microtrace, les valeurs d’excrétion des métaux sont indépendantes de la dose de traitement [11]. Ces valeurs sont plafonnées par des phénomènes physiques en dépit de l'augmentation du principe actif. Les molécules qui traitent les métaux stockés ont une affinité de priorité. Par exemple, généralement, le cuivre est prioritaire sur les autres métaux. Ce phénomène jette une donc une distorsion sur les analyses post-traitement de façon à ce qu'il ne soit pas possible de quantifier une profondeur d'intoxication par un métal. Bien qu'elles soient élevées, les valeurs sont donc décorrélées de la profondeur de la charge corporelle. Par manque de capacité à faire émerger une distribution granulométrique entre les personnes soumises au diagnostic, ce test est donc sèchement abandonné par la toxicologie française.

1.11 DOSAGE CORPOREL
Pour des questions de rigueur scientifique, les personnes fortement imprégnées au mercure demeurent donc non traitées. En dépit du fait qu’elle sait la désintoxiquer, la médecine conventionnelle nie donc la majorité du corps parce qu’elle ne sait pas établir de diagnostic fiable. Cette philosophie provient de l’absolu de la preuve. En dépit de symptômes caractéristiques, si la science ne savait pas établir un diagnostic biologique qui donne une granulométrie, la médecine se rabat donc volontairement à tort sur une prétendue absence de particules oxydantes. Par ses diagnostics validés, le prisme de l'exposition a donc éclipsé la notion de charge corporelle. Comme toutes les conclusions officielles se fondent sur des protocoles exclusivement validés, les composés toxiques corporels stockés en nuage ont donc toujours échappé aux hypothèses.
Cependant, aucune alternative au diagnostic post-traitement ne donne de meilleure indication de la présence inopportune de certains métaux. Or, une personne qui excrète cinquante microgrammes de mercure après chaque traitement pendant cinq ans ne doit pas être considérée comme la majorité qui excrète la même quantité de mercure au cours de quelques traitements. Tant que les valeurs des analyses post-traitement n’ont pas rejoint les valeurs d’analyses sans traitement, c’est que des stocks de métaux traitables demeurent.
Cependant, les molécules n'explorent pas l'intégralité du corps. Il n'est donc jamais possible d'établir des références fidèlement représentatives de la charge corporelle. Même si les analyses post-traitements aboutissaient à des valeurs négatives, cela ne permet donc pas de conclure à une absence d'intoxication chronique. Les ventouses sur les foramens pariétaux pourront par exemple prendre le relai de la désintoxication du système nerveux central. Ou, des campagnes contre les micro-organismes permettront de déséquestrer des métaux lourds inaccessibles aux molécules.

1.12 CONTRE-INDICATIONS ET PRÉCONISATIONS
Pour redoubler le sursis des traitements, le Collège américain invoque également deux contre-indications prétendument bloquantes : déminéralisation aiguë du calcium et redistribution des métaux lourds. Cependant, des préconisations courantes peuvent être appliquées. Contre la déminéralisation, un renflouement en minéraux essentiels par un régime alimentaire riche en légumes ou par des compléments alimentaires pallie aux désordres liés à la raréfaction du calcium. De plus, de faibles doses quotidiennes, solubilisées et faiblement concentrées, de principe actif à boire peuvent être données en alternative à la forte dose mensuelle très concentrée de principe actif injectée par intraveineuse en milieu médical. Cette forte posologie conventionnelle provient d’une culture médicale restreinte au traitement exclusif des situations aiguës. La forte dose concentrée pratiquée en milieu médical est sujette à des accidents. Or, en chronique, la scène est toute autre : l’absence de sélectivité d’un métal toxique par une molécule n’est pas bloquante, car la déminéralisation sera palliée par une reminéralisation chronique. Avec de faibles doses quotidiennes sous contrôle médical, il suffira de suspendre le traitement en cas de prémisse de fatigue.
Quant à la redistribution des métaux lourds vers le cerveau, elle proviendrait d’un changement de pH [12] au cours d’une acidose. Dans un organe parfois très acide (rein et cerveau), la majorité des principes actifs relarguent un métal lourd qui a été attrapé dans un organe neutre ou alcalin. La prévention se fait par une hygiène de vie à court terme qui élimine l’acidose (activité physique, régime cétogène, quelques bains froids). En outre, la solubilisation, comme dans une infusion, du principe actif dans un grand volume d’une solution alcaline (bicarbonate de soude, pH8) augmente l'efficacité et la sécurité du traitement. Accompagnées par un médecin-naturopathe spécialisé dans la désintoxication, toutes ces contre-indications peuvent donc être prévenues.

1.13 TOLÉRANCE HORS DE FRANCE
En dépit du manque de valeurs de référence, quelques pays (Belgique, Allemagne, Suisse, Pays-Bas) ont opté pour la prise en compte des métaux excrétés lors des analyses biologiques post-traitements. Outre l'admission dans leurs centres antipoison, des cliniques et des médecins de ville se sont spécialisés dans la désintoxication des intoxications chroniques.

1.14 CONCLUSION
Faute de reconnaissance officielle de l'absence des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale, les malades ignorent les éventuels cofacteurs de leurs symptômes chroniques. Ils ignorent également qu’ils peuvent éventuellement être traités. Avec les traitements actuels, ils ignorent également qu'ils peuvent éventuellement s’orienter vers une rémission. Faute de diagnostic approprié, ces personnes se dirigent donc vers des complications chroniques inextricables alors qu’elles pourraient être prémunies et/ou traitées avec les molécules existantes. La situation actuelle est certes dans l'impasse depuis plusieurs décennies. Cependant, le nombre de personnes actuellement porteuses de stocks de métaux en excès semble suffisamment élevé pour aviser vers un dépassement des difficultés de la science à produire un diagnostic fidèlement représentatif de la charge corporelle. De plus, pour la maladie de Wilson, pour l'hémochromatose et pour le saturnisme, des valeurs corporelles ont été établies par des diagnostics post-traitement validés pour le cuivre, le fer et le plomb. Pour ces trois métaux, la rigueur usuelle a donc déjà été dépassée.

2 RÉFÉRENCES CORPORELLES DU STRESS OXYDANT
Image
Voir schéma joint du Collège de France : STRESS OXYDANT.jpg [13]
NPs = NanoParticuleS (dont les métaux et les métaux lourds) en nuages

2.1 STRESS OXYDANT
Le stress oxydant est un déséquilibre entre la quantité excessive de radicaux libres et des antioxydants. Le stress oxydant est une panoplie de causes dont les métaux lourds ne sont qu'une partie. Or, le problème de l’absence de la référence corporelle des métaux est également valable pour chacune des causes des maladies liées au stress oxydant. Le cadre global des effets des carences de la médecine conventionnelle sur la santé publique en matière de références des causes des maladies liées au stress oxydant est donc très large. Parce que ces carences sont méconnues et non bordées, de nombreuses personnes porteuses de maladies chroniques ignorent qu’elles pourraient éventuellement s’orienter vers une rémission.

2.2 ABSENCE DE TRAITEMENT DU STRESS OXYDANT
Faute de référence de la charge corporelle en population générale, le stress oxydant stocké dans le corps en excès chez un patient n’est médicalement pas considéré comme officiellement pathologique. En médecine conventionnelle, il n’est pas suffisant de connaître les causes pour traiter. Il est également nécessaire de connaître les valeurs de référence de la charge corporelle en population générale. Faute de référence et en dépit qu’elle puisse être traitée, aucune cause en excès n'est donc ni reconnue ni traitée par la médecine conventionnelle. Or, selon le Collège de France, l’effet de ces excès est la survenue et la résurgence des conséquences des maladies liées au stress oxydant.

2.3 LES CAUSES ET LES CONSÉQUENCES DU STRESS OXYDANT
Selon le Collège de France [13-14], les conséquences des maladies liées au stress oxydant se manifestent, entre-autre, par des cancers et/ou de l’artériosclérose et/ou des maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson, liste non-exhaustive). Selon le Collège de France, ces conséquences sont majoritairement d’origines environnementales et/ou métaboliques. Ces conséquences sont les symptômes des causes des maladies liées au stress oxydant.
Selon le Collège de France [13-14], les pollutions (dont les composés organiques, pesticides), les nanoparticules (dont les composés inorganiques, métaux lourds), les infections, les inflammations, les angoisses, les ultraviolets, les rayons-X sont des causes des maladies liées au stress oxydant. La liste n’est pas exhaustive.

2.4 SYNERGIE ET TRAITEMENT
Les conséquences des maladies liées au stress oxydant pourraient provenir d’une synergie de causes de façon à ce qu’aucune cause unique ne puisse être ciblée. Par voie de conséquence, les maladies environnementales et métaboliques seraient étroitement liées. Pour maximiser les chances de rémission de toute maladie liée au stress oxydant, il conviendrait donc de traiter toutes les causes, unes à unes. C’est-à-dire : des traitements métaboliques participeraient à la résolution de maladies environnementales, et inversement. Faute de pouvoir établir une cause principale d'une maladie chez un individu, il convient donc de traiter toutes les catégories de particules oxydantes tant que les analyses post-traitement expriment un excès de particules. Il convient également de faire cesser la ou les expositions et de ne traiter qu'après que les symptômes persistent au-delà de l'arrêt de l'exposition.

2.5 LA MÉDECINE CONVENTIONNELLE
Faute de traitement de toutes et de chacune des causes des maladies liées au stress oxydant par la médecine conventionnelle, la survenue des conséquences des maladies liées au stress oxydant demeure contingente, dont la tendance à la hausse par la longévité n'est pas enrayée. De plus, des rechutes post-traitement surviennent, car le traitement des symptômes ne traite pas les causes. Dans les maladies neuro-dégénératives, aucune solution conventionnelle ne parvient encore à influencer la tendance évolutive de la maladie.

2.6 LES MÉDECINES TRADITIONNELLES
Sans référence et depuis toujours, les médecines traditionnelles traitent les causes des maladies liées au stress oxydant de façon à aboutir à une inversion de la tendance des conséquences liées au stress oxydant.
Exemples :
Là où la médecine conventionnelle propose un traitement symptomatique, l’Âyurveda (dont la traduction est : médecine de la longévité) élimine les composés organiques (dont les pesticides) vers l'extérieur du corps par solubilisation. En Inde, il s'agit d'une médecine qui est pratiquée à l'hôpital.
Là où la médecine conventionnelle ne dispose d'aucune solution pour raffermir les tissus et pour rétablir une quantité élevée de jeunes mitochondries, les bains froids, dont les Romains ont généralisé la pratique dans leurs thermes, suscitent une angiogenèse massive (redéveloppement des capillaires et rétablissement de la tension) et une biogenèse mitochondriale [15] massive (rétablissement du métabolisme) par thermogenèse. De ces bains froids, il en ressort une restructuration des tissus.
Là où la médecine conventionnelle ne propose pas d'éliminer les métaux lourds, toute alimentation traditionnelle est soufrée de façon à extraire les métaux lourds.
Là où la médecine conventionnelle ne dispose d'aucune proposition, les ventouses, partagées sur tous les continents de tout temps, décongestionnent les tissus de tout ce qui n'est pas indispensable à la cellule (pesticides, métaux lourds, impuretés, microorganismes, déchets, ...). De plus, une ventouse humide sur les foramens pariétaux permettra de décongestionner le cerveau et de sonder sans intrusion l'état d'intoxication de l'intérieur de la boîte crânienne.
Là où la médecine conventionnelle dissuade, la restriction calorique élimine les risques d’accident vasculaire cérébral par délitement des plaques de graisses coronariennes. Selon le Collège de France, elle élimine également les organelles (organes de la cellule) anormales [16-17]. De plus, selon le Collège de France, elle apporte un effet très important sur la survie des neurones chez le modèle murin d’Alzheimer et de Parkinson [18].
Et enfin, là où la médecine conventionnelle peine, les plantes aromatiques traitent de nombreuses infections commensales chroniques.
Ces exemples ne sont qu'une miniature de la richesse des médecines traditionnelles. En généralité, c'est au traitement des particules oxydantes qu'une médecine traditionnelle est reconnue.
Contrairement aux métaux inorganiques, il est impossible de cibler des particules oxydantes organiques par des molécules chélatrices. Pour éliminer les particules organiques oxydantes, le recours aux médecines traditionnelles semble inévitable.

2.7 SCEPTICISME IMPRUDENT GÉNÉRAL ET GRAND NOMBRE DE MALADES
Il est à noter que la température de l'eau dans laquelle se baignent les pèlerins de la ville de Lourdes est à 12 °C. Faute de références de mitochondries et de capillaires, les guérisons revêtent nécessairement la forme d'un miracle. Cependant, l’absence de référence de mitochondries et de capillaires jette un scepticisme imprudent chez la majorité. Il en va de même pour toutes les autres références manquantes (métaux lourds, pesticides, …).
L'absence de référence corporelle ne concerne donc pas uniquement le stress oxydant, elle concerne également les facteurs physiologiques.
Selon l'Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (APHP), un tiers des Français est porteur de maladies chroniques [19]. Un tel bilan pose donc la question du blocage de la rémission. Par exemple, en dépit que les causes soient dressées par le Collège de France et en dépit que des médecines des causes existent, un million de Français porteurs d’Alzheimer sont laissés sans le traitement des causes des maladies liées au stress oxydant par le couperet de la rigueur scientifique et administrative du manque de références.

2.8 RÉFÉRENCES ET ÉTUDES SCIENTIFIQUES
Faute de référence et faute d’examen des synergies, les études scientifiques s'accumulent nécessairement sans jamais conclure. Il en résulte que les contradictions publiques se multiplient :

2.8.1 PHÉNOMÈNE DE L’ÉLECTROSENSIBILITÉ CONNU AU COLLÈGE DE FRANCE
Le 4 décembre 2013, dans le cadre du traitement du cancer, le professeur titulaire Clément SANCHEZ du Collège de France, a exposé le phénomène d’électrosensibilité dans le détail [20]. Selon ce professeur, les métaux lourds et les ondes échauffent les tissus. Ce phénomène est si bien connu par la médecine expérimentale qu’elle sait le mettre en œuvre pour traiter des tumeurs par hyperthermie en ajustant les ondes et les doses de métaux électro-magnéto-sensibles. Lors des traitements, les symptômes rapportés par les patients sont des désagréments à retardement d'une heure.
Ces symptômes sont similaires à ceux rapportés par le rapport de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation, de l'Environnement et du Travail (ANSES) de mars 2018 sur l’électrosensibilité. Or, après avoir scruté toute la littérature scientifique, l’ANSES déclare que les causes de l’électrosensibilité demeurent prétendument inconnues. C’est l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale qui oblige l’ANSES à déclarer qu’aucune anomalie par rapport à la population générale n’a encore été trouvée. Seules les valeurs de référence de la charge corporelle des causes du stress oxydant (en l'occurrence : métaux lourds et ondes) permettront d’affirmer rigoureusement si les causes de l’électrosensibilité étaient indubitablement inconnues. Et, en dépit que la médecine sache produire et reproduire ce phénomène à volonté, les causes de l’électrosensibilité ne demeureront jamais décelées tant que toutes ces références en synergie n’auront pas été établies. De plus, à la page 202 de ce rapport, L'ANSES rapporte que le tableau clinique ("perturbations du sommeil, migraine, fibromyalgie, paresthésie, maladies neurodégénératives, troubles comportementaux, déficit de l’attention, dépression et perturbations du système immunitaire") des personnes se déclarant électrosensibles est très proche de celui d'une intoxication aux métaux lourds.

2.8.2 PRÉTENDUE INNOCUITÉ DES VACCINS
La médecine conventionnelle a conclu à l’innocuité des vaccins à l’aluminium [21]. Cependant, en l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale, cette affirmation ne peut pas être absolue à 100 %. De plus, selon Jean-François Bach [22], la hausse des maladies auto-immunes est concomitante de la hausse de l'hygiène au sens large (dont la hausse des traitements infectieux).

2.8.3 MÉTABOLISME ET SECTES
Le 25 janvier 2016, au Collège de France, le professeur titulaire et oncologue Hugues DE THÉ a expliqué que la carence alimentaire augmentait la rémission des cancers [23]. Or, en 2019, au micro de Jean-Jacques BOURDIN, la Présidente de l’Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l'Individu victimes de sectes (UNADFI) déclare que la carence alimentaire n'augmente pas la rémission des cancers. Elle déclare également que les personnes qui préconisent la carence alimentaire sont des charlatans et qu’elles relèvent de phénomènes sectaires. Or, seules les valeurs de référence de la charge corporelle des calories et des synergies permettront de les départager.

2.8.4 AUTISME
Voici un extrait du traité de toxicologie "CHELATION THERAPY" [24] : "Une faible exposition au mercure chez les enfants peut résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner une maladie grave de l’autisme. Cette hypothèse a conduit à la proposition d'un traitement du mercure avec le DMPS ou le DMSA comme traitement de l'autisme. Cependant, aucun article revu par des pairs n'a signalé un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets atteints d'autisme. Les revues critiques ont conclu que le soutien scientifique à la chélation du mercure dans l'autisme fait défaut". Selon ce traité, l’autisme n’a donc pas encore fait l'objet d’étude de la charge corporelle en métaux stockés. De plus, faute de référence et faute d'examen des synergies, ces études demeureront toujours vaines. En traitement empirique, il semble que si la réduction drastique de l’exposition aux multiples particules oxydantes (lessives, métaux, ...) ne portait pas ses fruits, il conviendrait de tenter leur élimination du corps.

2.8.5 LES INTOXICATIONS DE MASSE RECONNUES PAR LA POLITIQUE ET PAR LA JUSTICE
Le 12 mai 2021, dans l’une [25] de ses conférences de la chaire annuelle du Collège de France sur la Santé publique, Didier FASSIN, Professeur de Santé publique, rapporte la mésaventure des soldats américains. Trois cents milliers de soldats de la guerre du Golfe (1991), pendant laquelle les toxiques ont été disséminés en grande quantité (bombes à l’uranium, vaccin au brome, explosion d’arsenal de gaz sarin, puits de pétrole en feu, peinture de véhicules), n’ont été reconnus comme intoxiqués qu’en 2016 par le Congrès suite à des études scientifiques spécifiques (imagerie des lésions). Auparavant, ces soldats victimes d’un syndrome de fatigues, d’insomnies, de faiblesse musculaire, de douleurs articulaires, d’éruptions cutanées, de dérèglements intestinaux, de maux de tête, de troubles de la mémoire, de difficultés de concentration, de troubles de l’humeur, étaient niés pendant 25 ans par l’Armée et par la médecine conventionnelle. Didier FASSIN les appelle les malades sans maladie. Il ajoute que ce syndrome rappelle des syndromes en population, dont la fibromyalgie et l’hyper sensibilité chimique.
Le retournement de la situation des soldats américains de la guerre du Golfe n'est qu'un exemple d'une série de retournements similaires (agent Orange de la guerre du Viêtnam, affaire Brockowich). Les multiples reconnaissances obtenues tardivement par des combats juridiques et politiques de longue haleine illustrent l'incapacité à répétition de la toxicologie conventionnelle de déceler des intoxications de masse qui durent depuis de nombreuses décennies et dont les causes natives peuvent être attribuées à l'absence de références corporelles ou à l'absence de reconnaissance de l'absence de références corporelles.

2.9 CONSTITUTION FRANÇAISE
Sans signe précurseur, les premiers symptômes d'Alzheimer n'apparaissent que tardivement, car les neurones sains pallient une baisse modérée d'une population de neurones disparus. Or, selon la Constitution française : "La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement". Ceci suggère que les particules oxydantes, dont les excès sont retrouvés à l’autopsie, devraient être déstockées du vivant du patient de façon préventive quand bien même aucun symptôme n’apparaît. Et enfin, comme ces particules oxydantes peuvent perturber le développement de l’embryon, ces particules devraient donc être déstockées préventivement en toute circonstance.

2.10 APPRENTISSAGE ET PRATIQUES
Toutes les techniques d’élimination de ces causes en excès peuvent certes se pratiquer à domicile. Cependant, à ce jour, une personne novice qui souhaite traiter les causes du stress oxydant trouve difficilement un médecin conventionnel. Mais, outre l’accompagnement par un médecin, il serait préférable de proposer des démonstrations en groupe dans des centres comme dans les thermes de l’antiquité, car cette aventure personnelle s'amorce mieux en compagnie. Dans les maladies chroniques, le traitement est chronique et le groupe soude les malades vers la rémission. Plutôt que de tâtonner à la découverte des médecines, une personne porteuse de maladies chroniques pourrait gagner un temps significatif grâce à ces centres.
À l’image de la récente adoption de la prescription de sport-santé sur ordonnance, le médecin généraliste pourrait être l'intervenant privilégié de la stratégie de traitement des particules oxydantes. Un patient, qui souhaite retrouver une salubrité de la majorité des particules oxydantes sur chaque catégorie, devrait pouvoir trouver en son médecin généraliste toutes les solutions à disposition. Ce médecin est le plus à même d'échantillonner, de hiérarchiser, d'ordonnancer, et d'échelonner une série d'actions qui couvrira au mieux la gamme de particules au regard des pathologies chroniques et au regard du volant de traitements face aux capacités du patient qu'il connaît bien. C'est justement le rôle du médecin généraliste d'orienter ses patients vers une pratique à domicile, ou vers un centre de jour, ou le cas échéant, vers une cure sous surveillance médicale.
Même si la médecine conventionnelle prétend ne pas le décongestionner, il demeure possible de réduire la charge en métaux lourds et en pesticides du système nerveux central. Cela nécessite de la méthode par un agencement de différentes médecines (chélation, ventouses, Âyurveda), un encadrement demeure donc préférable sur le long terme.

3 CONCLUSION
La médecine conventionnelle connaît certes de nombreux succès éclatants. Cependant, par pis-aller, sur le plan des maladies chroniques, environnementales et métaboliques, le défaut de référence des causes des maladies liées au stress oxydant a restreint la prévention et la guérison de la dégénérescence depuis quelques décennies.
L’absence de référence des causes des maladies liées au stress oxydant confisque donc le patient d’une éventuelle rémission. Or, de nombreuses médecines, qui ont franchi la sélection naturelle depuis des millénaires, aplanissent empiriquement le chemin vers la rémission des maladies liées au stress oxydant par le traitement des causes dressées par le Collège de France. La réussite du traitement de ces maladies sera donc confortée par un léger aménagement des différentes cultures médicales vers une synthèse collégiale pour conforter une rémission rapide et durable.

4 RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Une copie de références est placée en pièce attachée (references.pdf)
- Chapitre d'un livre : [1] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch3.5, Toxicological analyses. Chelation therapy in the treatment of metal intoxication, London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier; 2016, p. 74–5.
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- Chapitre d'un livre : [3] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. Chelation therapy in the treatment of metal intoxication, London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier; 2016, p. 183.
- Chapitre d'un livre : [4] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. Chelation therapy in the treatment of metal intoxication, London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier; 2016, p. 176.
- Article de périodique : [5] Aposhian HV, Bruce DC, Alter W, Dart RC, Hurlbut KM, Aposhian MM. Urinary mercury after administration of 2,3‐dimercaptopropane‐1‐sulfonic acid: correlation with dental amalgam score. FASEB j 1992;6:2472–6. https://doi.org/10.1096/fasebj.6.7.1563599.
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https://www.franceculture.fr/emissions/ ... mercuriens
- Article de périodique : [8] Glaizal M, Torrents R, Descamps A, de Haro L, Simon N. Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! Toxicologie Analytique et Clinique 2015;27:S29–30. https://doi.org/10.1016/j.toxac.2015.03.035.
- Article de périodique : [9] Grosman M, Non au mercure dentaire. L’hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes. La Veille Des Acteurs de Santé 2015.
https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... ommunique/
- Article de périodique : [10] American College of Medical Toxicology. American College of Medical Toxicology Position Statement on Post-Chelator Challenge Urinary Metal Testing. J Med Toxicol 2010;6:74–5. https://doi.org/10.1007/s13181-010-0039-0.
- Newsletter d'un laboratoire d'analyses : [11] Blaurock-Busch E. DMSA, Biodisponibilité et excrétion de métaux. Newsletter n°12, Microtrace Minerals Laboratoire: 2016.
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- Chapitre d'un livre : [12] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch2.1, Chemical and biological principles for in vivo chelation. Chelation therapy in the treatment of metal intoxication, London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier; 2016, p. 35.
- Conférence : [13] Sanchez C. Interfaces : chimie des matériaux-biologie-médecine II, Oxydes métalliques et stress oxydant. Chimie des matériaux hybrides, (2010-2020), Collège de France: 28 janvier 2015 à 00:15:00.
https://www.college-de-france.fr/site/c ... -16h30.htm
- Conférence : [14] Prochiantz A. Données récentes sur l’étiologie de quelques pathologies neurologiques et psychiatriques. Processus morphogénétiques, (2007-2019), Collège de France: 17 décembre 2018, de 00:12:14 à 00:13:15. https://www.college-de-france.fr/site/a ... -14h30.htm
- Conférence : [15] Prochiantz A. Restriction calorique, mesure des nutriments, sirtuins. Processus morphogénétiques (2007-2019) ; Longévité cérébrale, suite et fin, Collège de France: 27 octobre 2014 à 01:22:58.
https://www.college-de-france.fr/site/a ... -17h00.htm
- Conférence : [16] De Thé H. Contrôle transcriptionnel de la transformation cellulaire. Oncologie cellulaire et moléculaire (2014-2021), Collège de France: 25 janvier 2016 à 01:13:04.
https://www.college-de-france.fr/site/h ... -09h30.htm
- Conférence : [17] Sansonetti P. Comment les microbes pathogènes prennent le contrôle de l’hôte, La vie, la mort, le cycle. Microbiologie et maladies infectieuses (2008-2020), Collège de France: 05 janvier 2012, à partir de 01:14:44. https://www.college-de-france.fr/site/p ... -16h00.htm
- Conférence : [18] Heard É. Chromatine et mémoire cellulaire, Stabilité versus plasticité chromatinienne en réponse aux stress. Épigénétique et mémoire cellulaire, (2012-2021), Collège de France: 02 mars 2015 à 01:02:30.
https://www.college-de-france.fr/site/e ... -16h00.htm
- Communiqué de presse : [19] APHP. Appel à la participation pour faire avancer la recherche médicale sur les malades chroniques. Communauté de Patients pour la Recherche de l’AP-HP, CHU d’Ile-de-France: 2018.
https://www.aphp.fr/contenu/communaute- ... re-avancer
- Conférence : [20] Sanchez C. Interfaces : chimie des matériaux-biologie-médecine. Chimie des matériaux hybrides, (2010-2020), Collège de France: 04 décembre 2013, de 00:59:42 à 01:06:58.
https://www.college-de-france.fr/site/c ... -16h00.htm
- Session de législature : [21] Buzin A. Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018. XVe législature Session ordinaire de 2017-2018, Assemblée Nationale: 27 octobre 2017. https://www.youtube.com/watch?v=UurxTu3FqVc
- Conférence : [22] Bach J-F. La théorie hygiéniste : le rôle respectif des bactéries pathogènes et commensales ; Le « microbiome » : face cachée de la planète « microbe-homme ». Microbiologie et maladies infectieuses (2008-2020), Collège de France: 29 janvier 2014, de 00:05:00 à 00:05:10. https://www.college-de-france.fr/site/p ... -17h30.htm
- Conférence : [23] De Thé H. Contrôle transcriptionnel de la transformation cellulaire. Oncologie cellulaire et moléculaire (2014-2021), Collège de France: 25 janvier 2016, passages dispersés.
- Chapitre d'un livre : [24] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch7.6.3, DMSA. Chelation therapy in the treatment of metal intoxication, London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier; 2016, p. 324.
- Conférence : [25] Fassin D. Frontières épistémiques. Les mondes de la santé publique : excursions anthropologiques, Collège de France: 12 mai 2021 à 00:45:30. https://www.college-de-france.fr/site/d ... -10h00.htm

COPIE PDF DES REFERENCES

Glossaire : chélation = traitement des métaux ; chélateur = médicament du traitement (Dmsa, Edta, Dmps, ...)


JE ME PRÉSENTE
Je suis architecte. Depuis dix ans, je suis porteur d'une intoxication chronique au mercure. J’ai dû arrêter de travailler et, depuis une poignée d’années, j’ai dû consacrer un quasi-temps plein à la désintoxication. De ce cheminement, j’en ai tiré le contenu de cet article. Voici les raisons pour lesquelles cet article a été rédigé : Porteur de diagnostics post-traitements provenant d’Allemagne, étalés sur plusieurs années, tous positifs au mercure, et en dépit de symptômes caractéristiques, le Centre antipoison français m’a raccroché au nez pendant cinq ans. Ensuite, après l’avoir menacé de porter plainte en 2020, c’est avec les Recommandations de bonne pratique de 2015 de la STC que le Centre antipoison a consigné sur le compte-rendu de consultation qu’il ne désimprégnait pas des taux inquiétants de mercure corporel qui surgissait uniquement aux analyses post-traitements. Et enfin, comme les Centres antipoison français ont fait fermer, en 2015, le seul service public de désimprégnation des métaux lourds par des menaces publiques, aucune solution conventionnelle n’était donc aisément à disposition sur le territoire français.
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FIN DU MESSAGE
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REPONSES AUX OBSERVATIONS
Elus, toxicologues, ...
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MEDECINE DES PARTICULES OXYDANTES

Messagede Sophocle » Dim 6 Fév 2022 16:59

J'ai fait une petite vidéo sur la médecine des particules oxydantes avec une présentation personnelle (intoxication, diagnostics, ...)
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Pour l'instant, une seule vidéo a été réalisée, mais je compte en publier deux ou trois autres à venir.
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CONSULTATION FAUSSEMENT PUBLIQUE DE L'ANSES SUR LA 5G

Messagede Sophocle » Mer 23 Fév 2022 10:54

Le 12 mai 2021, j'avais soumis les Observations en commentaires à la consultation publique de l'ANSES sur la 5G. :sarcastic:
En accusé de réception, l'ANSES a écrit:De : Anses via ANSES [mailto:webmaster@anses.fr]
Envoyé : mercredi 12 mai 2021 17:03
À : (x)@gmail.com
Objet : Confirmation du dépôt de vos commentaires concernant le rapport d’expertise et/ou l’avis « Expositions aux champs électromagnétiques liées au déploiement de la technologie de communication « 5G » et effets sanitaires éventuels associés »
Bonjour,
Nous vous confirmons la réception de vos commentaires formulés sur le rapport d’expertise et/ou l’avis « Expositions aux champs électromagnétiques liées au déploiement de la technologie de communication « 5G » et effets sanitaires éventuels associés » de l’Anses.
L’envoi à l’Anses a été effectué avec succès le Mercredi, 12 Mai, 2021 - 17:02.
Nous vous rappelons que tous les commentaires feront l’objet d’une attention particulière, mais aucune réponse individuelle ne sera transmise. Les commentaires reçus seront publiés en annexe du rapport d’expertise, accompagnés de la réponse de l’Agence.
Cordialement,
L'équipe de l'Anses


Cependant, suite à la publication de la consultation publique du 17 février, l'ANSES n'a pas retenu mon commentaire.




Voici ma riposte :

Aux Députés (AN et EU), aux Sénateurs, aux Directions Générales des Agences françaises de Santé (ARS, ANSM, FRANCE SANTE PUBLIQUE, ANSES, APHP, APHM), Palais de Elysée, Présidents de Régions, DGS, DGT, OMS, MINAMATA, CNP, ASN, j' a écrit:
    Le 12 mai 2021, j'ai soumis un commentaire à la consultation publique sur la 5G. Ce commentaire dénonçait des analyses médicales validées mais non fiables qu'utilise l'ensemble de la communauté scientifique pour établir les conclusions des études de santé. Or, cette défaillance est peut-être la cause du refus de traitement de la majorité des maladies chroniques dont celle de l'électrosensibilité.

    Avant de le soumettre à la consultation publique de l'ANSES comme commentaire, j'ai soumis ce texte à des milliers de professionnels (santé, politiques, associations de malades, ...). Ce texte a fait l'objet d'accusés de réception par la majorité des directions générales des agences de santé internationales. Il est à noter que, de sa main, la Directrice de la FDA a exprimé un mot de remerciements. Il est également à noter que la direction de la CDC a explicitement reconnu le problème de santé publique. Il est également à noter que le Directeur du NIH (20.000 salariés) a exprimé des remerciements sur lettre à en-tête. En pièce attachée, se trouve l'ensemble des réponses qu'a reçu ce texte. Il s'y trouve également l'accusé de réception de l'ensemble des réponses qu'à reçu ce texte par la Cheffe de Cabinet du Directeur Général de l'ANSES. L'accusé de réception automatique de mon commentaire par l'ANSES s'y trouve également.

    Or,
    lors de la publication récente des commentaires adressés à la consultation publique sur la 5G, les équipes de l'ANSES n'ont pas retenu mon commentaire.

    Je souhaite vous exprimer que l'absence de dénonciation par l'ANSES de la défaillance des analyses médicales validées pour exprimer une charge corporelle fiable de toute particule oxydante me semble sensiblement étonnante car le nombre de victimes s'élève éventuellement en dizaines de millions de Français.


    Cependant,
    l'objet principal de ce courrier électronique est le suivant :

    Je vous informe que, à l'insu de la communauté scientifique et éventuellement à l'insu des Institutions françaises, les Centres antipoison français ont pérennisé des pratiques officielles qui ont laissé en errance médicale toute personne fortement imprégnée d'excès de métaux corporels, y compris de métaux lourds.

    Le détail de cette information se trouve dans le document joint. Ce document est une plainte que j'ai récemment déposée et qui est en cours d'instruction. Cependant, même si les pratiques des Centres antipoison étaient jugées légales, elles demeurent d'autant plus extrêmement choquantes.


      ( Pour l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), j'ai ajouté le paragraphe suivant :
      L'ASN prétend certes ne pas être concernée par les intoxications par des métaux car son domaine d'action se limite au rayonnement. Cependant, comme le rayonnement est émis par un métal radioactif, le traitement des métaux traite donc mécaniquement le rayonnement en excluant le métal et son rayonnement hors du corps. Or, comme il n'est pas possible de désactiver le rayonnement d'un métal, seul l'excrétion du métal permettra donc de réduire fortement les émissions de rayonnements. Seul le traitement par l'excrétion des métaux permet donc de traiter efficacement une personne porteuse de rayonnants. Tout autre traitement n'est donc que bonnes intentions dénuées de meilleure santé. - messages envoyés le 12 mars -)



Voici les premières réponses parvenues :
(je complèterai au fur et à mesure que de nouvelles réponses parviendront)
Un Directeur général d'une ARS d'Outre-mer a écrit:...J’accuse réception de votre courrier et le transfère pour suites à donner au service d’inspection contrôle de l’ARS. ...
Une Assistante parlementaire a écrit:... Madame la députée (X) accuse bonne réception de votre courriel et vous en remercie. Elle a pris connaissance de l'ensemble de vos textes, et de la gravité de la situation concernant le traitement des personnes souffrant d'électrosensibilité. ...
Un grand Chef à plumes des Hôpitaux de Provence a écrit:N’étant plus président de la (X) de l’APHM je transmets votre mail au président en titre le Pr (X)
Une Députée, Membre de la Commission du Développement durable et de l’Aménagement du Territoire, a écrit:...Je vous remercie de votre courriel que j’ai lu avec attention. Il ne manquera pas d’éclairer mon travail parlementaire sur le sujet des perturbateurs endocriniens et de la santé environnementale. ...
LE grand Chef à plumes de l'une des agences de santé citée ci-dessus (mais pas de l'ANSES) a écrit:J'accuse réception de votre mail en date du 19 février dernier adressé à plusieurs personnes de l'Agence ainsi qu'à notre déontologue. Les informations dont vous faites état vont être instruites par mes services et nous ne manquerons pas de vous tenir informé de l'état d'avancement de notre instruction et, en tout état de cause, nous reviendrons vers vous à l'issue de celle-ci.
      Commentaire de Sophocle : Comme un naufragé de la Méduse qui aperçoit les secours au loin, cette réponse remplit mon cœur d'une joie et d'un espoir inespérés. Cette réponse semble indiquer que les Centres antipoison ont poussé toutes les Institutions à la faute. Cependant, la réponses de l'ANSES n'est pas encore parvenue...
      Image

Le 23 fév à 14h00, aux membres de la D.G. de l'ANSES, j' a écrit:Je remets aux membres de la Direction Générale de l'ANSES les premières réponses qu'a reçu le message placé en historique et que je vous ai récemment adressé. Il ne s'agit là que des réponses reçues quelques jours après l'envoi. D'autres réponses parviendront éventuellement prochainement. Cependant, cet échantillon est suffisamment éloquent pour vous le remettre sans avoir besoin de vous remettre les éventuelles réponses à venir.


Une Sénatrice de la commission des affaires sociales a écrit:...Nous avons bien reçu votre courriel et nous vous en remercions. Je transmets vos observations à Madame (X) ...
Sur lettre a en-tête, l'Ordre des Médecins a écrit:...Nous avons pris connaissance de votre email en date du 22 février nous Informant des demandes infructueuses que vous avez effectuées auprès de l'ANSES et ces centres antipoison pour évaluer votre taux de charge corporelle aux métaux lourds. Nous prenons bonne note que vous avez déposé plainte le 31 janvier 2022 auprès du Tribunal judiciaire de Paris.
La procédure judiciaire étant lancée nous ne pouvons intervenir dans ce dossier. Nous attirons juste votre attention sur le fait que notre Institution n'est pas habilitée à répondre sur des questions d'ordre scientifiques qui relèvent de la compétence des Conseils Nationaux professionnels...
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      Commentaire Sophocle : Voilà qui est intéressant, je vais donc écrire aux Conseil Nationaux Professionnels
      Le 5 mars 2022, j'ai donc adressé le message aux CNP suivants :
        Conseil National Professionnel de Biologie Médicale
        Conseil National Professionnel de la Médecine du Travail
        Conseil National Professionnel de Neurologie
        Conseil National Professionnel d’Hématologie
        Conseil National Professionnel de Gériatrie
        Conseil National Professionnel d’Allergologie
        Conseil National Professionnel d’Oncologie
        Conseil National Professionnel de Maladies Infectieuses et Tropicales
        Conseil National Professionnel de Santé Publique
        (Présentation : http://www.specialitesmedicales.org/666 ... nnels.html)
Un membre d'une ONG de la Conf de Minamata a écrit:Thank you for this. Who exactly are you?
Le 28 fév., un membre d'une ONG de la Conf. de Minamata a écrit:...Thanks for sharing this. I am going to share with colleagues participating in the Minamata Conference and active on Mercury and other heavy metals. We will get back to you soon...
Un membre de la DGS a écrit:...J’ai quitté mes fonctions à la DGS, le bureau environnement intérieur n’est pas compétent sur ces sujets. Je vous invite à prendre l’attache du bureau environnement extérieur...
Un membre de la DGS a écrit:...Je ne suis pas en charge de ces sujets car pas dans le champ de compétences de ma sous-direction. Je transmets votre mel à la sous direction compétente...
Un membre de la DGS a écrit:...Je vous remercie pour ce courrier qui attire notre attention sur ce sujet important...
Un membre de la Conf de Minamata a écrit:...We have noted your concern but will kindly request you to address your email to Dr. (X) who is currently the Principal Secretary. In the current reshuffle in the Kenyan Government, (Y) was given another docket as a Cabinet Secretary, Ministry of Industrialisation and Enterprise...
Un Conseiller de la Région Normandie a écrit:
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En réponse sur lettre à en-tête, l'ARS Normandie a écrit:...Vous avez appelé mon attention sur les pratiques des centres antipoison français. Soyez assuré que j'ai bien pris en compte votre demande. Compte tenu de son objet, votre correspondance a été transmise à la Direction Générale de la Santé, qui pourra le cas échéant assurer le lien avec l'Agence nationale de sécurité sanitaire de I'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES).
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Commentaire Sophocle : Mauvais coup du destin : comme l'ANSES a refusé de publier mon commentaire, la réponse de l'ARS est tragiquement ironique. L'examen demandé par la Région n'aura donc pas lieu :ouin:. Cependant, les requêtes de hauts responsables vont se multiplier auprès de l'ANSES. Cela va faire sonner des alarmes qui doivent inquiéter l'ANSES.


Un membre sous la DG de l'ASN a écrit:...J'ai pris connaissance de votre message.
Le traitement du problème qu'il soulève ne relève pas de mes fonctions de (xxx), telles qu'elles sont définies par la loi (xxx)...
    J'ai vérifié la loi cité, elle concerne les conflits d'intérêts et elle stipule que tout conflit d'intérêt doit être désamorcé par tout fonctionnaire.
    Le responsable qui m'a adressé cette réponse a donc cru bon qu'il fallait, conformément à la loi, qu'il annonce qu'il décline toute responsabilité.
    Cela m'importe peu, mais je dois indiquer la raison pour laquelle j'ai écris à l'ASN : mon intention était de tenter de faire en sorte que l'ASN s'oppose aux Centres antipoison car les travailleurs dans les centrales ne sont donc jamais traités.
Un député a écrit:...Monsieur le député a pris connaissance de votre situation extrêmement préoccupante. Il vous remercie pour l'avoir informé. En l'état actuel des choses il ne peut intervenir personnellement en vertu de la séparation des pouvoirs. Il suivra avec attention l'évolution de la procédure judiciaire que vous avez sollicitée. Il a également souhaité vous adresser ses vœux de courage. N'hésitez pas à nous tenir informer des évolutions à venir. ...
    Il est a noter que le Parlement (AN ou Sénat) ne peut pas ouvrir une enquête parlementaire sur des faits qui font l'objet d'une procédure judiciaire en cours (source). En cas de classement sans suite de ma plainte par la Justice, je soumettrai donc l'idée à l'AN et au Sénat d'ouvrir des enquêtes parlementaires.
Un député à l'AN a écrit:... Le député (X) vous remercie de votre mail et votre engagement pour la santé publique. Nous avons interrogé l’ANSES sur le traitement de votre commentaire. Nous ne manquerons pas de revenir vers vous le cas échéant....
Le secrétariat d'une asso de santé membre de FRANCE ASSOS SANTE a écrit:J'ai bien transmis votre dossier à Mme (X) qui vous fera un retour.
Le service juridique d'une importante association de santé FRANCE ASSOS SANTE (interlocutrice de l'Etat en tant que représentant unique des association de malades) a écrit:...Santé Info Droits est une ligne d’informations juridiques et sociales constituée de juristes et avocats qui ont vocation à répondre à toutes questions en lien avec le droit de la santé. Elle est mise en œuvre par France Assos Santé qui regroupe des associations de personnes malades, âgées, retraitées, en situation de handicap, de consommateurs et familiales. Sachez que notre action relève de l’information juridique ponctuelle, bien évidemment la plus personnalisée possible. Cependant, ni Santé Info Droits ni France Assos Santé, au plan national ou régional, ne font de suivi de dossier individuel ni d’accompagnement dans les démarches, ce qui semble correspondre à vos besoins. Ceci étant précisé, nous comprenons que vous avez engagé la responsabilité pénale des centres antipoison précédemment contactés. Si vous souhaitez des informations sur les démarches à entreprendre pour engager la responsabilité médicale des professionnels concernés par votre prise en charge, vous pouvez consulter notre fiche pratique dédiée. Un avocat spécialisé, membre de l’ANADAVI par exemple ou une association d’usagers telle que Le Lien peuvent vous accompagner dans vos recours. Sur la question médicale et scientifique de l’intoxication au mercure, nous vous invitons à contacter des associations membres de France Assos Santé telles que : - Réseau Environnement Santé, - Priartem, sur la question de l’électro sensibilité, - L’AFVS, sur les questions d’intoxication au plomb, - France Alzheimer. ...
Une association américaine de vétérans intoxiqués par les vaccins a écrit:Thank you for sharing your experiences and the horrid treatment you've gone through seeking healthcare and accountability. Are you currently working with any other individuals that have been affected by toxic exposure? Would you mind if I use your story, along with your evidence to include it with our proposal to our US leaders and the WHO? I would like your feedback as well once the proposal is complete, to ensure we have covered each issue appropriately. Thank you again for reaching out, having this evidence from other countries affected will significantly, no doubt help all our cases for healthcare and accountability. If there's anything more you would like us to add, please forward to this email.
    à cette association, j' a écrit:Thank you for responding.
    I am in favor of my story being included in your proposals. It is not at all certain that the French Justice system will accept the complaint filed because the facts I denounce are certainly shocking, but they are not necessarily illegal. Moreover, the Justice has already closed a previous complaint in which I denounced that the Poison Control Centers were hanging up on poisoned people without even doing a control.
    Your proposal is therefore an additional opportunity. I am therefore indebted to you.
    In France, there is no association of intoxicated patients. So, I do not work with other people who have been affected by toxic exposure. Normally, it should be the doctors who take care of detoxifying intoxicated people. But, in France, and maybe olso in the United States, doctors never remove heavy metals or pesticides from the body. It is very surprising that a whole medical system has been built on the negation of detoxification of heavy metals and pesticides. However, this denial is impregnated in the mentality of Westerners.It is therefore difficult to change mentalities on this subject. To complete the evidences if necessary, the original appendices of the complaint letter are attached. These attachments are in French, but everything that was translatable has a copy in English. However, if you wish to have more information, I am at your disposal.
Un médecin universitaire en charge de la GWI a écrit:Wow, that took a lot of determination! Congratulations. Sometimes it the persistent that finally pays off.
Un membre d'un cabinet Health and Food Safety de la Commission Européenne a écrit:This is to acknowledge your correspondence addressed to X, Deputy Head of Cabinet of EU Commissioner .
Une association américaone de vétérans a écrit:Thank you for sharing this information it is very informative! Hope you can make more head way with the complainant you filed. Thank you
Le Président de l'Agence portugaise du médicament a écrit:Nous vous remercions de nous avoir contactés et vous confirmons la réception de votre message, qui méritait notre meilleure attention. Nous tenons à vous informer que Infarmed - Autorité Nationale des Médicaments et des Produits de Santé, I.P. n'est pas l'entité la plus appropriée pour analyser les faits qu'elle mentionne. En fait, au Portugal, le Centre d'information sur les antivenins (CIAV - Centro de informação antivenenos), qui fait partie de l'Institut national d'urgence médicale (INEM - Instituto Nacional de Emergência Médica), "fournit tous les types d'informations concernant les intoxications aiguës ou chroniques, liées au diagnostic, à la clinique, à la thérapie et au pronostic de l'exposition toxique" ; nous leur transmettrons donc votre message.
Le Président d'un CNP a écrit:Après avoir pris connaissance de votre courriel, je me dois de vous signaler qu'il n'est pas dans nos missions au CNPMT de traiter directement de ce type d'information.Nous le transmettons à un de nos référents en centre antipoison.
L'ASN a écrit:...Vous avez envoyé à l’ASN des éléments concernant l’absence de prise en compte par les autorités de techniques de soin visant à traiter des contaminations chroniques aux métaux lourds. L’autorité de sûreté nucléaire ne dispose pas de la compétence sur des sujets d’intoxication aux métaux lourds. Nous ne pouvons donc pas directement donner suite à vos demandes. Nous avons transmis tous ces éléments à la direction générale de la santé, qui nous semble la mieux placée pour vous répondre.



ABONNES ABSENTS 13 mars
De tous les destinataires auxquels j'ai adressé mes nombreux messages depuis un an, l'OMS, FRANCE SANTE PUBLIQUE et l'ANSES demeurent aux abonnés absents.
Comme j'ai mis en place un robot pour adresser mes messages, je peux donc aisément envoyer et renvoyer mes messages aux directions générales.
Il est à noter qu'il n'a suffit que d'une seule campagne d'envoi pour que L'Elysée et les Agences américaines de santé répondent.
Cependant, pour l'OMS, pour FRANCE SANTE PUBLIQUE et pour l'ANSES, je n'ai presque aucune réponse.
l'ANSES a certes donné un accusé de réception, mais elle n'a pas retenu mon commentaire dans la consultation publique.
De plus, dans sa présentation des résultats de la consultation publique sur la 5G, elle a conforté un climat de confiance :
Sur son site, l'ANSES a écrit:L’Anses publie ce jour une version actualisée de son expertise sur les effets potentiels de la 5G sur la santé, à la suite de la consultation publique organisée entre avril et juin 2021 sur son premier avis. Les précisions apportées suite à l’analyse des contributions et la prise en compte des mesures d’exposition récentes confortent les conclusions initiales de l’expertise. En l’état des connaissances, l’Agence estime peu probable que le déploiement de la 5G entraine de nouveaux risques pour la santé, comparé aux générations de téléphonie précédentes. (Source)(Archive)
Le 14 mars, l'OMS a enfin répondu :
L'OMS a écrit:De : investigation
Date: lun. 14 mars 2022 à 17:26
Subject: RE: [EXT] EXTREMELY SHOCKING PRACTICES OF FRENCH POISON CONTROL CENTERS
Dear Mr. (Sophocle),
Thank you for your report of concern that has been referred to us together with the attached documents.
The Office of Internal Oversight Services (IOS) reviewed your report carefully and determined that the subject of your complaint fell outside its mandate, which deals with misconduct matters involving “WHO personnel”. Therefore, IOS is unable to assist in your query.
You may want to contact the relevant local authorities responsible for addressing the issues you have identified.
Thank you and best regards.
(X)
Investigative Analyst
Office of Internal Oversight Services
World Health Organization
mais cette réponse n'est pas vraiment à la hauteur des enjeux de santé.
En réponse directe au D.G. de l'OMS, j' a écrit:Dear Dr. GHEBREYESUS,
I would like to inform you that the only medical institution that has not acknowledged my message is the WHO.
I would add that any medical institution that does not take into account the body burden of oxidizing particles has no future.
Best regards...
Voilà qui est bien envoyé... :D




PROMESSES DE REPONSES - 6 AVRIL
Au chap. 1.3.5, p22/262, de son rapport, l'ANSES a écrit:Les commentaires qui ont donné lieu à une modification du rapport, sous forme de correction
ou de complément, sont identifiés comme tels. Le présent rapport d’expertise et l’avis associé
tiennent donc compte de l’ensemble des commentaires reçus.
Hors de ces modalités prévues par l’Agence pour participer à la consultation publique, l’Anses
a reçu 14 contributions additionnelles, sous la forme de documents PDF de longueur variable,
de 1 à 72 pages. Ces contributions, qui s’écartent donc des modalités pratiques de dépôt
prévues, ont néanmoins été consultées. L’hétérogénéité des formats de ces contributions,
mais aussi de leur contenu, ne permet pas de les inclure dans le tableau récapitulatif des
commentaires et réponses associées. Par ailleurs, plusieurs de ces contributions, dont
certaines ont été rendues publiques, s’écartent très sensiblement d’apports scientifiques.
Ainsi, les commentaires non constructifs, concernant notamment la démarche scientifique de
l’Anses, sa déontologie, ainsi que la probité et les compétences de ses experts, n’ont pas été
considérés. Cependant, lorsque des remarques pertinentes ont été formulées dans ces
contributions, elles ont été prises en compte dans les nouvelles versions du rapport d’expertise
et de l’avis.
La lecture de l’ensemble des commentaires reçus (conformes ou non aux modalités de dépôt)
a fait apparaître plusieurs préoccupations communes. [img]kator/smiley223.gif[/img]
En complément aux réponses
individuelles apportées pour chacun des commentaires reçus, et aux modifications du rapport
d’expertise et de l’avis, une série de questions ont donc été rédigées par le groupe de travail,
synthétisant les préoccupations communiquées. Des réponses seront publiées ultérieurement
sous la forme de « questions / réponses » sur le site internet de l’Agence.

    Commentaire Sophocle : En complément de la consultation publique, l'ANSES fait des promesses de publier ultérieurement des questions/réponses sur des préoccupations communes.
    Ce rapport était justement l'occasion de publier sur ces préoccupations communes, mais l'Anses a préféré évoquer ces préoccupations sans publier leur contenu.
    Cette démarche est très louche [img]images/icones/icon12.gif[/img].
    Outre de susciter des inquiétudes, elle masque le contenu de ces inquiétudes...
    Au lieu d'apaiser la polémique sur la 5G, cela ne fait que rehausser ces inquiétudes.
    Cependant, je vais pouvoir remettre un coup de pression sur l'ANSES en lui rappelant qu'elle a promis de publier ces préoccupations... [img]kator/smiley90.gif[/img]
edit MAI 2022 / A la page suivante se trouve les questions/réponses : ANSES 5G Q/R
Mon PDF se trouve listé dans le tableau n°3, il n'a donc pas été traité par l'ANSES.
***

Voici la réponse de la commission européenne à ma lettre contenant la récente plainte adressée au Doyen des Juges.


Image

TRADUCTION EN LIGNE
La Commissaire a écrit:La commissaire européenne à la santé et à la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, m'a demandé de répondre en son nom.

Je tiens à vous remercier pour votre courriel et pour l'intérêt que vous portez à la santé publique en France, en particulier à la question des métaux lourds et du mercure qui s'accumulent dans l'organisme.

La Direction générale de l'environnement de la Commission européenne s'efforce de faire en sorte que l'Union européenne soit exempte de mercure et mène depuis longtemps une politique visant à réduire la pollution due à cette substance indestructible et hautement toxique.

Pour plus d'informations, veuillez consulter les liens et documents de référence suivants :
L'UE protège les citoyens du mercure toxique et ouvre la voie à une action mondiale (europa.eu)
Émissions industrielles - Mercure (europa.eu)
Produits chimiques - Environnement - Commission européenne (europa.eu)

En ce qui concerne le centre antipoison et l'organisation des services de santé dans votre État membre, les dispositions des articles 168 et 169 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne ne confèrent pas à l'UE la compétence de légiférer dans ce domaine, laissant la responsabilité première aux États membres. Vous avez fait le bon choix en contactant votre autorité nationale compétente. Je suis convaincu que les autorités sanitaires françaises prendront cette question au sérieux.

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(santé et sécurité alimentaire)
Dernière édition par Sophocle le Mar 30 Aoû 2022 18:49, édité 32 fois.
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Question : Comment peut on savoir que le corps est alcalin ?

Messagede Sophocle » Ven 25 Fév 2022 11:29

Réponse :
Il est absolument impossible de mesurer le pH du corps. Il ne faut surtout pas se fier aux bandelette pH pour mesurer l'urine. Cela est une photographie non représentative de la totalité du corps ou de l'état du cerveau. Cela est une photographie du sang qui est majoritairement influencé par l'alimentation. Cependant il existe de nombreuses préconisations pour remonter le pH général et local.
Le régime cétogène va désacidifier le corps car le sucre est un acide. En ôtant le sucre de l'alimentation, le pH général du corps va mécaniquement remonter. De plus, les légumes vont renflouer le corps en minéraux essentiels que le traitement va tarir à vitesse grand V. Pour remonter le pH, il est également possible de pratiquer quelques bains froids (5 bains froids à 15° pendant 15 min) car cela va multiplier les capillaires de façon à renvoyer immédiatement les acidités vers la circuiterie générale. Les acidités du cerveau vont donc être éliminées avant même qu'elles ne puissent stagner dans une nappe perchée. Pour remonter le pH, il est également possible de prendre le traitement après la première urine du matin car les acidités migrent la nuit jusqu'à la vessie. Quotidiennement, l'ensemble du corps se retrouve donc le plus alcalin possible après la première urine du matin. Pour remonter le pH, il est également possible de mixer les chélateurs dans un grand volume (1/2l) d'eau alcaline (2 à 3 g de bicarbonate de soude à mixer) à boire. Ce volume d'eau va imbiber les régions du corps dans lequel circulera le chélateur. Cela va augmenter la sureté et l'efficacité du traitement. En buvant 1/2 litre d'eau à pH 8, on fait ensuite pipi à pH8. Cela indique que la lymphe est passée à pH8 pendant le temps du traitement. L'idéal est de ne pas manger le matin de façon à demeurer à jeun et de façon à permettre au chélateur de demeurer à pH8 lors du pic de chélateurs. Pour remonter le pH, on peut également pratiquer quotidiennement la marche la plus rapide possible (ou autre activité) pendant 3/4 d'heure. Cela va faire tourner le circuit lymphatique de façon à renvoyer les acidités vers l'extérieur.
Quand on est atteint d'une fatigue passagère, cela indique une éventuelle poche d'acidité. Il convient donc de suspendre le traitement tant qu'on est pas au mieux de sa forme. Il faut donc éviter les chélateurs quand on est atteint d'un rhume, d'une maladie passagère, ou d'une fatigue quelconque,...
A pH acide, le traitement est inefficace et éventuellement dangereux. Il est dangereux car il peut relâcher les métaux lourds dans un organe parfois acide (reins, cerveau, os). Il est modérément efficace et modérément sûr à pH neutre. Et, il est très efficace et très sûr à pH alcalin car il attrape préférentiellement les métaux lourds. Il faut donc que tout le corps soit à pH alcalin pour que le traitement demeure totalement sûr. Il est également à noter que de faibles doses ne préviennent pas nécessairement d'un incident de redépose au ralenti. Dans un cerveau quotidiennement acide, les faibles doses au quotidien vont donc "gentiment" intoxiquer le cerveau petit-à-petit.
Je ne dis pas qu'il faut pratiquer toutes ces préconisations, mais plus on en fait, plus le traitement sera sûr et très efficace. En généralité, je dirai que le pH alcalin est une affaire d'hygiène de vie. La solution alcaline à boire n'est pas à considérer comme solution magique qui permet d'éviter la mise en place de l'hygiène de vie. Elle est plutôt une mesure de précaution supplémentaire qui permet de compenser une acidité imprévue. Autre exemple : les personnes âgées qui demeurent alitées au quotidien sont dans une situation acidifiante car les acidités produites au quotidien ne sont pas drainées vers les émonctoires. Il convient donc de se rabattre des solutions autres que l'activité physique : alimentation, thalasso, solution alcaline, ... Cependant, la solution alcaline me semble indispensable car elle permet de décupler l'efficacité du traitement.
La devise est la suivante : une solution alcaline dans un corps alcalin.
Je rappelle que la majorité des patients ne pratique certes aucune de ces préconisations. Je rappelle également que les incidents sont rares mais minimisés par les médecins et par les patients eux-mêmes. Comme des personnes craignent tant les incidents, elles préfèrent donc renoncer aux chélateurs chimiques. Je dresse donc cette longue liste de préconisations pour qu'elles retrouvent une confiance dans les chélateurs chimiques. Et j'ajoute que les chélateurs naturels, s'ils étaient efficaces, répondent aux mêmes comportements ioniques que les chélateurs chimiques. S'ils étaient efficaces, les chélateurs naturels ne sont donc pas moins dangereux que les chélateurs chimiques.

AUTRE SECURITE:
Pour augmenter la sécurité, il convient également de pratiquer des mini-doses fortement diluées quitte à ce que la prise soit quotidienne.
Le mode d'administration du traitement en milieu médical est une (forte) dose mensuelle administrée d'un coup, fortement concentrée. Lors de mes traitements en milieu médical, le médecin actionnait le piston de la seringue pour n'injecter qu'un millilitre (sur les 5ml) de la seringue toutes les 5 minutes. Une seringue de 5 ml était donc injectée en 20 minutes environ. Cela indique qu'il existait un protocole qui préconisait de réduire la dose administrée d'un coup. Je soupçonne donc que les fortes doses fortement concentrées se fixaient dans le coeur et le vidait de son calcium de façon à provoquer un accident cardiaque.
Pour une meilleure sécurité, il convient donc de baisser la dose quitte à multiplier les prises. Il me semble que le compromis le plus simple et le plus raisonnable est de pratiquer une posologie hebdomadaire. Mais, pour les personnes qui ont des réactions, il est encore possible de diminuer la dose. En cas de réaction, il me semble qu'il convient également de remonter l'hygiène de vie de façon à ce que le pH du corps soit proche celui du pH de la solution alcaline. Ainsi, les réactions sont prévenues.


EDIT1 : efficacité
Je confirme que, sur moi, les fortes doses fortement concentrées en IVL étaient beaucoup moins efficaces que cette même forte dose fortement diluée en Oral. Il semble donc que les chélateurs peu concentrés (et donc en nuage comme les ml) soient bien plus efficaces pour pénétrer dans la profondeur des tissus.
Je rappelle que la seule iv qui a été très efficace sur mes symptômes, c'était celle après laquelle j'avais pris un bain froid (15° 15 minutes). L'activation du sang aurait dilué le principe actif et il l'aurait fait entrer dans les capillaires de part la forte activation mécanique. L'activation sanguine est donc peut-être un facteur d'amélioration de l'efficacité du traitement par une très forte réhausse des échanges.

EDIT 2 : DOUBLE EFFET KISS COOL DES BAINS FROIDS
J'ajoute que les bains froids vont également multiplier les mitochondries. Cela va mécaniquement provoquer une combustion complète des chaines carbonées. Ainsi, le corps ne sera pas chargé des nombreux morceaux d'acides issus d'une combustion incomplète. De plus, cela va aplanir le chemin vers la rémission des cancers car le cancer nait, entre-autre, d'un défaut des mitochondries.
De plus, cela devrait également aplanir le chemin vers la rémission de Parkinson car, selon le Collège de France, les mitochondries deviennent trop grandes avec le temps et elles ne peuvent plus entrer dans le compartiments des synapses des neurones. Les Bains froids créent donc de petites mitochondries fraiches qui peuvent justement se rendre dans les synapses ; cela permet donc d'aplanir le chemin vers l'arrêt de la progression de la maladie. Et, comme les bains froids activent le sang et la neurogenèse, les bains froids sont donc éligibles pour retaper un cerveau qui a dégénéré.

EDIT 3 : ACIDOSE ET ML DANS LA LITTERATURE SCIENTIFIQUE
Voici un extrait du traité de toxicologie "CHELATION THERAPY".
Sous-Chap. 3,3 :"CLINICAL FINDINGS" du Chap 3 : "DIAGNOSIS..." (p66) : Hemolytic anemia, metabolic acidosis, and arrhythmias due to cardiomyopathy are also fairly common signs of metal intoxication
Traduction : L'anémie hémolytique, l'acidose métabolique et les arythmies dues à une cardiomyopathie sont également des signes assez courants d'intoxication par les métaux.
Le traité complet est disponible sous le lien suivant : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... php?id=972
Cela indique que même si les incidents sont rares, il convient de prévenir une éventuelle acidose chez toute personne intoxiquée.

EDIT 4 : DMPS.
Selon sa courbe de pH, le DMPS serait stable en milieu acide (voir fig 2.5 du post du 4 nov 2020.
Cela préviendrait les redépose, et donc, les incidents.
Cela donne également éventuellement la raison de son prix exorbitant.
Cependant, je ne sais pas dire s'il est efficace pour se lier à des ml en milieu acide.
De plus, pour une chélation à large spectre, il convient de combiner le dmps (soufré) à un chélateur azoté (qui est nécessairement instable en milieu acide), ex dtpa ou edta.
En l'état de mon savoir, l'exigence de précaution par l'alcalinisation du corps demeure donc en dépit de l'avantage du dmps.

EDIT 5 : traitement des maladies neuro-dégénératives par le froid
Pour traiter uniquement le cerveau, il est possible de ne passer uniquement la tête sous le jet froid de la douche. Cela évite d'avoir à prendre un bain froid régulier. Il est cependant préférable de prendre 5 bains froids à 15° pendant 15' une fois par an pour que tout le corps bénéficie de nouvelles mitochondries et de nouvelles capillaires. Mais pour le traitement au quotidien à long terme des maladies neuro-dégénératives, les douches froides localisées uniquement sur la tête sont parfaitement satisfaisantes.

SUJET CONNEXE : QUELS SONT LES DANGERS DE LA CHELATION ? COMMENT PREVENIR LES RISQUES ET COMMENT GUERIR DES INCIDENTS ? - EDIT 6
  1. ACIDOSE
    L'acidose (forte acidité d'un organe) est le risque le plus insidieux de la chélation. La dynamique est assez simple. La population de molécules actives chélatrices se charge peu-à-peu et abondamment en métaux lourds en circulant dans le corps ; ensuite, en traversant un organe parfois très acide (reins), toute a population de molécules actives relâche ses métaux lourds dans l'organe acide car ces molécules sont sensibles au pH. En milieu alcalin, elles se lient à des métaux lourds ; en milieu acide, elle se lie avec l'Hydrogène et se délie du métal lourd avec lequel elle était liée. Les fortes acidités créent donc un incident. Ils sont rares mais minimisés. Cependant, ce risque peut se prévenir, et, les incidents peuvent se guérir par les mêmes actions que la prévention. Le rein est l'organe le plus exposé car il recueille les acidités que produit tout le corps tout au long de la journée. Les acidités sont ensuite stockées dans la vessie. L'urine du matin est toujours très acide car les acidités migrent pendant le sommeil. Le pH du sang est finement contrôlé, il est rapidement rétabli aux alentours de pH7.3, et le pH de l'urine du matin est d'environ 5.5. Cependant, il est possible de fixer provisoirement le pH du rein et de l'urine à pH8 en buvant une solution à pH8 après la première urine du matin. Cela s'obtient avec un sel physiologique abondamment présent dans le corps : le bicarbonate de soude. De plus, les molécules actives se dissolvent à pH8 et elles floculent à pH acide. Le pH8 permet donc de solubiliser les molécules actives de façon à ce qu'elles soient actives et efficaces pour se lier aux métaux lourds. Cependant, par précaution, il est nécessaire que tout le corps soit alcalin. Il suffit d'un organe acide pour créer un incident. Tous les organes doivent donc être alcalins pour passer une campagne de chélation la plus sereine possible.
    Comme le sucre est un acide (pain, pâtes, céréales, féculents,...), l'éviction du sucre de l'alimentation est donc un levier majeur pour éliminer l'acidose.
    Comme les bains froids multiplient les capillaires de façon significative, les bains froids préviennent des incidents car les acidités ne peuvent donc pas demeurer stockées durablement dans les organes.
    Comme les bains froids multiplient également les jeunes et fraiches mitochondries, les bains froids préviennent également des incidents car la combustion des chaines carbonées sera donc complète de façon à éviter les acidités liées aux combustions incomplètes.
    Comme la marche à pied fait circuler la lymphe, la marche à pied participe à la prévention des incidents car les acidités ne peuvent pas s'accumuler dans le corps. Pour les personnes handicapées, la thalasso est une alternative aussi efficace que la marche à pied.
    5 bains froids à 15° pendant 15' rehaussent significativement les mitochondries et les capillaires de l'ensemble du corps pendant un an. Ces bains froids conforteront donc significativement la prévention des incidents.
    De plus, lors de la douche quotidienne, il est aisé de passer juste la tête sous la douche froide. Cela confortera également une physiologie qui participera à la sécurité et à l'efficacité du traitement au niveau du cerveau.
  2. FORTE DOSE ET FORTE CONCENTRATION
    La culture médicale parvient des traitement des fortes intoxications aigües.
    Le traitement médicale est donc une forte dose mensuelle fortement concentrée administrée en une seule fois.
    Les ampoules des iv sont donc fortement dosées.
    De plus, pour ne pas déranger le médecin tous les jours, les iv sont prévues une fois par mois.
    Cependant, une iv (forte dose fortement concentrée) peut décalcifier le cœur d'un coup de façon à provoquer une arythmie violente et durable.
    Les médecins pratiquent donc des ivl : iv lente, en poussant le piston d'un millilitre toutes les 5 minutes.
    La perfusion semble bien plus sécurisée mais elles nécessitent de se faire trouer la peau et elles coutent très cher, aussi cher qu'une iv.
    En chronique, la scène est tout autre.
    Une dose hebdomadaire par oral à jeun me semble raisonnable, mais il est encore possible de fractionner la dose mensuelle en 1/30è de dose à prendre quotidiennement.
    Pour les analyses médicales post-traitement, il me semble préférable de prendre une dose hebdomadaire de façon à excréter bcp de métaux sur le relevé et d'observer une fenêtre thérapeutique pendant une semaine.
    De plus, les fortes concentration me semblent une hérésie car la solution ne se disperse pas dans le corps, seules les solutions à très faible concentration infusent dans tout le corps.
    Le mode d'administration en herboristerie (oral, faible dose quotidienne faiblement concentrée) demeure donc le seul mode à la fois très efficace et le plus sécurisé.
  3. MALADIE
    Les épisodes de maladie (rhume, infection, gueule de bois, ...) sont également risqués car ils présentent des fortes acidités.
    Il faut donc suspendre le traitement chélateur tant qu'on est pas au mieux de sa forme.
    Il convient également de régler tous les petits maux (constipation, ...) avant de prendre le traitement chélateur.
Dernière édition par Sophocle le Jeu 23 Mar 2023 13:05, édité 10 fois.
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Re: TOUT SE DÉTOX

Messagede Gryphe » Dim 27 Fév 2022 15:22

Merci Sophocle pour cette mise au point sur le pH et l'acidité. [img]images/icones/icon10.gif[/img]
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Re: TOUT SE DÉTOX

Messagede Sophocle » Sam 12 Mar 2022 19:32

:jap: Merci Gryphe :jap:
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PARCOURS DE SANTE

Messagede Sophocle » Sam 12 Mar 2022 19:39

Je place ici une petite présentation concise et globale concernant mon parcours de santé :
    Comme les centres antipoison refusent de traiter le mercure qui surgit lors de mes analyses biologiques corporelles, j'ai donc été forcé à l'automédication. De plus, comme la médecine conventionnelle a toujours nié la charge corporelle des particules oxydantes, elle ignore que le corps s'intoxique et elle ignore que des médecines traditionnelles du déstockage des particules oxydantes existent.

    Dans ce présent topic, sur l'unique Forum dans lequel les intoxiqués errants racontent leurs galères, se trouve le récit de mon long parcours de santé dans lequel je consigne tous les traitements que je m'inflige depuis 2016. J'ai certes beaucoup tâtonné, mais peu-à-peu, je suis parvenu à des améliorations de mon état. J'y consigne également des revues de littérature scientifique avec des résumés que je rédige moi-même. J'y consigne également de nombreux sujets en relation avec l'intoxication dont mes démarches administratives (appels au centre antipoison, plaintes, ...). Je dois préciser que ce récit est très volumineux, il comporte 500.000 mots environ. Mon parcours a été quotidien et le récit plus ou moins hebdomadaire. A la découverte d'un monde inexploré et frappé d'handicaps, mon parcours et mon récit sont donc nécessairement labyrinthiques. A la page 14, se trouve une présentation générale par thèmes avec des renvois.

    En attendant de découvrir ce que la médecine ne voyait plus, je couchais ce récit par écrit car mes expériences et mes petits progrès étaient les prémisses de la plainte que j'ai récemment portée. Ce récit me permettra peut-être de consolider l'éventuel procès à venir de façon à faire reconnaitre juridiquement mon état neurasthénique. De plus, ce récit me permettait de rejouer ma mémoire de façon à paraître solide lors d'éventuelles consultations à venir. Sans ce récit écrit, mes idées ne se rassemblent pas au moment décisif du récit oral. Au quotidien, toutes mes pensées se dispersaient et s'évanouissaient aussitôt qu'elles apparaissaient. Avec ce récit, je me sens donc fort et confiant sur ma capacité à exprimer la justesse des faits de mon vécu.

    Pour illustrer la neurasthénie qui me frappait, j'indique que j'avais perdu la capacité à lasser mes chaussures sans une application minutieuse digne d'un apprentissage. C'est-à-dire qu'à chaque laçage de chaussure, je devais réapprendre à lacer. Il en allait ainsi pour de nombreux gestes du quotidien. De répétitions en répétitions, je parvenais à masquer les hésitations d'un apprenti sans pour autant que le geste ne parviennent à se consolider dans un automatisme subconscient. Cependant, les ajustements maladroits aux petites surprises imprévues trahissaient une grande inexpérience du geste. Il me fallait donc maîtriser le geste de façon à ce qu'aucune petite surprise ne surgisse lors des rares fois où je me présentais en public.

    Lors de mes nombreuses tentatives de déstockage des particules oxydantes par des jeûnes secs, huiles essentielles, traitement de la peau, ventouses, ayurvéda, les intestins ont été le lieu d'une forte accumulation de toxines qui ont été mise en mouvements. Des symptômes intenses et permanents se sont manifestés (douleurs, désordres du système digestif). Dans le post du 15 novembre 2017, j'y consigne donc mes recherches, mes réflexions et mes actions sur le traitement des intestins que j'ai réalisé depuis 2017 suite aux incidents qui ont émaillé mon parcours. C'est seulement après le traitement des incidents intestinaux que je ressentais le bénéfice des techniques de déstockage sur l'ensemble du corps. Il existe peut-être des techniques qui permettent de déstocker directement les particules oxydantes sans provoquer d'incident intestinal ; cependant, en dépit des mes nombreux signalements, aucun médecin n'a souhaité me les présenter. Je confirme que ces forts désagréments sont peu de choses à côté de la petite torture qu'inflige le mercure sur le cerveau. Il est également nécessaire de préciser que tout ce parcours est nécessaire pour retrouver une tendance vers une amélioration de la fonctionnalité du cerveau.

    Je souhaite insister sur le fait que les médecines traditionnelles ne sont pas des médecines douces ; un excès d'intensité provoque donc un excès de mobilisation de toxines. Avec les moyens du bord, j'ai expérimenté des techniques évoquées dans des revues de littérature scientifique. J'ai certes provoqué de nombreux excès, car j'apprenais. De plus, ma très forte intoxication imposait des posologies bien moins intenses que celles que je pouvais trouver chez des témoignages disponibles sur internet. Cependant, la souffrance de l'inflammation était telle que j'étais poussé à tenter de fortes posologies car une intoxication chronique s'apparente à une petite torture permanente dont je souhaitais me débarrasser le plus rapidement possible. Les médecines traditionnelles sont donc à pratiquer avec douceur (intensité faible et espacement dans le temps quitte à ce que la durée s'étale sur des mois ou des années).

    Dans le récit de mon parcours, j'indique également que toutes mes actions n'y sont pas nécessairement rapportées. Il se peut que seule une moitié de mes actions y soit consignées mais je ne saurai pas dire quelle en est précisément la part. Cependant, je suis demeuré focalisé sur les Centres antipoison, car, en cas d'anomalie sur la théorie, c'est au point de contact entre les praticiens et les patients que les perturbations se manifestent. Dans ce cas précis, il s'agit des équipes des Centres antipoison qui raccrochent au nez des personnes qui prétendent être intoxiquées aux ml. Il s'agit également du déni formel des analyses biologiques inquiétantes post-traitement.


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